Au sommaire ce soir, Agnès Buzyn devant les parlementaires. Après un revers cuisant aux élections Municipales de la Capitale, l’ancien ministre de la Santé doit désormais assumer son action au gouvernement devant la commission d’enquête parlementaire sur la gestion de crise du Covid-19. Une audition qui ne devrait pas apporter beaucoup de réponses.
Egalement au programme, un retour sur l’organisation Black Lives Matter. Après une médiatisation outrancière aux Etats-Unis et dans les pays anglo-saxons, le mouvement est parvenu à s’implanter en France. L’occasion de décortiquer cette opération de déstabilisation.
Et puis nous reviendrons sur le président du territoire du Kosovo Hashim Thaçi. Poursuivi pour crime contre l’humanité et crime de guerre par la Cour pénale internationale de la Haye, nous reviendrons sur ce personnage particulièrement controversé avec le colonel Jacques Hogard.
Selon Manuel Valls: « On a remplacé la guerre des classes par la guerre des races ». Contredisant ainsi, François Hollande, pour qui les races n’existent pas. Pourquoi alors, parler autant de racisme maintenant ? Oxymore !
Il est bien évident, que si l’on trouve du racisme quelque part, c’est bien qu’il existe un problème de cohabitation entre des personnes qui se trouvent des différences, tant dans l’apparence physique, que dans le caractère, le tempérament et les incompréhensions culturelles. C’est sans doute regrettable, mais c’est dans la nature humaine !
Le problème est que ce défaut ressort toujours lorsque l’on veut faire vivre ensemble, par force, des gens qui n’ont absolument pas envie de se fréquenter.
Et d’autre part, l’injustice consiste de la part de beaucoup d’africains à ne considérer comme racistes que les blancs occidentaux et les français en particulier.
C’est bien connu, les « gens de couleur » et la diversité sont des êtres parfaits qui nous aiment profondément.
Ce clan Traoré en tête, qui se pose en victime, suivi du CRAN, de la LNDA, des Indigénistes et d’autres, comme les Antifas et les Islamo-gauchistes (plus masochiste qu’eux, tu meurs) accusent l’Etat qui pourtant leur laisse faire ce qu’ils veulent, et notre pays tout entier, d’être à la fois, « raciste » « colonialiste » « esclavagiste » et totalitaire.
Il serait bon de leur rappeler que c’est la France qui a donné le ton pour l’abolition de l’esclavage et qu’elle est le pays le moins regardant sur l’origine ethnique des individus.
En réalité, la guerre supposée des races, serait plutôt le fait de ces faux révolutionnaires afro-américains et franco-africains qui en ce moment défraient la chronique par leurs discours incendiaires et hystériques.
Des quidams qui se trompent d’époque, car nous ne sommes plus au 16ème siècle. Or ils font remonter des évènements du passé dans le monde actuel. Ils devraient au contraire, remercier un personnage comme Colbert d’avoir mis en application le Code Noir qui donnait des droits aux esclaves, qui auparavant, n’en avaient aucun. Mais, compte tenu de la mentalité de cette époque, pouvait-il en faire davantage ?
Et plus tard, c’est bien grâce à la colonisation européenne que l’Afrique eut la possibilité d’avoir accès au progrès. Elle fit un bond de 1000 ans, d’après l’écrivain africain Tidiane N’Diaye.
Parlons maintenant, de la guerre de civilisation, dont parle Éric Zemmour dans ses livres. Faut-il être aveugle, pour ne pas la voir !
Celle-là est certainement encore plus grave, quand s’y ajoute encore une part de racialisme anti-franchouillard et anti-mécréant.
En effet, l’Islam, dans sa version Islamiste, nous a depuis déjà plusieurs bonnes années déclaré une guerre impitoyable. Même si une partie de nos compatriotes ne voient rien, ou ne veut rien voir.
Même le massacre de Nice, ni le Bataclan, ni les coups de couteau, ni les appels à la guerre, au nom d’Allahu Akbar, n’ont réussi à les réveiller. Un monde de bisounours qui ne voit rien venir. Le syndrome de 1940 qui se reproduit, couvert en ce moment, par les soucis que nous donne cet affreux virus chinois.
Les occidentaux: athées, chrétiens, et juifs sont devenus des cibles. Avec face à eux, des assaillants réels et potentiels, tant de l’intérieur que de l’extérieur. Sans parler, des gauchistes et islamo-gauchistes, qui par détestation de soi et de la société qui les nourrit, veulent la détruire, en accord avec les plus dangereux des radicaux islamistes. Ceux-là sont en réalité les plus détestables et les plus méprisables des renégats et des prédateurs.
Et la finance mondialisée, pendant ce temps, se frotte les mains.
