« Mineurs Non Accompagnés »

Combien de tueurs potentiels dans les 50 000 miles clandestins qui débarquent en France chaque année ? Combien de victimes auraient été évitées en contrôlant plus drastiquement l’immigration et en expulsant les fruits pourris.

Un attentat de plus, avec un hachoir cette fois, de la part de l’un de ces chers « mineurs isolés ». Acte terroriste, lit-on dans la presse. En réalité, manifestation de la charia, comme pour Charlie, Nice ou le Bataclan.

C’est bien le Djihad, qui est une obligation de la charia pour le musulman, qui suit à la lettre ses directives, qui est responsable de cette tentative de meurtre.

Ce Pakistanais, soi-disant mineur, mais âgé de 25 ans, n’a fait que répondre aux exigences des sourates les plus violentes de son Coran : « Quand vous rencontrez des infidèles, tuez-les, jusqu’à en faire un grand carnage » (Sourate 2 ‘La vache’, versets 190-193).

« Que les mécréants ne pensent pas nous avoir échappé. Ils ne pourront jamais nous empêcher de les rattraper à n’importe quel moment » (Sourate 8, verset 59).

Selon Zemmour, ce que ne conteste pas Alain Bauer, le criminologue, il y aurait 120 attaques au couteau par jour, en France. Le coût de l’accueil de ces clandos, mineurs ou pas, serait de 130 000 euros par jour. Après ça, l’Etat peut bien emprunter encore et encore, il n’y en aura jamais assez.

Et les départements sont mis à contribution à hauteur de 2 milliards d’euros annuels pour s’occuper et entretenir ces mineurs, souvent marocains, lesquels la plupart du temps, vivent de rapines sur le dos du contribuable français, assez aveugle et tolérant pour accepter de payer, se faire attaquer et gâcher la vie.

Quant à Macron, il pratique l’esquive et la reculade au lieu d’affronter résolument ces problèmes.

Le juge, par idéalisme, a refusé les tests qui auraient prouvé que ce pakistanais n’était pas mineur, et cela aurait évité qu’il soit pris en charge par l’Aide Sociale à l’enfance (ASE) le I9 juillet 2019.

Un juge, comme tant d’autres, qui font comme bon leur semble, sans avoir à justifier de leurs erreurs.

Notre maudit universalisme « humaniste » nous coûte très cher, tant en argent qu’en vies humaines. Ces MNA sont lâchées hors de leurs structures d’accueil et 40% d’entre eux sont délinquants. Vols avec violence, arrachages de colliers, de sacs, cambriolages, squats et lynchages en meute. Et ces mineurs sont chaque année plus nombreux.

Mais pour l’immigration, le budget est illimité, alors que Fillon déclarait en 2015 que la France est ruinée. Et dernièrement, c’est 300 clandos qui vont arriver depuis la Grèce (l’île de Lesbos) et encore 130 africains de Libye.

C’est l’avocat G. W. Goldnadel, (la voix de la raison) qui avoue : « Je fais partie, de la majorité de français qui n’acceptent plus l’immigration. Je la vis comme un drame et une invasion. On n’a jamais demandé leur avis aux français ».

Quant à la Commission de Bruxelles, par la voix de l’allemande Ursula Von der Leyden, elle déclare: « Certains Etats membres ont la tentation de poursuivre au Pénal, les ONG humanitaires, qui débarquent les migrants sur leurs côtes. Nous n’acceptons pas que les humanitaires puissent être poursuivis pour leur activité de sauvetage ».

De quoi s’occupe cette femme, alors que nous n’avons aucun droit moral envers des migrants, quels qu’ils soient. Nous avons suffisamment de malheureux et il serait peut-être le moment de penser à eux, car charité bien ordonnée commence par les siens.

Onyx

L’ensauvagement des rues Mythe au Réalité ?

