Pensons l’ennemi pour mieux le combattre

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Une tribune de Nicolas Dhuicq, ex-député LR de l’Aude et psychiatre

Les récentes déclarations du ministre de l’Intérieur français, convoquant la psychiatrie dans la lutte contre le terrorisme, montrent le désarroi intellectuel dans lequel se trouvent nos gouvernants face au terrorisme islamiste. En effet, nous devons avoir à l’esprit que les dits terroristes se vivent comme des combattants, au service d’une cause. Ils poursuivent un but politico-théologique clair : l’instauration d’un califat salafiste, c’est-à-dire wahhabite, sur les terres actuellement islamisées, ou qui le furent un temps, comme l’Espagne avant la Reconquista, ou la Narbonnaise en France.

Perversion n’est pas synonyme de maladie

En premier lieu, l’attitude du ministre se heurte à deux écueils principaux au plan de la branche de la médecine qu’est la psychiatrie.

Tout d’abord les couples normal/pathologique et bonne santé/maladie ne se recouvrent pas toujours dans cette discipline. En médecine somatique, c’est-à-dire du corps, je puis avoir une maladie, comme une angine, qui signe un état pathologique de ma gorge. Mais si je prends l’exemple d’un grand pervers, il peut être considéré comme pathologique, mais sa perversion n’est pas une maladie au sens propre du terme, c’est en effet sa structure mentale, sa construction psychique, qui est ainsi faite. D’où la grande difficulté à concevoir des soins pour de tels individus, on ne change pas la nature même d’une personne en quelque sorte.

Tous les délinquants ne deviennent pas terroristes

Le deuxième écueil est celui des critères discriminants qui indiqueraient un risque de passage à l’acte de type terroriste. Si le profil du délinquant qui trouve une cause et une justification à ses actes de violence dans l’islamisme est fréquent, les auteurs des attaques de septembre 2001 à New-York étaient loin d’un tel profil. Même si j’avais alerté l’ensemble de mes collègues députés du groupe UMP en 2012 sur l’islamisme en prison, tous les délinquants ne deviennent pas terroristes. Quant aux patients, ils sont majoritairement pacifiques et le risque majeur des maladies de l’esprit reste le suicide et non pas l’hétéroagressivité1.

Le précédent wahhabite

Il serait souhaitable que nos dirigeants aient un peu plus de connaissances historiques. Le wahhabisme est né dans la péninsule arabique, plus exactement dans le Nejd, au XVIIIème siècle comme une vision encore plus rigoriste de l’école juridique dite hanbalite dans le sunnisme. Les massacres perpétrés alors et les destructions de tombeaux de saints n’ont rien à envier, dans l’horreur, aux exactions de Daech ou d’Al-Nosra au Levant aujourd’hui. Les jeux de la CIA et de feu Brezinski, associés à celui des Saoud, puis du Qatar, ont financé le monstre contre l’armée rouge en Afghanistan, puis en Europe, où l’ex-Yougoslavie se souvient bien des exactions des unités islamistes. Sans rappeler ici le rôle du grand mufti de Jérusalem et des Frères musulmans pendant la deuxième guerre mondiale dans le Caucase et les Balkans.

Un terrorisme redoutablement efficace

Ils devraient également intégrer un élément essentiel qu’ils ne veulent pas entendre. À savoir que l’humain peut agir de manière irrationnelle au nom d’un endoctrinement ou d’une foi dévoyée. Pour cela, dans une Europe sécularisée, au point de perdre toute transcendance, le wahhabisme a répandu depuis vingt années, grâce aux pétro-dollars, peut donner une explication simpliste mais efficace du monde, et un but dans l’existence aux âmes fragiles ou incultes. Le terrorisme islamiste est plus efficace que celui qui se prétendait marxiste, comme en Italie lors des années de plomb, car il s’adresse à l’humanité entière et non pas, in fine, pour le bien du prolétariat seul. Il est aussi plus redoutable que le localisme basque d’ETA, puisque le but est international et non pas régional.

L’économisme n’explique pas tout

Les dirigeants européens doivent faire le deuil d’une explication du monde où seul l’économisme compte. La mort, le mal, la maladie restent des questions structurantes quel que soit notre niveau de vie, même avec les courants transhumanistes. Si la catastrophe de l’invasion américaine de l’Irak en 2003 et la vision des néo-conservateurs, sont une cause majeure, tout comme les questions du développement économique, elles n’expliquent pas tout.

Non, monsieur le ministre, le terroriste n’est pas un malade, ou alors, il faut admettre que Che Guevara, Trotsky, Pol Pot ou la Fraction armée rouge, pour ne citer qu’eux, étaient tous des malades au sens médical du terme. S’il peut y avoir, comme dans toute communauté humaine, des personnes qui souffriraient de troubles mentaux parmi ceux que l’on nomme terroristes, ils doivent être considérés, dans leur ensemble, comme responsables de leurs actes et comme des ennemis. C’est ce que nous devons aux victimes et à la civilisation humaine qu’ils veulent détruire.

Pour avoir personnellement constaté en Syrie, dans le village de Maaloula, l’œuvre des rebelles dits modérés d’Al-Nosra, ceux qui faisaient « du bon boulot » pour l’un de nos ministres des Affaires étrangères, cette déclaration est de même nature : l’incapacité à nommer et à penser l’ennemi.

