Persécution Judiciaire

Gérard Boyadjian est un cinéaste moderne. D’origine arménienne, il reste très attaché à la France, et c’est paradoxalement pour cette raison, qu’il a dû s’expatrier pour ne pas subir ce qu’il appelle un Djihad, judiciaire.

La raison en est principalement, son commentaire filmé, qui traitait avec un humour féroce, mais pertinent, les comportements de beaucoup de ces jeunes fils, ou petits fils d’immigrés maghrébins, qui se permettent ici, des « incivilités » qu’ils ne feraient pas ailleurs, et encore moins, dans les pays d’origine de leurs parents.

La 17ème Chambre correctionnelle, a donc considéré sa production avec la partialité qu’on lui connaît. La liberté d’écrire, de parler et de filmer a donc été placée sous l’angle du « délit de blasphème ».

Un délit, uniquement au profit d’une communauté et de sa religion, car lorsque la religion chrétienne est insultée, il n’est jamais question de délit.

Et comme on peut s’en douter, c’est bien évidemment la LICRA, qui s’est portée partie civile, en mettant en avant, son accusation habituelle: « contre la haine et l’incitation au racisme ». Pour cette catégorie de défenseurs de la vertu et de la morale, mais seulement quand elle est estampillée sous le sceau du « progressisme ».

Association lucrative, non seulement, à travers des procès qu’elle intente aux écrivains imprudents, qui sont invités à connaître les foudres de la Justice, mais avec les 500 000 euros annuels qu’elle touche de l’Etat.

Dans ces conditions, comment s’étonner qu’il puisse y avoir une collusion entre l’Etat, le Parquet et ces groupuscules actifs, comme la Licra et trois ou quatre autres du même acabit.

Mais a-t-on déjà vu, ce genre de défenseurs de la morale, porter plainte contre des rappeurs qui insultent la France et la société qui les enrichit ?

Comme celui qui vocifère, en guise de chanson des crachats verbaux, payés par les idiots qui l’écoutent : « Nique la France et son passé colonialiste. Ses odeurs, ses relents et ses réflexes paternalistes. Nique la France et son histoire impériale…Ce que je pense de leur identité nationale, de leur Marianne, de leur drapeau et de leur hymne à deux balles…je ne vais pas faire un dessin pour voir comment je me torche avec leur symbole écœurant. » Et d’autres pamphlets, pires encore…Mais ce serait trop long à le citer tous.

Le juge gauchiste, devient aujourd’hui l’exécuteur de basses œuvres. Les mots deviennent des instruments au service d’une idéologie. La sienne, qui est aussi celle d’un Système tout puissant.

Ce n’est plus, « Nous avons les moyens de vous faire parler » (De Francis Blanche), mais, Nous avons les moyens de vous faire taire.

Les minorités imposent leur volonté sur la majorité silencieuse et utilisent pour leur profit et pour celui des associations déjà citées, des accusations sans fondement, pour amener au silence une opinion qui aurait une volonté de résistance.

 Comme on exploite la peur du virus chinois, on utilise les mots pour faire peur, avec pour finalité un passage devant le Tribunal.

En Angleterre, des centaines de gamines de familles pauvres, ont été prostituées par des gangs Pakistanais. Tout le monde, et même la police, savait. Personne n’a dénoncé ce scandale, pourtant à grande échelle. Pourquoi ?

Parce-que la crainte de passer pour « raciste », paralysait la langue des témoins. Et pendant des années ces crimes ont continué.

La presse, qui reçoit des millions de l’Etat, ne peut qu’être à la solde de ce Gouvernement mondialiste. Et comme ceux qui dirigent le pays veulent cacher la vérité aux citoyens, il ne faut pas compter sur les médias pour dénoncer l’inacceptable.

La reconfiguration de la France, par les migrations est voulue en haut lieu. D’une part par l’ONU, et par le Système financier sans frontières, car ce dernier a besoin de ces nouveaux arrivants, comme de l’extrême gauche et de l’Islam, pour arriver à ses fins !

Et le français lambda, qui a remplacé son esprit critique et sa lucidité par un aveuglement programmé, devenu maintenant de la non voyance, n’a pas encore compris les enjeux stratégiques et ce qui arrive à son pays.

Onyx

Djihad Judiciaire

 
Le « Djihad Judiciaire » est un Film/Documentaire interdit et censuré.
 
Ce documentaire expose le dévoiement dangereux des institutions judiciaires françaises qui consiste aujourd’hui à « intimider, menacer, museler et condamner » tout propos critique vis à vis de l’Islam sur le territoire national. Cela représente une composante cruciale de la structure permettant et organisant l’islamisation de la France. Suite à la condamnation par la Cours d’Appel de Paris du Cinéaste Français : « Gérard Boyadjian » pour son film pamphlétaire : « Chameau Pas d’Amalgame », ce dernier est à l’initiative du documentaire DJIHAD JUDICIAIRE qui met à nu « les Juges de la morale », « les Procureurs de la pensée » et expose les entrailles de cette Magistrature, indéniablement soumise à l’agenda politique de nos dirigeants (collaboration volontaire active), corroborant son inclinaison idéologique incontestable.
 
La liberté d’Expression en France se meurt sur l’autel du « Politiquement correct ». Un nouveau cap périlleux pour notre Démocratie a été franchi et désormais l’institution judiciaire s’arroge de pouvoirs inédits en pourchassant des intellectuels, écrivains, historiens, policiers, artistes… qui ne s’alignent pas sur le discours de la « Doxa Dominante ». « La Justice n’a jamais eu vocation à rendre la justice. Sa seule et unique fonction est de maintenir l’ordre social. Et cela repose, sur une profonde injustice.
 