Alexandre del Valle analyse les alliances extrémistes islamistes, gauchistes révolutionnaires et néo-racistes/indigénistes noires autour de l’affaire Traoré, notamment les étranges amis des Traoré comme les responsables du mouvement « The Nation of Islam », l’organisation suprémaciste noire dont le leader Louis Farakhan adore Hitler… Sans oublier les indigénistes anti-Blancs, les anti-juifs, anti-occidentaux et autres mélanchonistes et gauchistes trotskistes ou Black blocs…
La police va-t-elle prochainement choisir son camp ? Le ministre de l’Intérieur n’est pas en odeur de sainteté chez les policiers, sauf peut-être chez ceux qu’il a décoré, en les félicitant pour avoir blessé et mutilé des centaines de gilets jaunes.
Les Gilets Jaunes du début, qui brandissaient par patriotisme des drapeaux tricolores. Des gens pacifiques, qui ne venaient pas pour insulter et casser, mais pour manifester leur colère devant leur difficulté à boucler les fins de mois et contre l’augmentation du prix du carburant.
Et il y a quelques semaines, sur un geste de la main de Castaner, qui maintenant s’agenouille devant le clan Traoré, ils tapaient généreusement sur des aides-soignantes. Alors qu’ils fermaient les yeux devant les casseurs et la racaille.
A la question d’un journaliste indépendant à deux officiers des CRS en 2018, sur les Champs Elysées. Pourquoi rien n’est fait pour neutraliser les groupuscules violents ? Les Antifas, les Blaccccc-Blocks, anars et cie… Il lui a été répondu : « Nous n’avons pas d’ordres ».
Et pour cause, car il apparaît de plus en plus, que ces casseurs sont les meilleurs auxiliaires du Pouvoir. Et les meilleurs pour faire échouer les manifestations populaires ou dites « d’extrême droite ».
Le criminologue Xavier Raufer confirme: « La DRPP (Direction du Renseignement de la Préfecture de Paris) connaît un par un les 300 principaux activistes de cette mouvance. Ils savent où ils habitent et qu’ils sont les milices du projet mondialiste, mais ne les arrêtent pas ».
Pendant ce temps, ce Pouvoir s’acharne sur les Identitaires qu’il considère comme des ennemis, plus dangereux que les Islamistes. Pour la simple raison qu’ils s’opposent à ce funeste projet mondialiste.
L’oligarchie présidentielle tient entre ses mains la Justice, la Police, la Haute Administration, sans parler des médias serviles qui se font les meilleurs promoteurs de cette caste à l’ambition totalitaire.
La police demande à juste titre, le soutien de la population. Et la population a tout intérêt pour la soutenir. Elle est le principal rempart entre les agresseurs de l’intérieur et le citoyen qui veut vivre en paix. Mais comme elle est empêchée de faire son travail par un Gouvernement laxiste et soumis aux diktats de Bruxelles, elle se trouve impuissante pour appliquer les lois de la république aux intouchables.
D’autre part, avec les évènements récents et passés, la police a perdu son crédit et sa popularité. Pour la regagner, elle doit choisir son camp. Soit obéir au doigt et à l’œil à sa hiérarchie, (aux ordres du Pouvoir), soit prendre le parti du peuple.
La légitimité de Macron ne tient que par la fidélité des forces de l’ordre et en particulier d’une partie de celles-ci, malgré tout le mépris qu’elle reçoit de ces nouveaux aristocrates de basse extraction.
Le peuple « d’en bas », pour reprendre les mots de Raffarin, ne peut plus compter sur l’armée, ni sur la police pour sa protection.
En sourdine, le mécontentement gagne du terrain et si ceux qui détiennent la force des armes restent aux abonnés absents, il n’est pas impossible que comme en 1789 on assiste à un violent retournement de situation.
Or pour éviter ce genre de scénario, police et gendarmerie devraient s’imposer sur l’exécutif, très rapidement, pour faire enfin valoir les lois républicaines.
« L’Etat, est le plus froid des monstres froids. Il ment froidement. Le mensonge c’est pour faire croire qu’il représente le peuple » (Nietzsche).
Continuez à dégrader ou barbouiller les statues qui ont fait une partie de l’histoire de France. Vous avez devant vous des indifférents et des « élites » de l’Etat qui n’ont aucun courage pour vous arrêter et vous expulser.
Des lâches, qui nous font honte, des carpettes qui se couchent devant ceux qui leur crachent dessus et s’agenouillent devant votre arrogance. Comme Castaner par exemple, lui qui trahit la police qu’il devrait défendre pour caresser la racaille dans le sens du poil.
Continuez à agresser le franchouillard qui n’a rien à voir avec l’esclavage, pas plus qu’avec la colonisation et qui ne vous a rien fait. A dix contre un, pour ne lui laisser aucune chance, tout en accusant la société de négrophobie, alors que par vos comportements, vous faites tout pour la provoquer.