Nicolas Dhuicq pour Causeur

Un pape content de lui

Turkey Pope

Ce Pape François voudrait couler l’Eglise, décidément, il ne s’y prendrait pas autrement. François, à ne pas confondre avec St François d’Assise, ni avec Claude François, serait plutôt proche, par sa politique d’un François Hollande.

Ancien Jésuite, qui aurait du le rester, italien par ses parents et devenu citoyen argentin par le hasard de l’histoire mais aussi, citoyen du monde par idéologie ; il est arrivé au sommet de l’église catholique, plutôt par la volonté toute puissante de la super classe mondialisée, qui avait besoin d’un personnage influent sur le monde chrétien, que par la volonté du Ciel.

Un homme, lequel par son âge et sa fonction, présenterait toutes les garanties de la sagesse universelle. Un peu comme une sorte de Dalaï Lama, pour le large cercle de la bien pensance. Un Pape qui se montre tel un parangon de la Parole biblique revue et corrigée par ses soins. En tout cas, humaniste, universaliste, sans frontiériste et tiersmondiste, proche par son engagement des faiseurs de morale, les Frères 3 points. Au point que l’on peut se demander si les hautes sphères du Vatican ne sont pas contaminées par les idées du Grand Orient, comme le prétendent certaines mauvaises langues.

Humaniste, il l’est même jusqu’au sacrifice, s’il le faut, de son propre pays d’origine l’Italie, qu’il pousse, sans le moindre scrupule, à recevoir des tonnes et des tonnes de « migrants », au nom de la charité universelle chrétienne, pour les plus pauvres, lesquels pauvres, parviennent à payer des passeurs plusieurs centaines d’euros. Mais c’est  un détail, pour ce Pape qui préfèrera toujours l’autre, l’étranger, le musulman, à son prochain, le chrétien européen, ou moyen oriental. Ces chrétiens d’Orient, qui se font assassiner par des musulmans, dans une quasi indifférence papale, à part quelques mots de compassion.

Sophie Durand, de RL a sélectionné quelques pensées profondes du Pape François, qui déconcertent même, bon nombre de ses fidèles catholiques.

  • A Lampédusa, il est allé dire aux clandos ; venez chez nous !
  • Il a lavé les pieds, au Vatican, le Jeudi Saint, à un groupe de « migrants » africains.
  • Est allé à Lesbos, pour ne ramener que des musulmans.
  • A agité, lors d’une cathéchèse à Rome, un gilet de sauvetage de clandestin, le conservant comme une précieuse relique.
  • A organisé une prière multiculturelle au Vatican, au cours de laquelle un Iman a osé demander la victoire sur les « associateurs », (visant, par là, le christianisme, accusé d’associer trois divinités).
  • N’écoute pas les voix angoissées des chrétiens d’Orient.
  • A demandé que chaque famille de chrétien accueille des clandos, dénonçant le prétendu égoïsme de ceux qui refusent, disant qu’ils devraient demander pardon.
  • A encouragé les évêques à se compromettre avec l’Islam.
  • A dit, en 2016, qu’il n’aimait pas entendre parler des racines chrétiennes, vues comme colonialistes.
  • S’est réjoui de l’élection d’un maire musulman à Londres.
  • Et mieux encore : Tout immigré qui frappe à notre porte, est une occasion de rencontrer le Christ.
  • Et pour la journée mondiale du migrant et du réfugié : Accueillir, promouvoir, protéger et intégrer les migrants et les réfugiés, car la sécurité des « migrants » est plus importante que la notre. On vient de le voir à Barcelone ! Il faut faire passer la sécurité des « migrants » avant la sécurité nationale.

Liste non exhaustive, en attente de meilleures perles, de la part du « saint Père ».

Voilà comment on détourne les paroles et paraboles du Christ, pour les adapter au discours ambiant, pro-immigré, de la classe dominante. Quand le Christ réclame l’hospitalité pour l’étranger de passage, Il parle pour l’accueil d’une personne de passage et pas pour des dizaines, des centaines, des milliers, des millions de personnes qui ne font pas que passer, mais veulent occuper le terrain et s’installer à demeure.

Alors oui le Pape François, tiens un langage plus politique, que fidèle à la Parole de l’Evangile, pour ce qui touche, en tout cas, aux relations de voisinage entre les peuples et les cultures sur cette Terre.

Onyx

Message du Général Tauzin

tauzin

« A présent ça suffit ! Jusqu’à quand les peuples Européens vont-ils payer la lâcheté, les intérêts personnels, les ignorances et les aveuglements des dirigeants politiques ?

Attentats meurtriers en Espagne et en Finlande, un autre dans lequel la police a tiré et tué les assaillants. Très bien ! C’est ainsi qu’il faut réagir ! Nous sommes en guerre et devons agir en conséquence. Qui aurait pleuré la mort des nazis ? Nous ne pleurerons pas celle des islamistes. Et voici qu’aujourd’hui nous apprenons des actes identiques en Australie et des rumeurs circulent quant au Maroc.