Depuis plus d’une trentaine d’années, on assiste à une montée exponentielle des crimes et délits sur le territoire national. De 700 000 faits constatés à la fin des années 80, les services de Police enregistrent annuellement plus de cinq millions de crimes et délits. Bien au delà, de la centaine de quartiers contrôlés par des bandes « ethnico-délinquantes » composées d’individus édictant leurs propres règles de vie basées sur les profits criminels usant systématiquement la violence et l’intimidation contre les forces de l’ordre considérées comme des bandes rivales, l’ensauvagement des rues ne fait aucun doute.

Non seulement, l’État n’arrive plus à endiguer la violence mais pire encore n’arrive plus à protéger les citoyens qui sont confrontés directement à la délinquance. Fin connaisseur du sujet de la sécurité, Maurice Signolet, commissaire divisionnaire honoraire, dégagé de ses obligations de réserve, avec ses invités Olivier Damien et Patrick Yvars, tous deux anciens chefs de service dans la Police Nationale, livre un constat, des explications aussi dérangeantes soient-elles sur cette déliquescence sécuritaire et la faillite du régalien. Avec une police coupée du terrain, privée de renseignements, la sécurité collective des français est sérieusement compromise par une délinquance multiforme et un ensauvagement dans notre société s’amplifiant au fil du temps et générant de nombreuses victimes. L’ensauvagement des rues est une menace de plus en plus inquiétante pour nos concitoyens et appelle des réponses fortes et cohérentes !

La vieillesse est sans pitié

Que s’est-il donc passé dans la société française pour être confronté à une telle baisse de la qualité de la discussion publique ? Pour la première fois dans l’histoire de France, il n’y a plus de grands intellectuels ! André Bercoff et Charles Gave sont sans pitié avec la classe « jacassière » devenue stupide , la progression du crétinisme aussi bien dans la classe politique que chez les élites…

« Le Sauveur attendu »

La vieillesse est un naufrage, aurait dit Malraux à son sujet. Mots prêtés à De Gaulle également. On pourrait peut-être, en dire autant pour le sieur Mélenchon, puisque depuis qu’on voit sa tête à la télé, sa politique a toujours présenté les signes d’un naufrage.

On ne peut pas dire, qu’il manque d’aplomb ni de confiance en lui. Il affiche son républicanisme admiratif de Robespierre ou de Marat, au point de hurler à la face d’un policier « La République c’est moi ».

En effet, elle marche tellement bien cette République, qu’elle représente à merveille ce que serait sa gestion du pays. Le totalitarisme sectaire et vindicatif gauchiste, en plus.

Mélenchon semble tout faire, pour se rendre antipathique. Il est insultant pour ceux qui ne pensent pas comme lui, blessant dans ses propos, arrogant, se croyant indispensable, revendicatif, cynique, bouffon et grossier. Le parfait comportement d’un beauf, sans la moindre éducation.

On pourrait croire que ce méchant virus chinois, ne s’attaque jamais à des teigneux, sinon il serait déjà mort.

Il passe à tort ou à raison pour un homme cultivé, qui connaît bien l’histoire de France. Et pourtant… Il vient de faire une faute  de niveau maternelle supérieure.

Il se déclare ravi que la France se « créolise ». Pourquoi n’a-t-il pas auparavant consulté le dictionnaire Larousse ? Il aurait appris qu’un créole représente en réalité, le contraire de ce qu’il veut faire entendre.

Parce que, dans sa tête de fanatique du métissage avec l’Afrique, le créole est obligatoirement un métis. Ce qui est exactement le contraire. Pour lui, qui dit-il, ne peut pas se supporter dans un pays où il n’y a que des blonds aux yeux bleus. Et il ajoute: « Je ne souhaite pas être un catho occidental. Je préfère être un noir athée ».

Le créole est un blanc parti aux Antilles vers le XIXème siècle. Souvent d’ailleurs un esclavagiste, et ses descendants sont appelés des « békés ». On apprend aussi, que Joséphine de Beauharnais, première épouse de Napoléon, était une créole.