 » Gérard Boyadjian (Le documentaire sera en accès libre afin de le diffuser et le propager sur tout le territoire national. Néanmoins c’est votre contribution financière qui permet à des artistes dissidents, de créer des oeuvres indépendantes, non soumises aux diktats d’une industrie, subordonnée par le pouvoir politique.) https://paypal.me/pools/c/8fODcnX6xc

Faudra-t-il tirer à vue ?

Faudra-t-il tirer à vue sur la racaille ? (écrit un commentateur sur le site Riposte Laïque). C’est ce que ne se prive pas de faire la police brésilienne avec ses commandos, formés spécialement pour juguler l’extrême violence dans des favelas criminogènes. En employant les mêmes méthodes expéditives que les voyous.

Bien sur, la France n’est pas le Brésil, et pour le camp du bien nous reviendrons aux heures les plus sombres de l’histoire. Tellement nous sommes, comme liés et enlacés depuis longtemps par des barrières juridiques qui sont autant de freins pour que la société  ne se défende pas contre des agresseurs de l’intérieur.

Et puis, il y cette idéologie gauchisante qui a complètement submergé la magistrature, l’Etat, la politique (dite de droite), la haute fonction publique, les médias et même la hiérarchie policière.

Les franc-macs en avaleraient leur dentier, les cathos du Pape François feraient sonner le tocsin et les bobos-écolos allumeraient partout des bougies avec des fleurs.

Le Qatar refuserait toute aide financière à la France et certaines personnes ne trouveraient pas de mots assez durs pour dénoncer des méthodes inhumaines que la morale républicaine réprouve etc…

Et pourtant, que disait Luc Ferry, quand il parlait de tirer à balles réelles sur les Gilets jaunes ?

Est il possible d’abandonner le pays à la racaille ?

On apprend que le 1/3 des vermines d’importation interpellés au dimanche soir du PSG étaient des mineurs isolés. Et comme chaque fois, les forces de « l’ordre » avaient ordre de ne pas intervenir devant les pillages de magasins, les vitrines brisées, les voitures cabossées, retournées ou incendiées etc…

Alors qu’ailleurs, la police dressait des contraventions pour le non port du masque, maintenant que le microbe est moins dangereux, mais que le danger est plutôt à chercher sur la place publique et dans les rues.

Pendant aussi, que sur des plages, des baigneuses aux seins nus  sont invitées à se couvrir, alors qu’on fiche une paix royale aux femmes voilées.

Des voitures de police sont prises à partie; on voit des individus danser sur le toit ou sur le capot, donner de violents coups de pied, accompagnés d’insultes, pendant que les flics ne savent plus s’il faut avancer ou faire marche arrière. Quelle autorité peuvent-ils avoir après ?

Bref, ceux qui devraient nous protéger reculent devant des petites frappes et se ridiculisent devant eux. Pendant que les agresseurs de tout poil, avancent encouragés par la passivité policière.

Mais, pas plus que l’on guérit le virus chinois avec du Doliprane, on ne guérit pas la violence sociale avec des rappels à la loi !

A-t-on vu les CRS utiliser des LBD contre les casseurs, en visant la tête ou les parties sensibles, comme ils l’ont fait avec les GJ ? Taper sur les honnêtes gens, sur les franchouillards, c’est plus facile. Les fautifs seront rarement sanctionnés.

Les ordres sont formels ! On ne touche pas à la diversité, ni aux antifas, ni aux Black-blocks. Ces derniers restant leur meilleure milice et leur meilleur soutien.

Et encore moins à la racaille d’importation. Le syndrome Malik Oussekine est toujours là. Les Gouvernements successifs sont paralysés de peur quand il faut intervenir contre ces intouchables. On préfère acheter la paix sociale à coups de millions d’euros, et fermer les yeux.

Mais par contre, les lanceurs d’alerte, les contestataires, n’ont qu’à bien se tenir. Pour eux, il y aura toujours une place disponible en prison.

A cause de son silence devant des agressions, des crimes et des faits graves, notre république bananière est en train de vivre le scénario « Orange Mécanique » d’Obertone, après être passée par la montée de l’immigration de masse, non intégrable que dénonçait à l’époque Jean Raspail, avec son livre prophétique « Le Camp des Saints ».

Mais avant d’en arriver à des solutions extrêmes, qui pourtant risquent de devenir envisageables si l’anarchie l’emporte sur le modèle républicain, il serait bon d’arriver à des mesures de bon sens. Suppression de la CAF et des allocs, pour les familles de délinquants, construction de nouvelles prisons, limogeage des juges gauchistes et expulsion immédiate des délinquants étrangers.

Pour le moment, on parle souvent d’ensauvagement de la société mais rien n’est fait pour y mettre fin !

Onyx,,

Déclaration de Monseigneur Louis de Bourbon, Duc d’Anjou

Chers Amis, chers compatriotes,
 
Quelle tristesse de constater que d’année en année, la situation de la France se dégrade. Fort de la responsabilité que m’imposent les huit siècles de royauté capétienne dont je suis l’héritier, la gravité actuelle de l’état de la France, m’amène à m’exprimer, en ce jour où l’Eglise fête Saint Louis, le modèle des gouvernants.
 