« Les terroristes ne feront pas tomber nos valeurs ». C’est avec cette propagande honteuse, et par voie de conséquence complice de nos ennemis, que nous sommes quotidiennement anesthésiés. Et bien si ! Deux fois OUI ! Ils feront tomber nos valeurs car aucune résistance, aucune réaction, aucune contre-attaque crédibles ne se lèvent contre eux. Ne nous leurrons pas, les terroristes ne sont qu’une poignée n’ayant comme seule éducation que leur haine de tout et confortés par le laisser-faire coupable des politiques complices de ce qui peut finir en génocide de l’Europe. En effet les islamistes seront de plus en plus nombreux, de plus en plus sûrs d’eux et à quelques-uns, ils paralyseront à cause d’une lâcheté condamnable tout un continent. Ils peuvent conquérir Paris, passage obligé pour la conquête de Rome, autant dire la chute de la chrétienté, but affiché depuis des années par les nébuleuses islamistes, Al-Qaïda et son chef Al-Baghdadi en tête.

Depuis des années, nous – militaires, civils, journalistes intègres… – vous avertissons des risques. Oui ! L’Europe peut tomber et partir pour des siècles d’asservissement dont les premières victimes seront, et avec une brutalité sans nom, les femmes et les enfants. La France et l’Europe ne pourront avoir un avenir qui si elles s’arment de courage ; lâches, elles disparaitront ! Louis Napoléon Bonaparte l’avait très bien compris : « les Etats ne périssent que par trop d’orgueil ou trop de lâcheté », or nous sommes tous membres d’Etats qui sont les deux à la fois, courant à leur perte. Une fleur, non ! , une bougie au fusil neutralisé, non ! Un cachet de « pas-d-amalgame » en guise de pénicilline, non ! Et quelques lambeaux de soutanes pour pansements, non ! Rien de cela n’y fera.

Les prochaines étapes sont simples : peur exacerbée, expéditions punitives, délit de faciès … Qu’attendent les politiques pour répondre au désir légitime des peuples à être protégés ? J’ai vu la peur dans les yeux de ceux qui vivaient les guerres civiles, c’est la peur qui pousse aux crimes amenant un père à massacrer ses enfants, une sœur à tuer son frère, un ami à égorger son voisin. La guerre civile chez nous est une éventualité grandissante, une guerre entre communautés l’est plus encore et cela, je ne peux le tolérer, nous ne pouvons l’accepter. Je l’ai vécu au Rwanda, en Somalie, en Yougoslavie et ailleurs ! La guerre civile n’est pas une banalité. Pire que la guerre étrangère, il n’y a QUE la guerre civile. Une simple étincelle peut, aujourd’hui, déchaîner la barbarie.

Il est une urgence vitale, celle de changer radicalement de cap, il est temps en politique, française comme européenne, d’abandonner le souci unique de l’économie et du fric pour se soucier enfin de la sécurité et de l’avenir des personnes pour revitaliser notre civilisation qui est fondée sur l’héritage hébreu, grec, romain et chrétien. Pour avoir un avenir, la France et l’Europe doivent se mettre au service de l’homme, il en est – peut-être- encore temps !

Ne nous résignons pas, ne nous soumettons pas ! La France peut avoir un avenir, tout dépendra de nous.

Ensemble, nous rebâtirons la France. »

Le pape qui a abandonné son troupeau

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Le message du pape François sur les migrants, rédigé le 15 et publié le 21 août, est tellement caricatural, tellement détaché des réalités géopolitiques d’aujourd’hui, qu’on pourrait croire à un faux, un pamphlet concocté sur-mesure pour rendre haïssables la papauté et toute la chrétienté avec elle. Qu’on en juge par la seule phrase : « Il faut faire passer la sécurité personnelle (des migrants) avant la sécurité nationale », écrite deux jours après les sanglants attentats de Catalogne !

Y a-t-il un pilote dans l’avion?

Cet appel à l’invasion de l’Occident par des populations qui dans leur immense majorité ne sont pas chrétiennes est contraire à toute la tradition théologique du christianisme. On dirait que ce texte ahurissant a été rédigé par un homme qui ne sait pas qu’il est le chef du catholicisme et doit veiller à ses intérêts et à sa propagation. Le mouvement initial du christianisme est centrifuge : à la fin de son passage sur terre, le Christ dit à ses apôtres : « allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit » (Mathieu, 28, 19-20). L’esprit de conquête s’est certes émoussé aujourd’hui, les chrétiens ne pratiquent plus la conversion que par la douceur et la conviction, à l’inverse de l’islam radical qui reste conquérant par le sabre, l’épée et les voitures des écraseurs. Mais voilà qu’un pape propose un étrange mouvement centripète : que toutes les nations non-chrétiennes viennent s’installer en Europe !

A lire aussi: Pape François: le christianisme contre la chrétienté

Le beau film de Scorsese Silence a été mal compris. Les missionnaires jésuites qui partirent à l’assaut du Japon eurent certes quelques succès dans la propagation de cette religion étonnante qui est la seule à proposer un amour passionnel entre Dieu et sa créature. Mais ils se heurtèrent à un Japon très raffiné, très sûr de lui, convaincu de l’excellence de sa civilisation. En sortant de la salle de cinéma, je me demandais si Scorsese avait fait un film sur l’héroïsme des martyrs jésuites ou sur la noblesse de la résistance identitaire du Japon. Rappelons que le Japon d’aujourd’hui refuse fermement toute immigration, surtout musulmane. On peut se promener en paix sur les trottoirs de Tokyo ou Nagasaki, aucun bolide islamiste ne viendra démantibuler les passants et mêler à l’asphalte leurs chairs et leurs os écrasés.