Vous jouez dans la dictature des minorités agissantes et vos manifestations font dans l’émotionnel. Mais prenez garde, demain vous risquez de trouver face à vous, d’autres manifestants qui seront aussi dans l’émotionnel et c’est vous qui connaîtrez une peur bien méritée. La patience des gens « raisonnables » et retenus par le complexe de l’ex-colonisateur a des limites.
D’ailleurs sans la colonisation, vous en seriez encore à l’âge de la préhistoire. Et pire encore, à pratiquer le cannibalisme.
Pour ce qui concerne l’esclavage, vos ancêtres en sont les premiers responsables. C’est eux qui vendaient leurs frères de race aux trafiquants blancs qui en faisaient le commerce. L’esclavage dans l’histoire, a toujours existé, il y a eu des esclaves blancs avant la traite des noirs.
Mais ce que vous ne supportez pas, c’est que des européens vous aient dominé et esclavagisé. On peut le comprendre, mais les européens doivent-ils maintenant exiger que les arabo-musulmans s’agenouillent devant eux pour avoir pratiqué pendant des siècles la mise en esclavage de leurs ancêtres ? La rancune doit elle être éternelle ?
Dans les pays africains, vous ne feriez pas le dixième de ce que vous faites ici ! Vous seriez roués de coups de gourdin par une police qui n’est pas celle des français et vos vies ne compteraient pour rien.
En France, vous avez tout ce qu’il faut pour bien vivre et souvent sans travailler. Pourtant, en toute ingratitude, vous insultez le pays qui vous donne l’hospitalité.
Aux EU, pour un des vôtres tué par un flic blanc, des noirs ont lynché plusieurs dizaines d’américains blancs. En Afrique du Sud, des fermiers blancs sont régulièrement massacrés par des noirs remplis de haine revancharde. Personne en parle, car il ne faut surtout pas faire une mauvaise publicité aux gentils africains. Il est bien connu que seuls les blancs sont responsables de tout le malheur sur Terre.
Malgré des milliards investis en Afrique par l’Occident, votre continent reste dans une indigence telle que sa population n’a pas d’autre ambition pour survivre que de vouloir gagner la France et l’Europe.
Appliquez chez vous le planning familial, et devenez adultes. Vous pouvez remercier l’ONU, le Mondialisme, les aides de Soros, pour traverser la Méditerranée, les ONG immigrationnistes et même le Pape François, sans lesquels vous seriez restés en Afrique.
Mais tout a une fin, alors profitez bien de votre séjour non souhaité dans le pays des gogos qui payent pour vous, tant que les conditions vous sont favorables. Cela ne durera pas toujours.
On peut lire sur un blog cette réflexion: « Pour les africains, la France est un Eldorado, pour exporter leur fertilité, se faire assister et en réclamer toujours plus ». C’est vache mais qui peut dire le contraire ?
Depuis 2016 et la visite au Puy du Fou, Philippe de Villiers échange régulièrement avec Emmanuel Macron. Des échanges souvent vifs et contradictoires.
Avec son nouveau livre, Les Gaulois Réfractaires demandent des comptes au Nouveau Monde, Philippe de Villiers dresse les échecs des mondialistes qui ont conduit à la gestion calamiteuse de la crise sanitaire du Covid-19. Un fiasco que les Français ont été les premiers à payer. L’ancien ministre alerte sur l’abandon progressif de notre souveraineté qui a conduit la France à être incapable de se fournir en masques, en tests, et même en Doliprane alors qu’elle était frappée par le nouveau coronavirus.
Il ajoute que ce sont ces mêmes carences, à l’instar de la casse du service hospitalier, qui ont poussé à assigner à résidence toute la population, en imposant deux mois de confinement sans discernement. Philippe de Villiers insiste sur ces dirigeants nomades qui ont fait primer depuis de longues années l’économie sur le politique pour parvenir à ruiner les deux. Il revient sur ces Français, enracinés, en prise avec le monde réel qui n’ont pas manqué à leurs devoirs pendant le confinement, pendant que les politiques eux, étaient à la dérive, entre les mensonges, les conflits d’intérêts et une incapacité chronique à gouverner, puisqu’à prévoir.
Philippe de Villiers reviendra également sans langue de bois sur ces séparatistes qui veulent fracturer la France en versant dans un racialisme dangereux, dans la lignée de Black Lives Matter, financé par l’Open Society de George Soros aux Etats-Unis et son homologue français, le collectif justice pour Adama (Traoré). Il alerte également sur la guerre civile, comme le dénonçait Ivan Rioufol, en décryptant les affrontements violents à Dijon entre des gangs de Tchétchènes et de Maghrébins.
Lou Roumegaire 