Force m’est de constater que notre pays s’enfonce vers des jours de plus en plus graves, alors que j’aimerais que mes déclarations puissent saluer le renouveau que tous les Français fidèles et qui croient en la destinée de leur pays, espèrent de tout leur cœur.
 
Atteinte depuis plusieurs années par une crise morale qui la fait douter d’elle-même, de sa mission, de son identité, la France doit aussi subir de nombreuses attaques venues de l’extérieur, tellement diffuses et perverses, qu’il est difficile de toujours bien les cerner, et de trouver les bonnes ripostes. La difficulté est d’autant plus grande que la vérité n’est plus regardée en face et que les mots sont travestis par l’idéologie au point de perdre leur sens. Ceux qui résistent vaillamment sans perdre confiance, souvent animés d’une foi profonde, ne suffisent pas à redresser la situation. Pareillement, nos militaires engagés sur de nombreux terrains au-delà de nos frontières, constatent que leur sacrifice et leur abnégation ne suffisent pas isolément à recréer une dynamique de vainqueur. Les combats se gagnent certes sur le terrain, mais c’est d’abord dans les cœurs et les esprits que se forgent les conditions de la victoire qui doit trouver son expression politique.
 
Or, bien souvent, la France donne l’impression que cette volonté n’est plus là. Pourtant il faudrait peu de choses : lui redonner le goût et le sens de la victoire qu’avait la France sûre d’elle-même et de sa mission ; et lui rappeler les grands moments de son passé qui demeurent des exemples pour demain.
 
Cet état d’esprit qui pourrait surgir à nouveau si les Français le veulent, semble oublié, annihilé. Les « élites » depuis la Révolution n’ont agi que par intérêt. Quand reviendra-t-on au Bien Commun, à la justice, à la protection des plus faibles ? Quand acceptera-t-on de redonner aux mots leur sens et d’oublier qu’il n’y a ni incivilité, ni jeunes sauvageons mais violences gratuites et nouveaux barbares sans foi ni loi qu’il s’agit de combattre et de punir. En effet, chacun de leurs crimes ruine la vie sociale. Or elle est déjà bien difficile pour de nombreux Français déjà confrontés à une situation économique et sociale souvent critique. Pourtant, la dernière crise sanitaire a montré combien nos compatriotes étaient capables de sursauts et d’initiatives quand l’Etat ne les oppresse pas ; quand il ne les accable pas d’une fiscalité de plus en plus lourde et injuste puisqu’elle n’assure plus les services publics même les plus essentiels ; quand l’Etat ne s’attaque pas aux libertés. Les Français, en nombre toujours plus grand, se rendent compte que les institutions ne répondent plus à leurs attentes légitimes.
 
Combien de crises faudra-t-il encore ? combien de sacrifiés pour que les yeux s’ouvrent ?
 
Il y a quelques mois, crise sanitaire aidant, des esprits lucides avaient posé la question de savoir si ces évènements, dûs largement au moins dans leurs conséquences, aux erreurs accumulées qui se traduisent par des centaines de milliers de mort, en France, en Europe et dans le monde entier, n’étaient pas l’occasion de réfléchir aux désordres des dernières décennies. Le beau symbole du « jour d’après » semblait porteur d’avenir. En réalité quelques mois après, les mauvaises habitudes ont largement triomphé des bonnes résolutions et les jours d’après semblent encore plus catastrophiques que ceux d’avant. Le vote, devant une assemblée quasi déserte de la loi dite bio-éthique en est la plus éclatante manifestation… Elle est à la fois contraire à l’ordre naturel et à l’éthique. Elle cumule le déni du système représentatif actuel par la manière dont elle a été élaborée et la rupture avec les fondements de l’humanité. Les manipulations contre nature sont en train de franchir une nouvelle étape vers une société de chimère ou plus aucune limite ne semble retenir les hommes. La société de la peur et des contraintes est aussi, désormais, celle de la mort planifiée.
 
Quel monde avons-nous devant nous ? Quel monde laisserons-nous à nos enfants ?
 
Je parle ici comme héritier et successeur des Rois de France mais aussi comme père et époux. Je sais combien de jeunes couples sont inquiets pour l’avenir de la société ; l’avenir de leurs enfants ; de nos enfants.
 
Heureusement les siècles d’histoire nous apprennent que les situations les plus terribles ne sont pas irréversibles. La France s’est sortie d’autres périls et cela même quand elle a failli perdre sa souveraineté comme au temps de Charles VII. La mission de Jeanne d’Arc l’a sauvé d’un péril d’autant plus éminent que l’ennemi était déjà installé sur notre sol. Celle qui est devenue en 1920 la patronne du Patriotisme a sauvé le pays et a restauré la monarchie légitime.
 
De tels exemples doivent nous redonner espoir et susciter de nouvelles initiatives pour reconstruire la France.
 
Puisse Saint Louis, modèle des souverains et des gouvernants, protéger la France et l’aider à retrouver le sens de sa mission.
 
Louis de Bourbon, Duc d’Anjou

Face aux sauvages, les Français doivent choisir : se défendre ou disparaître

Les violences, qui ont éclaté après la défaite du PSG, dimanche à Paris, constituent le dernier épisode d’un assaut global, protéiforme, omniprésent et croissant d’une partie significative de l’immigration maghrébine et sub-saharienne contre tout ce qui est ou fait français, dénonce Jean Messiha, délégué national du RN. Tribune.