Souverain poncif

Le texte puéril du pape oublie complètement la théologie de la Rédemption et le problème du mal. Le Christ est venu pour nous racheter du péché et nous arracher au mal à condition que nous nous tournions vers lui et devenions l’un de ses disciples. Le Christ nous donne le salut si, agissant en toute liberté, nous choisissons de le suivre. Le pape devrait se soucier de l’âme et du salut éternel des migrants avant de se soucier de leur salut temporel. Il devrait donc exiger que ceux-ci se convertissent avant de poser le pied en Europe. L’Eglise catholique est encore riche, avec un peu de logistique et d’organisation, elle pourrait envoyer partout des flottilles chargées de curés et de moines convertisseurs. Le processus d’intégration serait accéléré, car on ne débarquerait sur les ports de la côte nord de la Méditerranée que des voyageurs chrétiens.

Mais le pape a lui-même bouché cette issue raisonnable (la conversion au christianisme des candidats à l’immigration) en déclarant dans le même message : « L’intégration n’est pas une assimilation qui conduit à supprimer ou à oublier sa propre identité culturelle ». La religion d’un peuple fait partie de son identité culturelle, il me semble. Le pape (ou la personne suspecte qui a écrit ça) tombe en plein dans « l’équivalencisme » contemporain. Tout se vaut. Le rap vaut Beethoven, les tags n’ont pas moins d’importance que Delacroix, Christine Angot c’est kif kif Marguerite Yourcenar ou Simone Weil, les femmes voilées manifestent leur liberté avec autant de force que les femmes « en cheveux », comme on disait au temps de ma mère.

La position démissionnaire

Pourquoi imposerait-on le christianisme aux nouveaux-venus dont certains ont déjà leurs respectables traditions religieuses et culturelles, comme l’excision ou l’assassinat des apostats ? François déclare que tout se vaut, donc François ne croit pas à la supériorité du christianisme ! C’est comme si M. Michelin parcourait les rues de Clermont-Ferrand en voiture montée sur pneus Dunlop. Il faut que le soi-disant chef de l’Eglise catholique change de job au plus vite. Reviens Benoît XVI, ton successeur est devenu fou ! Toi au moins tu avais eu l’audace de poser l’épineux problème des rapports entre l’islam et le mal.

Je ne reviendrai pas sur les arguments contre l’immigration de masse que tout le monde connaît : ses liens évidents avec le terrorisme, les dépenses énormes que doivent assumer les Etats pour entretenir, loger, déloger et reloger ces hôtes qui se sont eux-mêmes invités, la peur identitaire des autochtones qui se voient dépossédés de leur territoire. Je conclurai plutôt par une autre remarque d’ordre théologique. L’archétype de la trahison absolue, c’est le berger qui vend ses moutons aux loups, le chef qui passe secrètement à l’ennemi, l’archange divin qui devient le chef des troupes du mal. Il a beaucoup été question ces jours-ci du « Malin », à propos de la dernière phrase qu’a prononcée le père Hamel avant d’être égorgé. De plus extrémistes que moi pourraient insinuer qu’il circule dans les couloirs du Vatican un bien étrange personnage, qu’un drôle d’oiseau délivre le jour de l’Assomption des messages bien peu inspirés par la Vierge. « La plus belle des ruses du Diable est de vous persuader qu’il n’existe pas », disait plaisamment Baudelaire.

Tourists go home, refugees welcome

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Je croyais naïvement, qu’il n’y avait que la France qui se distinguait, en portant les palmes du crétinisme maso, mais en constatant que les catalans  viennent de nous les disputer, je vois que nous ne sommes pas seuls.

Il y a peu de temps encore, 150 000 personnes défilaient dans Barcelone, pour demander davantage de « migrants »… « Casa nostra, Casa vostra, bolem acollir » (Notre maison est votre maison, nous voulons vous accueillir). Avec la mairesse de la ville Ada Colau en tête du cortège. Belles paroles en catalan, de générosité internationale, au nom de la réputation d’ouverture sur le monde et par rejet de l’Espagne traditionnelle et de la Castille.

Mais ces attentats sanglants de ce 17 Août, viennent contrarier cette utopie bien pensante du « Vivre ensemble ».

Quand on a vu la réaction populaire à ces actes meurtriers il est permis d’en douter.

Les Espagnols, qu’ils soient catalans, ou d’autres provinces, sont connus pour leur fougue, leur fierté et leur volonté à ne pas se laisser marcher sur les pieds. Et bien, comme en France, qui est devenue le premier pays paillasson dans le monde, les bisounours semblaient être les plus nombreux, avec bougies, fleurs, lamentations et incompréhension, ou  des « no tienen miedo », (Nous n’avons pas peur) pour se rassurer. La bas aussi, ni le mot Islam, ni le mot Coran n’ont été prononcés. De la colère légitime ? Pas du tout, ni colère, ni envie de régler des comptes. Comme si ces crimes odieux ne relevaient que de la fatalité. Heureusement la police de la Catalogne, a gardé les réflexes sans concession de l’ex Guardia-Civil et s’est montrée à la hauteur de la situation.