Et oui, Mélenchon est dévoré par une ambition, celle de transformer la France traditionnelle en succursale de Cuba ou du Venezuela. C’est un homme, qui en bon franc-mac du Grand Orient, déteste la France  catholique et gauloise, mais qui pourrait très bien s’entendre avec le Pape François. Même apologie de l’immigration, de l’amour de l’étranger exotique, surtout s’il est musulman.

Il a fait voter le Traité de Lisbonne, pour appeler ensuite  à lutter contre des politiciens, qu’il avait fait élire auparavant. Belle démonstration de son double jeu pervers.

Il parle constamment du monde du Travail. Un monde qui n’est pas le sien, mais qu’il prétend défendre. C’est un bourgeois aux revenus confortables. Son patrimoine serait estimé à plus d’un million (selon Médiapart).

En réalité, son parti politique « Les Insoumis », ne représente qu’une soumission de plus au Grand Capital. Et il est regrettable que des quantités de gens sincères et antisystème se fassent prendre au jeu de ce rigolo.

Onyx

 

Viktor Orbán sur l’immigration : « Il n’est pas difficile de voir la réalité du remplacement de population »

Dans un article publié en Hongrie et repéré par le journal Valeurs Actuelles, Viktor Orban, premier ministre de Hongrie, ne mâche pas ses mots au sujet d’un nouveau « pacte migratoire » que veut imposer la Commission européenne (non élue) aux peuples européennes, pacte présenté le 23 septembre par la commissaire aux affaires étrangères Ylva Johanson.

« L’idée principale est de mettre fin à la répartition des migrants par quotas et de mettre en place un « mécanisme permanent » entre pays volontaires. Seulement, il y a trop peu de pays volontaires et Ylva Johansonplaide pour un « mécanisme de solidarité obligatoire ».  Tous les Etats membres devraient donc aider et un système de solidarité européenne prenant la forme d’une aide financière ou d’une aide en nature pourrait être mis-en-place » peut-on lire sur VA.

Voici la réaction d’un des derniers remparts politiques contre l’invasion migratoire en Europe :  « Selon les libéraux loufoques, il n’y a aucune raison de craindre une immigration de masse, ni même un flot d’immigration. Et il n’y a aucune raison de le craindre même si les traditions nationales et religieuses des invités indésirables sont radicalement différentes des nôtres – voire opposées aux nôtres (…) On nous dit que le terrorisme, la criminalité, l’antisémitisme et l’émergence de sociétés parallèles ne sont que des irrégularités temporaires, ou peut-être les affres de la naissance d’un nouveau monde radieux sur le point de voir le jour. Mais le camp démocrate conservateur chrétien rejette une telle expérience imprévisible sur les sociétés et les individus » explique Orban, jugeant que les tensions entre cultures et la violence qu’elles peuvent générer sont « inacceptables ».

Avant de conclure : « À moins d’ignorer les lois des mathématiques, il n’est pas difficile de voir la réalité d’un remplacement de la population sûr, lent, mais qui s’accélère ».

Source : Breizh-info

Les Sauvageons

Ces derniers jours, une étudiante marche dans une rue de Strasbourg et elle est prise à partie, en plein jour, devant une trentaine de personnes par trois individus, qui lui reprochent de porter une jupe. Quoi de plus normal dans un monde normal, pour une femme, de porter une jupe ?

Mais ça ne l’est pas pour 3 vermines qui passaient par là et qui commencent par l’insulter (salope, baisse les yeux). Ce qu’elle ne fait pas, et c’est tout à son honneur.

Un des agresseurs l’attrape par un bras, l’autre par l’autre bras et le troisième la frappe au visage. Le comble de la lâcheté qui ne mérite qu’un crachat à la gueule !

Des témoins voient la scène, et pas un n’a la réaction de faire quelque chose. Ne serait-ce que d’appeler aussitôt la police.