Les événements de dimanche soir, survenus à la suite de la défaite du PSG face au Bayern de Munich en finale de Ligue des Champions, ne sont une surprise pour personne. Il y a même fort à parier qu’en cas de victoire, les émeutes auraient été encore plus graves car encore plus de racailles auraient convergé vers les Champs-Élysées.

Nous sommes en réalité dans la chronique de la France ordinaire, ou plutôt de cette « nouvelle France » que la coalition « humaniste-progressiste » et la lâcheté de la droite pseudo-gaulliste ont engendré au fil des années.

Le football lui-même n’est pas en cause. C’est un sport magnifique qui, depuis des décennies, fait vibrer des centaines de millions de gens sur tous les continents et parfois des milliards pour les Coupes du monde. C’est un sport populaire, de masse et passionnel qui est souvent le miroir des problèmes et des dérives d’une société. C’est notamment cela qui explique aussi que son histoire est mêlée de violences, parfois terribles, dans et autour des stades.

Ce que nous avons vécu le 23 août au soir n’est que la répétition de ce qui s’est produit, ici en France, lors de la Coupe d’Afrique des Nations qui se jouait en Egypte, quand les succès de l’équipe d’Algérie provoquaient des émeutes en série. Mais c’est également la conséquence de bien d’autres événements non sportifs qui rassemblent les gens pour ce qui devrait être un moment de joie et de partage.

Les caractéristiques du PSG ont-elles joué un rôle ? Il fait certes partie de ces grands clubs mondialisés et diversitaires dont l’actionnariat, la direction et l’équipe n’ont plus qu’un vague lien avec la ville dont il est censé porter les couleurs. Est–il si différent des grands clubs britanniques, espagnols, italiens ou allemands ? Il est certes encore plus dénationalisé ou déraciné que tous ceux-là mais ce n’est jamais qu’une question de degré. Le fait est tout de même que les grands matchs de Manchester United, du fameux Barça, de la Juventus ou du Bayern ne donnent pas lieu à de telles émeutes urbaines.

La réalité est que les grands clubs français très « métissés » deviennent une référence pour des minorités en quête de repères. Plus qu’embarrassés, les « progressistes » tentent une sorte de diversion en comparant les scènes d’émeutes du 23 à celles du « hooliganisme ». C’est évidemment faux. Les « hooligans », le plus souvent britanniques, étaient des forcenés souvent avinés dont l’objectif était de « se foutre sur la gueule » avec les supporters de l’équipe adverse. En témoignent les innombrables bagarres qui émaillaient les rencontres entre clubs britanniques. De la testostérone malsaine dans un contexte de délabrement social provoqué par le néolibéralisme sauvage de Margaret Thatcher.

D’autres « progressistes » tentent le rapprochement avec les Gilets jaunes et leurs exactions. Disons la vérité. Ces exactions ont été commises par des groupes anarchistes (black blocks) ou des individus en rupture de ban (« ultra-jaunes »), idéologiquement proches de la France insoumise. Oui, bien sûr, il y a aussi une « racaille blanche » en France, ultra minoritaire, qui aimerait faire tomber la République. Mais attention, elle ne s’en prend qu’à ce qui représente l’Etat ou la richesse.

Non, ce qui s’est passé aux Champs-Élysées fait partie d’une toute autre dynamique. Un assaut global, violent, protéiforme, omniprésent et croissant d’une partie significative de l’immigration maghrébine et sub-saharienne contre tout ce qui est ou fait français. Cela va des insultes, des coups de pieds et de poings, des coups de couteau, des écrasements, individuels ou collectifs contre le « Céfran », le « Feuj », « le mangeur de porc », la « pute blanche » et bien sûr le « flic », le pompier, le militaire, parfois même le médecin ou l’infirmier, tous incorporés dans ce peuple honni qu’il faut soumettre par tous les moyens.

De tout temps l’invasion s’est imposée par la force. Des civilisations entières se sont fondées sur l’arrivée de peuples nouveaux, déterminés, conquérants. Nous y faisons face aujourd’hui. Notre choix est simple : nous défendre ou être assujetti. Nous défendre ou disparaître. Nous avons encore une chance car le peuple historique et les immigrés qui s’y sont assimilés est encore majoritaire. Mais il l’est un peu moins tous les jours.

Ce qui est certain c’est qu’en tant que pays démocratique et résolu à le rester, nous avons besoin d’une force politique pour mener ce combat dans le cadre de l’Etat de droit mais aussi du droit du peuple et donc de l’Etat à obtenir ce qu’il veut. La gauche « insoumise », communiste, socialiste ou écologiste s’est fixée pour mission de permettre à cette invasion de triompher. C’est incompréhensible mais c’est ainsi.

De son côté, la « macronie » n’a pas l’intention de s’y opposer. Quant à ce qui reste de la droite, elle reste dans une ambivalence délétère dont la présidence Sarkozy fut emblématique avec le « karcher » et l’identité nationale brandis comme des hochets mais avec, au final, une impuissance coupable. La martialité verbale de Gérald Darmanin donne des frissons à certains. Mais elle se heurtera à une présidence de la République et une magistrature « droit-de-l’hommiste » jusqu’à la mort.

Le Rassemblement national veut arrêter cet assaut et soumettre cette racaille – devenue française par le délirant « droit du sol » – à choisir entre le respect de nos lois mais aussi de notre identité ou la prison ou l’émigration volontaire. Quant aux étrangers, ils doivent demeurer soumis à une règle simple : une présence paisible ou l’expulsion. Les Français doivent réaliser que chaque quinquennat raté du point de vue de la défense de ce que nous sommes, ferme un peu plus la fenêtre d’opportunité pour nous ressaisir. Nous ressaisir devient donc plus qu’urgent.