Une manifestation d’identitaires locaux, venus témoigner sur les ramblas son hostilité à l’islamisme, s’est vue traitée de fascisme par les mêmes abrutis d’antifas, dans un semblant d’indifférence générale. Preuve évidente que pour la majorité des habitants de cette ville, c’est encore et c’est toujours l’incompréhension qui domine, malgré ce qui s’est passé il y a quelques années à Madrid à la gare d’Atocha, par des adeptes de la religion de tolérance, d’amour et de paix. Résultat : des dizaines de tués et des centaines de blessés. Ils n’ont pas compris que cette immigration musulmane ne devrait pas être la bienvenue.

En 1934 les républicains catalans chantaient « No pasaran los Moros ». Nos voisins hispano-catalans, semblent avoir oublié, non seulement, la cruauté des maures, los Regulares, mais aussi, l’occupation colonisation de l’Espagne, pendant de longs siècles, par la Maison Mohamed and co. A présent, le proverbe castillan « Cria cuervos y te comen los ojos » (élève des corbeaux, ils  te mangeront les yeux) devient tout à fait d’actualité, puisque ces jeunes marocains, étaient pour la plupart, nourris au biberon espagnol.

Ces catalans qui défilaient, avant cette attaque sanglante, disant qu’ils préféraient les « réfugiés » aux touristes, viennent de faire une expérience décevante, qui je l’espère les fera réfléchir. Il est vrai que le tourisme low cost, composé souvent de foules, sans gène et bruyantes, n’est pas forcément fait pour avoir envie de les revoir, mais ces touristes là, apportent des sous au pays, alors que les clandos n’apportent rien, sinon leur besoin d’entretien, en nourriture, en literie, en argent de poche, les soins médicaux, avec quelquefois leur arrogance et leur délinquance.

Dans cette province de Catalogne, il y aurait pour une population de souche de 7,5 millions de personnes, environ 500 000 musulmans et les arènes de Barcelone qui ne servent plus pour la corrida, seraient à vendre, avec comme acquéreur potentiel, l’Emir du Qatar en personne qui se proposerait de le transformer en centre cultuel et culturel, avec une mosquée aussi visible que la Sagrada Familia.

Mais rassurez vous, amis catalans, pour l’indépendantiste Carles Puigdemont, la Catalogne, restera une terre de paix et d’accueil. Les attentats meurtriers pourront continuer. Plutôt musulman que castillan.

C’est réellement triste quand on pense aux 15 victimes de cette ignoble  tuerie et de ses nombreux blessés, souvent meurtris pour la vie. Victimes, qui auraient pu être multipliées par dix ou davantage, par cent même, si les 120 bonbonnes de gaz butane, n’avaient pas explosées prématurément.

Avec son immigration afro-musulmane l’Espagne file du mauvais coton. Heureusement, VOX, un parti nationaliste émerge en Espagne, et risque de faire de l’ombre à Podemos, l’équivalent là bas du parti de Mélanchon.

Espérons qu’il grandira et pourra peser sur la politique irresponsable d’immigration du gouvernement espagnol.

Comme en France, pour de l’argent et du pétrole, l’Espagne a passé un pacte avec le diable. L’Islam s’implante tranquillement et Isabelle de Castille n’est plus là, pour les raccompagner d’où ils sont venus.

Mais….ARRIBA Espagne.    ANIMO       Y VIVA LA RECONQUISTA

Onyx

De Villiers : Les déclarations du pape sur les migrants

France: Philippe de Villiers visits French sailors at the Vendée Globe 2016

Philippe de Villiers, le fondateur du Puy du Fou revient sur les propositions du pape François sur les migrants, publiées lundi 21 août. Il s’inquiète d’une rupture conceptuelle dans le discours de l’Église et d’un message favorisant le déracinement et le mondialisme.

 Est-il légitime, pour un pape, de s’inviter dans un débat aussi sensible que celui des migrants ?

Sur le principe, oui. La doctrine sociale de l’Église établit et développe une « théologie de la cité ». L’Église a le droit, et même le devoir, d’éclairer les fidèles sur la bonne manière de gérer le bien commun et d’organiser la société. Cela dit… cette déclaration du pape François sur les migrants me semble favoriser, par son contenu et sa portée, un vrai suicide de l’Occident.

Le pape voudrait-il vraiment anéantir l’Occident ?!

On dirait qu’il veut punir l’Europe dont il ne parle jamais des racines chrétiennes. Chez Jean-Paul II, Benoit XVI et ses prédécesseurs, il existe une « théologie des nations ». Elle repose sur le quatrième commandement : « Tu honoreras ton père et ta mère ». Ce commandement implique de rendre un culte à ses parents et à ses ascendants et donc à sa patrie. Cela implique un amour de prédilection à laquelle la nation appartient car elle constitue une famille de familles. A en croire saint Augustin, la politique est, en ce sens, la plus haute forme de la charité.

En quoi les propos du pape François sont-ils si révolutionnaires ?