Il est certain, que si seulement un petit groupe de personnes s’étaient interposées, les agresseurs n’auraient pas insisté.

Mais comme à chaque fois, qu’est-ce qui empêche les témoins de réagir ? La peur de prendre un coup de couteau ? Certainement !

Mais il y a autre chose, c’est l’individualisme et le manque de solidarité dans l’abandon de toute appartenance, dont souffre cruellement la société.

Bien sûr, comme toujours, la ou les victimes n’osent pas parler de l’origine de leurs agresseurs. Le poids de la bien pensance fait que les bouches se taisent.

Après Laura et Marianne poignardées à Marseille, Axelle, traînée sur 800 mètres par une voiture, après Juliette qui se fait casser des dents parce qu’elle refuse de donner son numéro de téléphone et une cigarette à un « jeune » (car elle ne fume pas) qui l’aborde dans la rue. Ces jeunes filles ne font que prolonger la longue liste des victimes du « vivre ensemble » avec des ados qui se conduisent dans l’espace public comme de véritables sauvages.

Elle raconte: « Je suis une victime du harcèlement de rue dans l’espace public. Je voudrais que toute l’énergie que vous pourriez avoir à me plaindre, soit redirigée vers un combat beaucoup plus global. Je n’arrive pas à me regarder dans un miroir, je ne dors plus, pleure beaucoup et n’arrive encore pas à manger normalement. Mobilisez-vous, pour faire en sorte qu’une gamine de 19 ans n’ait plus à vivre ce que je vis aujourd’hui. »

Mais là aussi, aucun mot sur l’origine de celui qui est son agresseur !

Comment, ces filles ne seraient-elles pas traumatisées pour le reste de leur vie ?

Dernièrement encore, un mariage de la diversité tourne à la foire d’empoigne. Soixante-dix convives dit le Maire, veulent entrer dans la Mairie tous ensemble, avec 30 minutes de retard. Des cris, des insultes et du bruit. Le Maire décide de ne laisser entrer que 7 personnes. Aussitôt, c’est l’émeute, avec le scénario habituel. On s’en prend aux pompiers, à la police avec poubelles et voitures brûlées, dans la rage de détruire.

Mais comme il n’est pas dans la mentalité du lyonnais moyen de faire autant de scandale, même pour un mariage, il n’était pas très difficile de conclure qu’il ne pouvait s’agir que d’une cérémonie très marquée par des habitudes en provenance d’outre Méditerranée.

Un homme politique désavoué à l’époque, car trop lucide disait: « Un jour, les français raseront les murs, dans leur propre pays ». C’EST FAIT !

Onyx

Cette fois, c’est pour de vrai, comme disent les gamins. Le peuple a compris l’immense imposture dont il a été la victime

La gauche politique, toutes tendances confondues, n’est pas la gauche historique.

La droite politique, toutes tendances confondues, n’est pas la droite.

Les grands partis qui ont dominé le paysage politique français, se sont effondrés lors des dernières élections. La supercherie a fait long feu. Le roi est nu.

Mitterrand a fait de la vie politique une sorte de jeu de rôles, dans lequel chaque acteur occupant le devant de la scène joue à la perfection le rôle qu’on attend qu’il joue.

Mitterrand est une espèce de Rastignac qui, par la ruse, un cynisme machiavélique, avec sa bande de copains, s’est emparé du pouvoir, de tous les pouvoirs.

Mitterrand ne croit en rien si ce n’est en lui, en son moi qu’il met au-dessus de tout. Il a perverti en profondeur le jeu politique français. On pourrait dire qu’il l’a subverti, pour ne pas dire détruit. Il a remplacé les vrais représentants, ceux qui étaient l’expression des grands courants politiques en France, par des « acteurs », des « comédiens » qui jouent le jeu qu’on attend qu’ils jouent.