Jean Messiha pour Valeurs Actuelles

Une Bonne Nouvelle

Le Qatar, et ses mercenaires ont perdu le match et ce n’est pas moi qui vais en pleurer. Le budget du PSG serait de 600 millions d’euros par an, grâce à son généreux donateur. Mais le Qatar l’est-il autant, avec son équipe de foot, qu’avec les bénéficiaires de la manne qu’il distribue gracieusement, pour alimenter le terrorisme international ?

Si cette équipe de foot (dite française) avait au moins le mérite d’être composée de joueurs natifs de son territoire, l’argent (pas très propre) du petit pays rapace du Golfe Persique, serait déjà incongru, mais comme ce n’est pas le cas et que tous les joueurs sont importés d’ailleurs et surtout du continent africain, elle n’est plus représentative du sport national. Cela me paraît évident !

Ce n’est d’ailleurs pas d’hier que la France fait venir à grands frais des équipiers exogènes, alors que des jeunes « gaulois » pourraient avantageusement les remplacer et à moindre frais, peut-être.

Car donner des sommes fabuleuses, pour taper sur un ballon, c’est une injure à ceux qui se lèvent tôt le matin pour faire tourner le pays et qui touchent le smic.

Et puis, (je vais me faire des amis) que représente le football, sinon un passe-temps de cour d’école primaire, qui a réussi à devenir un jeu à vocation internationale. Ou comme disait, un célèbre homme d’Etat: « C’est un jeu de primaire, inventé par des plus évolués ».

L’équipe qui représente la France métissée a perdu. Un véritable symbole pour les résistants à l’invasion du pays, par la culture américano-gauchiste.

Peut-être, faut-il voir là, le commencement de l’écroulement de ce Mondialisme, jusque-là triomphant, avec son acharnement assidu à rompe toutes les barrières, entre les différents peuples, leurs civilisations, leurs cultures, leurs particularités et leurs origines ethniques.

Un bras d’honneur à Soros et toutes les ONG pro-migrants. Comme quoi, on n’est pas toujours gagnant, quand on va à l’encontre du bon sens et de la logique.

Je ne dirai pas non plus bravo au Bayern, qui ne représente pas l’Allemagne, car comme en France, ces dirigeants de clubs prennent l’habitude de donner la préférence à des joueurs étrangers.

Le foot, en particulier est pourri par l’argent, et maintenant ne représente plus qu’une devanture, pour le Grand Remplacement, cher à Renaud Camus.

Mais il est des « supporters » qui ne supportent pas la défaite, ils en sont malades. Et puis ceux, qui de toutes façons se seraient livrés à toutes sortes de dégradations, quel que soit le vainqueur. Les Black-blocks par exemple, et puis il y a la racaille, qui auraient préféré que l’équipe du Qatar soit la gagnante. Mais qui auraient cassé quand même. Peut-être même davantage, afin de satisfaire sa rage destructrice.

Comme d’habitude, le bilan est lourd, puisque l’on compte environ, 100 millions de frais: Voitures incendiées, magasins pillés, poubelles brûlées… et 148 interpellations. On croirait depuis quelques temps, que le football n’a pas d’autre but que d’alimenter les pulsions de haine.

Mais rassurons-nous, cette fois Darmanin est décidé à montrer ses muscles. Il va nous faire un discours qui va faire trembler toutes les racailles de France et de Navarre.

Onyx

Quand la Chine Rit, l’Europe se Lamente

L’économie chinoise est toujours aussi florissante, alors que partout  ailleurs, elle plonge vers des lendemains imprévisibles.

On nous apprend encore du nouveau au sujet de la genèse  de ce  coronavirus.

Dans une vidéo, la  généticienne Alexandra Henrion-Caude, nous donne quelques nouvelles précisions: « Il est démontré que  le SRAS Covid 19, n’est pas seulement un hybride entre le virus de la chauve souris et le virus du pangolin. Mais à l’intérieur, il y a de petits inserts de résidus d’acides aminés du virus VIH-1, responsable du sida. La présence de ces inserts dans un virus développé dans la nature, ne pourrait jamais se produire ».

Ce n’est donc plus une hypothèse, mais la confirmation que le Pr Montagné voyait juste.

Il serait donc un organisme génétiquement créé, dans un but de militarisation, avec l’aide technique d’un laboratoire américain, mais aussi avec la collaboration d’une équipe française pour la mise au point du laboratoire de Wuhan.

Les américains connaissaient-ils le projet sous jacent des militaires chinois? C’est peu probable!

Il en ressort, que ce virus aurait été « bricolé » à Wuhan, pour le rendre encore plus meurtrier. Il ne s’agit pas d’accuser la Chine de l’avoir volontairement disséminé à l’extérieur. C’est certainement un accident et une fuite échappant à tout contrôle, qui a provisoirement mis la Chine dans une situation difficile, mais qui s’est avérée ensuite très favorable pour son commerce. Pour la simple raison, que ce microbe meurtrier s’est diffusé partout dans le monde, occasionnant l’écroulement économique de nombreuses nations.

Bien sûr, les chinois ont dénombré un grand nombre de morts du fait de cette épidémie. Mais dans un pays de 1 milliard 400 millions d’habitants, c’est un moyen naturel, pour un Gouvernement cynique, ne se chargeant pas de considérations morales, de juguler son trop plein de population.