Il abolit toute possibilité de régulation des flux migratoires. François inaugure une nouvelle théologie mondialiste mortifère pour l’Europe. Le premier élément saillant de son discours est le fait que les États seraient illégitimes face aux migrants. Je fais allusion à cette phrase incompréhensible qui accorde un primat à la « sécurité personnelle » sur la « sécurité nationale ». Jusqu’à présent, les États avaient une justification régalienne : c’était la sécurité nationale qui garantissait la sécurité personnelle. Le pape opère donc un renversement complet qui ressemble à une prime à l’anarchie. Ce discours installe l’Église dans une proximité douteuse avec les mondialistes du transhumanisme et de la marchandisation du monde, qui veulent eux aussi la suppression des souverainetés, des frontières et des États. Dans son catéchisme, l’Église a toujours défendu le droit du migrant de migrer en cas de nécessité, mais aussi le droit légitime des États à limiter les flux migratoires. C’est ce balancement et cet équilibre que le pape semble envoyer aux oubliettes.

Mais vous conviendrez que le pape n’est pas vraiment l’allié du mondialisme libéral et libertaire ?

Il semble confondre l’universalisme catholique avec le mondialisme le plus débridé. Le pape François propose d’annuler toute différence entre les clandestins, les immigrants légaux et les citoyens… Résultat ? La citoyenneté apparait comme un concept périmé quand on prône un « droit d’installation préalable pour les migrants ». En effet, la caractéristique singulière du citoyen par rapport à l’étranger est la pérennité du séjour. Le multiculturalisme prôné par François deviendrait selon lui le seul modèle conforme à l’Évangile. Le migrant, avec un grand M, apparaît dans une vision quasi christique. Le patriotisme devient un péché. On ne pourrait être catholique et patriote. C’est la doxa des mondialistes.

Quel est le risque, pour l’Europe, de renforcer les droits des migrants au nom de la protection des personnes ?

Le risque de se dissoudre. L’Europe est en train de devenir une marqueterie communautaire, multiconflictuelle et multidéculturée. Dans son point 21, le pape évoque le transfert des identités culturelles, autrement dit le refus de l’assimilation. Concrètement, cela porte le risque de l’islamisation de l’Europe avec le voile, le halal, etc. Les chrétiens d’Orient nous ont avertis : « regardez ce qui nous arrive car demain il vous arrivera la même chose. »

Vous ne comprenez pas la sollicitude du pape François pour les migrants ?

Cette sollicitude me semble à sens unique. A aucun moment, le pape François ne parle de l’immense détresse matérielle, morale et spirituelle des citoyens des pays d’accueil, de leur insécurité et de leur confrontation si douloureuse au quotidien avec une autre société aux mœurs incompatibles.

Vous voulez parler de cet islam que vous évoquez dans « Les cloches sonneront-elles encore demain » (Albin Michel) ?

Oui. Ce discours « migrationiste » du pape François risque de mettre en colère beaucoup de Français, de générer beaucoup d’incompréhension chez les chrétiens et de réjouir certains imams radicaux. Il parait bien imprudent de désarmer les consciences et de sous-estimer ainsi la dimension guerrière d’une religion qui est conquérante par essence. Du point de vue de l’Histoire, le grand mouvement de l’islam a recommencé en direction de l’Europe. Nous sommes devant un phénomène inédit du djihad qui planifie une conquête pacifique de notre continent. L’islam fait le pari que l’Europe va se coucher : qu’il n’y aura de sursaut ni démographique, ni spirituel, ni civilisationnel.

Mais pour revenir à la sollicitude du pape, elle est quand même inscrite dans l’Évangile ?!

À condition de ne laisser personne au bord du chemin. La sollicitude de François est hémiplégique. D’abord pour les pays d’accueil submergés et qui souffrent dans leur chair des attentats ; ensuite pour les pays d’Afrique où tant de gens dans la misère refusent malgré tout de quitter leur pays. Dans son livre « Dieu ou rien », le cardinal Sarah demande aux africains de développer l’Afrique et de ne pas se déraciner. Faute de quoi, ils seront malheureux.  Car un homme déraciné est un homme appauvri, coupé de sa sève et de sa mémoire. Il faut aider les peuples pauvres là où ils vivent plutôt que les pousser à l’errance et à la misère du déracinement. J’ai une expérience personnelle de ce que je vous dis. J’aime profondément l’Afrique. Depuis longtemps, le Puy du Fou aide des pays comme Madagascar. Il faut donc aider les pays d’origine – ce que le mondialisme refuse de faire car il encourage la transhumance de l’homme traité comme une marchandise. Un certain capitalisme cherche les bras les moins chers du monde, le pape François s’en est d’ailleurs fait l’écho. C’est pourquoi sa position est incompréhensible. Les siècles à venir jugeront sévèrement toutes les élites mondialistes qui ont déraciné des populations entières après les avoir appauvries. Que sera Rome demain dans une Europe chrétienne qui ne sera plus rien de ce qu’elle fut et de ce qui constitue sa richesse ? Une Europe livrée à la concurrence de deux mondialismes : le mondialisme islamique et le mondialisme hédoniste qui se nourrissent l’un l’autre. Aujourd’hui, la question de l’Europe est simple. Je supplie le pape de la regarder en face : c’est la question de la survie de la chrétienté. J’ai peur que ce pape soit celui du Camp des saints (NDLR : roman de Jean Raspail).