Pour parvenir à ce résultat proprement hallucinant, Mitterrand a éliminé les « vieux dirigeants ». Étant devenu titulaire du label « gauche », il placardise la totalité de la vieille garde socialiste, puis il marginalise de plus en plus le Parti communiste qui l’a porté au pouvoir. Pour neutraliser et diviser la droite classique, il fait la promotion d’un minuscule parti d’extrême droite, le Front National.

Il parvient à ce bouleversement du paysage politique, en enrôlant tous les ex-soixante-huitards et en prenant appui sur une nouvelle caste : celle des premiers de la classe des « Grandes Écoles », c’est-à-dire de gens qui comprennent très vite ce qu’il faut faire pour plaire au Maître et obtenir les meilleurs notes-postes.

Les Premiers de la Classe ont fait tandem avec les arrivistes de tous bords, c’est-à-dire des êtres sans morale, sans traditions, sans scrupules. Des êtres animés (comme lui) par un seul et unique objectif : la réussite de leur carrière.

Pour continuer à faire croire que l’on défend le « peuple », on fait du sous-prolétariat le modèle incontournable. On met systématiquement les « sans » en avant : sans-papiers, sans domicile fixe, sans emploi, sans morale, sans principe…

Le culte  des « sans », celui des migrants, plus celui de la mère nature… crée le cocktail de la nouvelle mouture idéologique de la culpabilité et de la faute. Le peuple français, désigné comme le responsable de tous les maux, doit être puni. Il est livré sans défense à la canaille des rues et aux appétits du fisc.

Ce trio improbable et étonnant (gauche libertaire, arrivistes, premiers de la classe) a produit la terrible situation dans laquelle la France se trouve actuellement : un grand pays dévasté, en voie de sous-développement, dont une grande partie des élites dirigeantes s’est enrichie sans complexe.

La France ressemble à un géant dont la tête est reliée au corps par le fil du mensonge et de la tromperie.

Le pouvoir pour asseoir sa domination n’a d’autre choix que l’institutionnalisation de la dictature politico-médicale.

Le peuple, réduit à la condition humiliante de malade incapable de se prendre médicalement en charge, doit faire l’objet d’une surveillance permanente de la part des pouvoirs publics et de la police.

Le pouvoir, pour nous sauver, doit nous soigner, c’est-à-dire nous séparer les uns des autres, nous contraindre à porter un masque dans l’espace public, voire nous faire vivre sous la menace constante d’un renfermement général.

Nous ne disposons que d’une seule et unique arme pour combattre légalement cette nouvelle forme de dictature : le contentieux. Il faut nous regrouper et contester devant les tribunaux cette politique confiscatoire, dangereuse, nocive pour la santé, pour l’économie, l’emploi, la culture… en tout premier lieu, il faut nous mobiliser pour défendre les enfants devenus otages d’une idéologie mortifère.

Source : © Sidney Touati pour Dreuz.info.

Police, Justice : Pourquoi plus rien ne marche ?

Après une accalmie pendant le confinement, l’été en France a été particulièrement meurtrier. Chauffeur tabassé à mort, gendarme écrasée, aide-soignante traînée sur 800 mètres par un chauffard, toutes les formes de criminalité y passent.

Même les chevaux subissent cet ensauvagement généralisé avec des faits de mutilation qui se multiplient partout sur le territoire.

Politique du chiffre contre-productive, chiffres falsifiés par les ministères pour cacher la misère, explosion des récidives, tous les indicateurs sont au rouge. Face à cette montée de la violence, la police semble démunie, inefficace.

Comment expliquer une telle situation ? Le problème est-il budgétaire ? La police défend-elle toujours les citoyens ? Les Français vont-ils finir par s’armer et se défendre eux-mêmes ? Le criminologue Xavier Raufer et le policier et secrétaire général du syndicat Vigi – Ministère de l’Intérieur, Alexandre Langlois, dressent un constat accablant de la situation.