Ce pays, continue toujours son projet expansionniste. Sans parler,  de sa main-mise sur le Tibet, de ses embrouilles sur la frontière avec l’Inde. On lui reproche, la militarisation des îlots de la mer de Chine, son autoritarisme forcené sur Hong-Kong, sa volonté de récupérer Taiwan (pays souverain) l’envoi d’une armada de bateaux de pêche au large des îles Galapagos et son pillage insidieux du savoir des pays plus avancés dans le domaine technologique.

D’autre part, elle construit un nouveau porte-avion de conception entièrement futuriste.

 » Si tu veux la paix, prépare la guerre », (comme dit le proverbe).

En fait, elle veut devenir la première puissance économique et militaire. A côté, les islamistes ne feront jamais le poids, dans leur volonté de domination du monde!

Les chinois représentent aussi une concurrence sérieuse pour les Américains,  les Russes et les Européens.

Mais un question se pose. Faut-il demander des dédommagements à la Chine pour les préjudices subis par cette pandémie?

Ce serait normal.

Ses réserves financières en or et en dollars sont au plus haut. Et malgré tout, elle fait payer sans vergogne les masques qu’elle nous envoie. Alors que le premier geste serait de les offrir.

Le Gouvernement capitalisto-communiste chinois, ne s’est jamais lié à l’idéologie du Mondialisme et de son projet de Gouvernement mondial, mais profite à merveille de la mondialisation marchande.

Sa survie économique est à ce prix et son intérêt n’est pas de ruiner les pays qui sont se clients, mais de les subvertir pour rester en position dominante.

Car le jour où elle connaîtra du marasme économique, elle deviendra militairement dangereuse pour se concurrents.

Onyx

 

Crise au Mali : qui sont les putschistes et pourquoi ont-ils renversé le président Ibrahim Boubacar Keïta ?

Des militaires ont pris le pouvoir mardi dans le pays, après avoir arrêté et poussé à la démission le chef de l’Etat. Menés par des officiers peu connus, ils réclament notamment davantage de moyens et des changements politiques.

Le Mali n’a officiellement plus de chef d’Etat. Dans un pays ébranlé ces derniers mois par une profonde crise politique après des élections législatives contestées, des militaires ont pris le pouvoir, mardi 18 août, à Bamako, la capitale. Ils ont renversé le président Ibrahim Boubacar Keïta (surnommé IBK), qui a annoncé sa démission dans la nuit de mardi à mercredi. Ils promettent d’organiser des élections générales « dans des délais raisonnables » afin de « permettre au Mali de se doter d’institutions fortes ». Retour sur ce putsch en cinq questions.

Quel est le profil militaire des putschistes ?

« Ce sont des officiers supérieurs pas forcément très connus, avec de bons liens sur le terrain », explique à franceinfo Marc-André Boisvert, chercheur canadien indépendant et spécialiste de l’armée malienne. Antoine Glaser, journaliste et expert de l’Afrique, précise que « ces officiers supérieurs sont en lien avec le Mouvement du 5 juin qui conteste dans la rue le président Ibrahim Boubacar Keïta. Ils sont, eux aussi, mécontents d’IBK, qui les a humiliés en disant qu’ils étaient incapables de reprendre le nord du pays. »

L’un d’eux au moins a été formé en France. Selon Le Monde (article payant), un nom retient en effet l’attention parmi les putschistes, « celui du général Cheikh Fanta Mady Dembélé. Saint-Cyrien, passé par l’Ecole de guerre, officier brillant lors de diverses missions de l’Union africaine (…) il avait récemment dirigé l’Ecole de maintien de la paix au Mali. »

Que réclament-ils sur le plan militaire ?

Ces soldats putschistes, acclamés ces dernières heures dans les rues de Bamako par des opposants à IBK, veulent avoir les moyens, la paie et la reconnaissance adéquates pour lutter contre les jihadistes. Quand elle n’est pas appuyée par la force française Barkhane, l’armée malienne « a beaucoup de mal« , relève Antoine Glaser. Ce dernier pointe le geste symbolique des putschistes : « Ils ont arrêté des hauts gradés qu’ils accusent de mauvaise gestion sur les armements« .

La désinvolture d’IBK a également contribué à accentuer le mécontentement dans l’armée. « A la fin de l’année 2019, il y a eu des attaques meurtrières contre des soldats maliens. A ce moment-là, le chef de l’Etat n’a vraiment pas joué son rôle, il a fait le service minimum, en guise de réaction. Cela a eu un effet important sur le moral des troupes alors que le nombre d’attaques ne cesse d’augmenter, détaille Marc-André Boisvert. Les soldats prennent des risques élevés sans avoir leur dû. Parallèlement, ils voient la corruption au sein des élites militaires ou politiques« .

Dans ce cadre, les vidéos qui ont circulé début juillet, montrant le fils du président « tout sourire sur un yacht, dansant avec des femmes dénudées puis se faisant masser sur une plage d’Espagne », comme le décrit Le Monde, ont constitué une étincelle supplémentaire. « Que pensent les militaires en voyant ça ? ‘Nous, on meurt pour trois francs six sous, on a une vie difficile. Et vous, vous prenez de belles vacances’”, synthétise le chercheur.

Que veulent-ils sur le plan politique ?