Source : Famille Chrétienne

Idées reçues sur les Croisades

Taking of Jerusalem by the Crusaders, 15th July 1099, 1847 (oil on canvas)

Contrairement à une idée répandue, les croisades visent à libérer des lieux saints interdits d’accès par l’islam.

C’est l’argument choc, passe-partout, censé clouer le bec de tout catholique engagé dans une discussion concernant l’Église de près ou de loin : « Et les croisades alors ? » Au Moyen Âge, les chrétiens n’ont-ils pas, sur ordre du pape, pris les armes pour agresser les musulmans ? N’ont-ils pas envahi leurs terres, violé, pillé, cherché à les coloniser et à les convertir ?

La preuve par a + b que l’Église n’a de leçons à donner à personne. Mais aussi, pour certains, une justification de la violence des musulmans à l’égard du monde occidental. Comme un juste retour des choses, en somme. « J’ai décidé de tuer Jean-Paul II, commandant suprême des croisés », avait déclaré Ali Agça avant de tirer sur le pape le 13 mai 1981. Dans Les croisades vues par les Arabes (1), l’écrivain franco-libanais Amin Maalouf commente : « Au-delà de cet acte individuel, il est clair que l’Orient arabe voit toujours dans l’Occident un ennemi naturel. Contre lui, tout acte hostile, qu’il soit politique, militaire ou pétrolier, n’est que revanche légitime. Et l’on ne peut douter que la cassure entre ces deux mondes date des croisades, ressenties par les Arabes, aujourd’hui encore, comme un viol ».

Une repentance mal comprise

Tronquée, cette analyse est pourtant communément admise, y compris chez nombre de chrétiens adeptes d’une repentance mal comprise. Et nul doute qu’elle ne peut qu’attiser les braises d’un contexte international déjà particulièrement inquiétant.

En quoi ont réellement consisté les croisades ? Le terme ne recouvre pas une seule et même réalité : elles se sont déroulées principalement sur une période de deux cents ans allant du XIe au XIIIe siècle. Il est donc nécessaire, selon l’historien Jean Sévillia, de « séparer le bon grain de l’ivraie », de les situer dans leur contexte et de rappeler leur but initial.

Remontons le fil de l’Histoire. Au commencement étaient les pèlerinages en Terre sainte. Dès les premiers temps de la chrétienté, les fidèles, souvent venus de très loin, affluent vers Jérusalem pour se recueillir sur le tombeau du Christ, à l’exemple de Méliton de Sardes, en 160, ou de sainte Hélène, la mère de Constantin, vers 330.

Partis conquérir le monde après la mort de Mahomet (632), les musulmans prennent la ville en 638 (mais aussi bientôt les deux tiers de l’Empire romain d’Orient, l’Espagne, le Portugal, le sud de la France, l’Afrique du Nord…). Les chrétiens, réduits au statut de dhimmi, conservent le droit de pratiquer leur culte et les pèlerins celui d’accéder au Saint-Sépulcre, moyennant le paiement d’une taxe. Les pèlerinages continuent, mais à l’aube du XIe siècle se produit un tournant. En 1009, le calife Hakem ordonne la destruction de la basilique du Saint-Sépulcre, inaugurant une vague de violentes persécutions à l’encontre des « infidèles », contraints de se convertir à l’islam ou réduits en esclavage. Deuxième tournant : les Turcs s’emparent de la cité en 1078 et leur interdisent l’accès aux lieux saints.

La nouvelle ébranle la chrétienté. En 1095, à l’issue du concile de Clermont, le pape Urbain II exhorte la foule venue l’écouter à libérer le Saint-Sépulcre. L’appel est entendu. Au cri de « Dieu le veut ! », des milliers de pèlerins, croix rouge cousue sur la poitrine, se mettent en route pour Jérusalem. « La croisade, c’est une riposte à l’expansion militaire de l’islam, une réplique à l’implantation des Arabes et des Turcs en des régions dont les villes, berceau du christianisme au temps de saint Paul, ont été le siège des premiers évêchés. Des régions où les fidèles du Christ sont désormais persécutés », résume Jean Sévillia. Une anecdote pour marquer les esprits ? À ses élèves qui accusaient les chrétiens d’être « venus attaquer les musulmans qui ne leur avaient rien fait », Jean-François Chemain, professeur d’histoire dans un collège de Zep, avait judicieusement répondu : « C’est comme si les Américains occupaient La Mecque et interdisaient aux musulmans de s’y rendre : vous feriez quoi ? »

Après de longues journées de marche, les croisés arrivent épuisés aux pieds des remparts de Jérusalem. Beaucoup ont péri en route : sur 600 000 hommes, on n’en compte plus que 40 000. La prise victorieuse de Jérusalem, commencée un vendredi à 15 h, donne lieu, certes, à de violents affrontements. « La tuerie est avérée, reconnaît Jean Sévillia. Les Francs se sont cependant conduits comme tous les soldats de l’époque, et notamment leurs ennemis. »