Réflexions sur la Peine de Mort

L’avocat Badinter est à l’origine de la suppression de la peine capitale. Depuis les années Mitterand, elle est ostracisée, surtout dans les milieux intellectuels, mais aussi les milieux populaires. Pourtant à l’heure actuelle, selon des sondages, 55% des français sont pour son retour.

A l’époque, elle a dû son abolition en grande partie, à cause de l’image de barbarie que donnait cet instrument sanglant et d’un autre temps que représentait la guillotine.

Une injection intraveineuse létale, aurait-elle marqué de la même façon, l’inconscient collectif ? La question reste ouverte …

Un débat sur le sujet, assorti d’un référendum aurait été préférable avant toute décision. Quelques élites, au nom d’un humanisme discutable, sont passées au-dessus d’une majorité de citoyens qui voulait la maintenir.

Peut-être, 30 années en arrière il pouvait être opportun de s’y opposer. Tant qu’elle restait la peine maximale, elle servait de limite dans l’échelle des sanctions pénales, même si elle n’était que très rarement appliquée.

Elle devait être remplacée par la prison à perpétuité pour les crimes particulièrement odieux. Ce qui n’a jamais été le cas. Et petit à petit, les sanctions sont devenues de moins en moins sévères, pour en arriver aujourd’hui à de peines dérisoires pour des actes très graves parfois.

Comme le rappelle Philippe Bilger (ex-procureur): « Avec une justice qui fonctionne, il n’y aurait pas besoin de Peine de mort.

Mais à présent, nous sommes en 2020, et les temps ont changé. La société tourne à l’ensauvagement, comme le constate le Ministre Darmanin. Tous les jours, il n’est question que de viols, de vols, d’attaques au couteau, d’agressions et de bandes de voyous armés etc… Ces derniers, sitôt arrêtés sont libérés et le cycle des violences continue. Il faudra bien y mettre fin un jour !

Ensuite, un autre facteur s’ajoute maintenant à cette criminalité généralisée, c’est le pire celui-là. L’Islam radical nous a déclaré la guerre depuis plusieurs années. Nous sommes en état de guerre !

Or, partout dans le monde, quand on est attaqué on se défend.

Par conséquent, les traîtres et les ennemis sont jugés par des tribunaux militaires. Et les sanctions sont celles que Clémenceau leur réservait. C’est à dire, l’utilisation d’armes létales sans le moindre état d’âme.

L’Islam intégriste veut nous détruire, quoi de plus normal que d’utiliser les mêmes moyens qu’il emploie. Ce qui revient à dire, que les assassins en puissance, que Belloubet libère, ne devraient jamais sortir de prison.

Et qu’il est illicite, de ramener sur notre territoire des individus dangereux, pour les sortir des camps de Syrie, où ils risquent une peine de mort parfaitement justifiée.

Dans cette société bien-pensante, où l’idée de tuer un criminel est refoulée, elle est tout à fait admise et encouragée, cela en toute hypocrisie, quand il s’agit de l’avortement. On dirait même, que le monde blanc occidental doit être affaibli dans sa démographie, au bénéfice des nouveaux venus d’Afrique, Il n’y a pas d’avortement pour ceux-là !

Actuellement, celui-ci est admis jusqu’au 9ème mois de la grossesse. Ce qui restera dans l’histoire comme une honte pour l’humanité et un génocide, après tant d’autres.

On tue, au nom d’un progrès factice, et par le biais de la médecine, des enfants sur le point de naître ! Et dernièrement, presque 3000 personnes isolées ou en maison de retraite, sont mortes par manque de soins. Comme si leur vie n’avait pas plus d’importance que celle d’insectes nuisibles.

Conclusion. La peine de mort continue pour les plus faibles mais on épargne les mauvais.

« Qui pardonne au crime, en devient complice » (Voltaire).

Onyx

Le Caporalisme Fantaisiste Vert

Ce n’est pas, par des postulats, dignes de nouveaux Ayatollah que les « Verts » (EELV) se feront apprécier. Quelques prises de position malheureuses laissent entrevoir ce que sera leur gestion.