Ils souhaitent un changement de pouvoir. Ils ont déjà obtenu le départ du président qui, après son arrestation, a démissionné, comme le réclamait la rue depuis des semaines, à la suite des législatives contestées qui se sont déroulées au printemps. La campagne a été marquée par l’enlèvement du chef de l’opposition Soumaïla Cisse, les rapts d’agents électoraux, le pillage de bureaux de vote et l’inversion, par la Cour constitutionnelle, d’une trentaine de résultats, dont une dizaine au profit du parti d’Ibrahim Boubacar Keïta.

Fin mai, l’influent imam conservateur Mahmoud Dicko, des partis d’opposition et un mouvement de la société civile ont noué une alliance inédite appelant à manifester pour réclamer la démission du président. Elle a donné naissance au Mouvement du 5 juin-Rassemblement des Forces patriotiques du Mali. Depuis, les manifestations se sont succédé pour dénoncer les fraudes électorales et l’impuissance du pouvoir face à l’insécurité et au marasme économique.

Les putschistes ont répondu à la demande de la rue qui avait réclamé la démission d’IBK. La grande majorité des Maliens n’en pouvaient plus de ce régime sans aucune politique d’ouverture.

Antoine Glaser, spécialiste de l’Afrique à franceinfo

Marc-André Boisvert va dans le même sens. « Pour l’instant, la population est plutôt contente de l’éventualité d’un changement de pouvoir« , estime le chercheur.

Sont-ils amenés à rester au pouvoir ?

« Rien n’indique qu’ils vont garder le pouvoir », répond le spécialiste canadien. « Leur message était mûri, démocratique et vise à rassurer la communauté internationale en assurant qu’on va vers une transition démocratique ». Les militaires putschistes ont en effet promis des élections générales. Toutefois, le coup d’Etat du 22 mars 2012 demeure dans toutes les têtes. Des militaires avaient alors renversé le président Amadou Toumani Touré, accusé d’incompétence face à l’offensive des rebelles dans le Nord. L’attaque devait d’ailleurs déclencher l’intervention de la France au Mali avec l’opération Serval, devenue Barkhane.

Les militaires avaient alors eu la tentation de garder le contrôle, avant de le restituer finalement au pouvoir civil. Cependant, le scénario de 2020 diffère de la situation de 2012, assurent les spécialistes. La pression internationale sera forte. « C’est un acte politique majeur dans la région qui sème l’inquiétude dans les pays voisins », relève Antoine Glaser. « La Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest [Cédéao] a annoncé des sanctions financières pour étrangler financièrement les militaires. Il faut maintenant attendre pour savoir qui va prendre le pouvoir ».

« Au Mali, observe de son côté Marc-André Boisvert, il y a la force Barkhane et des unités de l’Onu. Autant d’éléments qui font que les putschistes ne peuvent pas faire n’importe quoi. »

Source : France info

Pourquoi en sommes-nous là ?

La France, comme la plupart des pays de l’Europe de l’Ouest, connait de très graves problèmes liés aux difficultés ou refus d’adaptation de populations venant d’autres continents et cultures. Au lieu de tout faire pour devenir des Français comme les autres, on dirait qu’ils veulent recréer ici la civilisation qu’ils ont fuie.

Je ne parle pas des immigrés d’origine Européenne, Cambodgienne, Vietnamienne ou Chinoise. On n’entend pas parler d’incivilités causées par ces communautés. Les autres, qui se plaignent d’être rejetés et diabolisés, ne font rien pour les imiter. Les populations générant des problèmes ont un dénominateur commun : elles sont toutes musulmanes.

Il est donc logique de se poser des questions pour savoir si les bases de cette religion sont saines. Y aurait-il de bons et de mauvais musulmans ? Ou les fondements de cette religion sont-ils dangereux et ne peuvent produire que des fruits toxiques ?

Examinons le livre sur lequel l’Islam est fondé, le Coran. Il y a combien d’appels au meurtre des mécréants, Chrétiens et Juifs dans ses versets ? Les Chrétiens prennent comme modèle Jésus, les Musulmans disent que Mohamed est le ‘Beau Modèle’. Mais Jésus n’a jamais fait égorger 6000 à 9000 hommes d’une tribu qui lui déplaisait, il n’a jamais pris leurs jeunes et jolies femmes comme esclaves, il n’a jamais épousé plusieurs femmes dont une de 6 ans ! Je ne vais pas énumérer tous les ‘exploits’ de Mohamed et de ses disciples, il suffit de rechercher des sources historiques fiables en ligne et en librairie.

Nous avons pris le mauvais virage dans les années 1970. Durant cette décennie nous savions déjà que la période des 30 glorieuses était révolue et que les robots industriels arrivaient. Au lieu d’arrêter le flux de travailleurs immigrés, on a au contraire voté cette loi néfaste du regroupement familial.

Si on avait encore besoin de travailleurs peu ou pas qualifiés, il y avait un réservoir de Harkis et fils de Harkis déjà là. On avait un devoir envers ces Algériens qui avaient versé leur sang pour la France. En favorisant l’emploi de ces Harkis on aurait fait d’une pierre deux coups : on les aidait à mieux vivre avec leurs familles et on s’assurait la fidélité d’une communauté déjà francophile. Nous ne devions rien à ceux qui avaient choisi de nous expulser.

Si ça ne suffisait pas on aurait pu faire appel à des travailleurs Européens ou Asiatiques (hors pays Musulmans).