Nommé roi de Jérusalem, Godefroi de Bouillon préfère porter le titre de défenseur du Saint-Sépulcre. Car tel est bien le dessein de la première croisade : défendre les Lieux saints pour en assurer le libre accès aux pèlerins. Nulle volonté de colonisation, donc. La plupart des croisés repartent d’ailleurs dans leur pays d’origine. Des ordres de moines soldats (les Hospitaliers, les Templiers, les Chevaliers du Saint-Sépulcre) sont fondés pour garder les principautés chrétiennes de Jérusalem, Antioche, Tripoli et Édesse. « Leur fondation ne figurait pas dans les plans primitifs du pape, note Sévillia. Après l’élan mystique, une autre logique s’enclenche : elle est politique, elle est militaire. » L’historien Jacques Heers insiste : « L’acte de foi […] fut toujours à l’origine des engagements. Mais peu à peu se sont imposées d’autres préoccupations et même des déviations ». Les croisés se rendirent coupables du sac de Constantinople en 1204, condamné d’ailleurs vivement par le pape Innocent III. Mais on ne peut honnêtement résumer les croisades aux exactions qui y ont été commises, qui plus est du seul côté chrétien, sans se rendre coupable de mauvaise foi.

Élisabeth Caillemer pour Famille Chrétienne

Bravo Monsieur Trump

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Ce Président américain reste pour la gauche, en France comme aux EU, l’homme à abattre. Qu’il ait condamné dernièrement, certains acteurs de la manifestation de Charlottesville, d’une façon très claire ne suffit pas à ses détracteurs.

« Le racisme c’est le mal, ceux qui ont recours à la violence en son nom, sont des criminels et des voyous, y compris le KKK, les néo-nazis et les suprémacistes blancs » Que dire de plus ?

Pour toutes ces gauchiasses, qui ne méritent même pas la nationalité américaine, ce n’est encore pas suffisant, il devrait sans doute, s’auto flageller.

Or Donald Trump, après s’être mieux informé, sans doute, sur la réalité de cette déplorable affaire, s’est aperçu que les véritables agresseurs étaient les contre manifestants, en l’occurrence, les antifas. Paroles ignominieuses pour ces trotskistes déguisés en justiciers. Pour lesquels, le mal est toujours du côté de ceux qu’ils accusent de racisme.

Il est certain, que cette droite pacifique et identitaire, n’aurait jamais du accepter dans ses rangs des gens qui brandissent des drapeaux nazis. C’était donner de l’eau au moulin à tous ces extrémistes de gauche, à leurs affidés et supporters, qui ont besoin de faire l’amalgame entre les diverses composantes de cette manif contre le déboulonnement de la statut du maréchal Lee ; parfaitement légitime, puisque autorisée.

La stigmatisation de l’adversaire, au nom d’un racisme, souvent imaginaire, part d’un raisonnement simpliste, sans demi mesure, sans la moindre connaissance de la formation du pays qu’ils habitent. Ils manquent d’arguments et ont besoin de la violence pour s’exprimer. Leur système limité de penser, place toujours l’émotif et le sentiment, avant la réflexion intuitive et la raison.

Car en fait, c’est bien cette contre manifestation d’extrême gauche, qui s’en est pris violemment à celle des protestataires contre le déboulonnage de la statue de ce maréchal sudiste, accusé à tort ou à raison d’esclavagisme. Ce qui est certainement faux, puisqu’il était militaire et pas planteur de coton.

A quand, le déboulonnage de la statue de Napoléon Bonaparte, par des antifas ? Lui qui avait autrefois rétabli l’esclavage, le 20 mai 1802, après sa suppression par un décret de la Révolution.

Le maréchal Lee, fait partie de l’histoire des Etats Unis, comme Napoléon, ou comme les rois de France, font partie de notre histoire, avec ses périodes glorieuses et sombres.

Cette réclamation soudaine, pour supprimer tous les signes visibles d’un passé américain ; qui est ce qu’il est, pas pire que les milliers de morts de la bombe d’Hiroshima, est quand même curieuse.

Ce qui semble prouver, que cette actuelle volonté de s’en prendre à ces marqueurs d’une époque particulière de l’histoire américaine, douloureuse pour ces anciens esclaves, c’est certain, ne provient pas tellement des afro-américains, mais plutôt des Démocrates et peut être du clan de la famille Clinton, aidés en cela par ces hommes de main, (groupuscules anarcho-trotskistes), toujours prêts à saisir l’occasion pour déstabiliser la société. Aidés en la circonstance, par la bien pensance, aussi stupide d’un côté de l’atlantique, que de l’autre.

Et finalement, les contre manifestants violents, sont les vrais responsables de la mort de cette femme, tuée par un extrémiste d’extrême droite, qui a complètement  perdu les pédales, dans un trop plein de colère irréfléchie.

Par son comportement agressif, à l’égard des témoignages d’un passé historique, qu’elle ne supporte pas, dans son pseudo anti racisme obsessionnel, cette extrême gauche à montré son vrai visage ; celui de l’intolérance, du fanatisme, de la violence aveugle et de l’absence du  jugement des faits, placés dans le contexte de l’époque.

Par là même, elle porte les mêmes stigmates du véritable fascisme ; dans son aveuglement à vouloir transformer la société sur le modèle de POL  POT et ses presque 2 millions de cambodgiens massacrés gratuitement au nom de la merveilleuse organisation trotskiste.

Alors, Antifas=Anti-liberté=Génocidaires=Anti-Occident=Anti-blancs= Ordures.

Onyx