LE Tour de France, selon Grégory Doucet, Maire de Lyon, » donne une image machiste de la femme dans le sport. Quand on défend les valeurs du sport, dit-il, on défend l’égalité homme et femme. Il devrait y avoir, un Tour de France féminin depuis longtemps ».

Ce monsieur devrait savoir que les femmes ont une constitution physique qui n’est pas celle des hommes. Ce qui convient à un sexe ne convient pas forcément à l’autre. Ce qui n’a rien à voir avec une quelconque recherche d’égalité.

Je sais bien que pour ce genre de « progressistes », les sexes sont interchangeables. Ils diront bientôt qu’ils n’existent pas et que les hommes peuvent enfanter.

Seulement la réalité ne tient pas compte de leurs fantasmes.

Il appuie ses arguments spécieux par le coût élevé du Tour pour la ville. Comme si un Tour de France féminin coûterait moins cher.

Peut-être, en supprimant toute la logistique qui l’accompagne et la caravane qui va avec. Mais tout le charme festif serait rompu.

Il parle aussi du gaspillage d’énergie, à cause du carburant dépensé et d’émanations de CO2.

Pour une fête aussi populaire, (une seule fois dans l’année), il serait préférable de rechercher le gaspillage ailleurs.

Un Maire qui boude les cérémonies à la basilique de Fourvière et qui va poser les premières pierres de la Mosquée de Gerland (banlieue de Lyon).

Il y a aussi Hurmic, le Maire « Vert » de Bordeaux, qui veut priver de sapin de Noël sa ville, avec des arguments tout aussi fantaisistes.

Peut-être, pour plaire à une certaine religion, qui voudrait bien remplacer nos traditions par les siennes. Et qui par-dessus le marché se permet de faire un bras d’honneur à ses nouveaux administrés. « L’opinion des fachos, je m’assieds dessus ».

Quant à Piolle, le maire écologiste, indéboulonnable de Grenoble, il veut désarmer les policiers municipaux, au moment où la délinquance dans la ville explose de partout.

On comptera bientôt les perles de ces bobos-écolos néo-féminins, comme Alice Coffin, élue de la Mairie de Paris: « Ne pas avoir de mari ça m’expose plutôt à ne pas être violée, ni tuée, ni tabassée ».

Peut-être, cette dame est lesbienne, ce qui la dispense d’un mari. Peut-être aussi, fait-elle allusion à un mari qui serait un converti ou un islamiste qui la traiterait de cette façon.

Pour un avocat bien connu, « l’écologie politique est le nouvel avatar du gauchisme soixante-huitard. C’est le mariage de SOS racisme, du MLF, et du PSU des années 60 ».

J’ajouterai que c’est maintenant une succursale du PS moribond et un recyclage de celui-ci. Pour ces écologistes de salon, « les systèmes d’oppression, coloniaux, racistes et patriarcaux, sont responsables de la mort de la planète.

En fait ces gens-là sont contre nos traditions et contre la civilisation occidentale en particulier. Ils forment les gros bataillons des bisounours, des sans couilles et des soumis.

Mais il y a la véritable écologie ouverte à tous et puis, l’écologie politique, qui montre bien pour qui elle travaille, en parlant d’une union des Gauches, qu’elle voudrait dominer.

En réalité, ces Verts ont bénéficié pour les élections de l’effet Greta Thumberg. Cette gamine qui a très bien joué sur la peur d’un éventuel et hypothétique cataclysme prochain à cause du réchauffement planétaire.

Même si ce phénomène est réel, il ne dépend pas forcément de l’activité humaine. Et puis à quoi serviront des petites mesures contraignantes et antipopulaires, si partout ailleurs on pollue à grande échelle?

Ils montrent une fois de plus, qu’ils sont à côté de la plaque. La plaque tectonique, peut-être, et qu’ils voient le réel à travers des verres dépolis ou peints en vert.

Onyx