Si après tout cela, on avait encore eu besoin de main d’œuvre Nord-Africaine ou Subsaharienne, alors il fallait leur faire signer des contrats spéciaux :

  • Contrat en CDD de deux ans, non renouvelable. Vu le temps de formation très court, il n’était pas nécessaire de renouveler les contrats pour profiter des compétences acquises pendant les deux années précédentes.
  • Ces travailleurs auraient dû cotiser pour l’assurance maladie, car ils auraient été couverts pendant leur séjour de deux ans.
  • Par contre ils n’avaient pas à cotiser pour la retraite, vu qu’ils n’avaient pas vocation à demeurer ici. En imitation des contrats en intérim, une fois la mission terminée on leur fait signer un ‘solde de tout compte’ et on les oublie définitivement.

Toutes ces mesures étant de s’assurer que ces travailleurs d’appoint ne prennent pas racine. Aujourd’hui notre pays aurait une autre allure si ces mesures avaient été mises en place il y a plus de quarante ans. Imaginons la France avec dix millions de Musulmans en moins. La prospérité, la sécurité et le taux de chômage des Français seraient bien différents. 

Les gauchistes Français de toute tendance voient ces migrants comme des alliés. Que les Communistes, Socialistes, Verts, féministes, LGBTQ+ soient prudents. Si un jour l’Islam arrive à réaliser son rêve : prendre le contrôle de la France, tous ces gens-là seront considérés comme des mécréants et d’après la loi Musulmane (la Charia) ils seront envoyés de vie à trépas. Je dis à nos bien-pensants ‘Il est dangereux de faire alliance avec le Diable’.

Le Covid-19 n’est qu’un petit souci passager, la masse de ces musulmans vivant parmi nous, mais pas avec nous, est une véritable bombe à retardement. Ce manque de précautions de la part des anciens dirigeants pourrait causer aux français bien plus de trente mille morts dans les années à venir. Mais je ne suis pas prophète, prions pour que je me trompe.

La France attend désespérément le personnage charismatique qui saura la sortir du marécage.

Roland Rabier

Vaccin Obligatoire pour Bientôt

Le Président Trump vient de décider que les médicaments considérés comme essentiels, dont le Rivotril (de Raoult), devront être produits aux EU. Il s’attaque ainsi, à la poule aux œufs d’or de la mafia pharmaceutique, qui dit-il, ruine les caisses de maladie et intoxique les peuples. Et pour lui, ces médicaments devront être d’un prix le plus bas possible. Il veut, par la même occasion, supprimer les intermédiaires parasites et s’attaquer à la corruption dans la Santé publique et aux gangs criminels, liés au Parti démocrate : Clinton Obama.

Ces quelques phrases devraient pourtant être prononcées par le Chef de l’Etat français, car elles s’appliquent au mot près, à la situation que nous connaissons, ici même. Mais ne rêvons pas, Macron, pour notre malheur, n’est pas Trump.

Il est même son contraire, et non seulement rien ne changera, mais tout empirera.

L’INSERM milite pour les 11 vaccins obligatoires. Ne vous étonnez pas si son PDG est le mari de la Buzyn, ex-ministre de la Santé.

Mais pour le moment, c’est un vaccin contre le virus chinois qui les intéresse. Et pour le rendre obligatoire, alors qu’une partie des gens sont sceptiques sur son efficacité, ou si opposant par crainte des adjuvants toxiques qu’il contient, rien de mieux que de jouer sur la terreur qu’inspire ce fameux virus.

Nous connaissons les arguments : Cette épidémie va continuer à sévir, attention à la 2ème vague à partir de Septembre, et il faudra re-confiner. Alors que ce microbe qui était ravageur vers Février-Mars a beaucoup perdu de son potentiel létal, (un peu comme une pile électrique qui se décharge avec le temps).

De cette façon, nos élites politiques et médicales, incriminées dans la gravissime gestion de l’épidémie, jouent sur deux tableaux.

D’un côté, ils retardent le jour où ils devront rendre des comptes, de l’autre, ils mettent le public dans l’attente tant espérée d’un vaccin « salvateur ». Celui qui va enrichir encore plus, d’une façon honteuse, les laboratoires pharmaceutiques, avec pour certains spécialistes médicaux des retombées financières non négligeables.

Mais n’y a-t-il pas un autre moyen d’éradiquer ce virus de malheur ?

Aucun de ces infectiologues concernés ne parle de défenses naturelles. Pourtant, la première barrière pour empêcher l’agent pathogène d’envahir l’organisme.

Des bactéries et des virus, il y en a partout, on en boit, on en mange, on en respire. Le premier geste médical serait plutôt de renforcer nos défenses immunitaires. Le microbe n’est rien, le terrain est tout, disait un célèbre thérapeute.

Or le Conseil de l’Ordre dictatorial des médecins n’a rien trouvé de mieux que de les transformer en petits soldats obéissants, en leur faisant prescrire du Doliprane, totalement inactif et inapproprié.

Ce qui a coûté environ 2O à 30 000 de morts inutiles.

D’ailleurs, à quoi servira un vaccin, si le virus se transforme ? Faudra-t-il un vaccin pour chaque menace microbienne qui s’annonce ?

Pendant ce temps, on continue à entrer comme dans un moulin dans notre pays. On pousse les gens à porter un masque, alors que tous les jours, des clandos entrent sur le territoire sans le moindre contrôle sanitaire.

Et tout est fait pour oublier la grave menace que représente cette immigration extracontinentale. Certainement plus toxique que le Covid-19.

Mais bouche cousue, il ne faut surtout pas le dire ! C’est de la mal pensance …

Onyx