Massacre du 17 octobre 1961 à Paris : que s’est-il passé il y a 60 ans ?

Il s’est passé un massacre qui n’a pas eu lieu… C’est une manipulation des faits et de la propagande anti-française du FLN maintenant recyclée par Macron pour tenter de se sortir du bourbier diplomatique dans lequel il s’est fouré en soutenant tout et son contraire : d’abord que la colonisation fut un crime contre l’humanité, puis Teboune contre le Hirak, puis la fausse légitimité historique du pouvoir algérien…

La vraie victime est l’histoire :

« 1) La guerre d’indépendance algérienne se déroula également en métropole. Pour la période du 1er janvier 1956 au 23 janvier 1962, 10 223 attentats y furent ainsi commis par le FLN. Pour le seul département de la Seine, entre le 1er janvier 1956 et le 31 décembre 1962, 1433 Algériens opposés au FLN furent tués et 1726 autres blessés. Au total, de janvier 1955 au 1er juillet 1962, en Métropole, le FLN assassina 6000 Algériens et en blessa 9000 autres.

2) Face à ces actes de terrorisme visant à prendre le contrôle de la population algérienne vivant en France, le 5 octobre 1961, un couvre-feu fut imposé à cette dernière afin de gêner les communications des réseaux du FLN et l’acheminement des armes vers les dépôts clandestins.

3) En réaction, le 17 octobre 1961, le FLN décida de manifester afin de montrer sa force, et pour tenter d’achever sa prise de contrôle des Algériens vivant en métropole.

4) Assaillis de toutes parts, les 1658 hommes des forces de l’ordre rassemblés en urgence, et non les 7000 comme cela est trop souvent écrit, sont, sous la plume de militants auto-baptisés « historiens », accusés d’avoir massacré des centaines de manifestants, d’en avoir jeté des dizaines à la Seine et d’en avoir blessé 2300.

Or, cette version des évènements du 17 octobre 1961 à Paris relève de la légende et de la propagande. Tout repose en effet sur des chiffres inventés ou manipulés à l’époque par le FLN algérien et par ses alliés communistes. Jouant sur les dates, additionnant les morts antérieurs et postérieurs au 17 octobre, pour eux, tout Nord-Africain mort de mort violente durant le mois d’octobre 1961, est une victime de la « répression policière »… Même les morts par accident de la circulation comme nous le verrons plus loin !!!

Cette manipulation fut réduite à néant en 1998, quand le Premier ministre de l’époque, le socialiste Lionel Jospin, constitua une commission d’enquête. Présidée par le conseiller d’Etat Dieudonné Mandelkern, elle fut chargée de faire la lumière sur ce qui s’était réellement passé le 17 octobre 1961 à Paris. Fondé sur l’ouverture d’archives jusque-là fermées, le rapport remis par cette commission fit litière de la légende du prétendu « massacre » du 17 octobre 1961.

Le paragraphe 2.3.5 du Rapport intitulé Les victimes des manifestations est particulièrement éloquent car il parle de sept morts, tout en précisant qu’il n’y eut qu’un mort dans le périmètre de la manifestation, les six autres victimes n’ayant aucun lien avec cet évènement, ou ayant perdu la vie postérieurement à la dite manifestation dans des circonstances parfaitement détaillées dans le rapport.

Quel est donc l’état des connaissances aujourd’hui ?

– Le 17 octobre 1961 à Paris, il n’y eut qu’une seule victime dans le périmètre de la manifestation… et ce ne fut pas un Algérien, mais un Français nommé Guy Chevallier, tué vers 21h devant le cinéma REX, crâne fracassé. Par qui ? L’enquête semble attribuer cette mort à des coups de crosse de mousqueton.

– Le 17 octobre 1961, alors que se déroulait dans Paris un soi-disant « massacre » faisant des dizaines, voire des centaines de morts algériens, ni les hôpitaux parisiens, ni l’Institut Médico-Légal (la Morgue), n’enregistrèrent l’entrée de corps de « NA » (Nord-Africain dans la terminologie de l’époque). Ce qui ne veut naturellement pas dire qu’il n’y eut pas de blessés, mais mon analyse ne porte que sur les morts.

– A Puteaux, donc loin du périmètre de la manifestation, deux morts furent néanmoins relevés, or ils étaient étrangers à la manifestation. L’un d’entre eux deux, Abdelkader Déroues avait été tué par balle, quand le second, Lamara Achenoune, avait quant à lui été achevé par balle après avoir été étranglé.

– Le 18 octobre, à 04 heures du matin, le bilan qui parvint à Maurice Legay le directeur général de la police parisienne était donc de 3 morts, pour rappel, Guy Chevallier, Abdelkader Déroues et Lamara Achenoune. Nous sommes donc loin des dizaines ou des centaines de morts et de « noyés » auxquels la bien-pensance française rend annuellement hommage !!!

Conclusion : le seul mort algérien de la manifestation est donc un Français métropolitain…

Certes, postulent les accusateurs de la France, mais les cadavres des Algériens « massacrés » par la police furent reçus à l’IML, l’Institut Médico-Légal de Paris (la Morgue), les jours suivants.

Cette affirmation est également fausse. En effet, l’Annexe III du « Rapport Mandelkern » donne un décompte détaillé des 41 cadavres de Nord-Africains entrés à l’IML de Paris du 19 octobre au 4 novembre. Pour mémoire, le 17 octobre il n’y eut aucune entrée, et 2 le 18 octobre.
Sur ce nombre de 41 morts, 25, soit 13 corps identifiés et 12 corps non identifiés sont mentionnés sous la rubrique « Dossiers pour lesquels les informations disponibles sur la date de la mort ou ses circonstances ne permettent pas d’exclure tout rapport avec les manifestations des 17-20 octobre ». Ceci fait que les 16 autres morts n’ont rien à voir avec la manifestation du 17 octobre.

En ce qui concerne les 25 morts restants, notons immédiatement que le sous-titre de l’Annexe III est singulier car la manifestation dont il est question eut lieu le 17 octobre et non les 19 et 20 octobre. De plus, ce titre est trompeur car il laisse sous-entendre que ces 25 décès auraient donc pu être causés par la police française, chiffre d’ailleurs régulièrement et péremptoirement transformé en morts avérés par certains auteurs ou journalistes. Or :

1) Si ces derniers avaient pris la peine de lire le document en question dans son originalité et son intégralité, et non à travers ses recensions, ils auraient vu qu’en face de chaque corps est porté un numéro de dossier de la police judiciaire suivi de la précision suivante : « Indications relevées dans le dossier d’enquête de la police judiciaire ».

2) Or, grâce à ces « Indications relevées dans le dossier d’enquête de la police judiciaire », il apparait clairement que 17 de ces 25 défunts ont été tués par le FLN, la strangulation-égorgement, l’emploi d’armes blanches etc., n’étant pas d’usage dans la police française… D’autant plus que parmi ces 17 morts, quatre furent assassinés le 19 octobre, soit deux jours après le 17 octobre, à savoir un commerçant qui avait refusé de suivre la grève du 19 octobre décrétée par le FLN et deux autres ligotés et noyés par ce même FLN…

3) Cela interroge donc sur le placement de ces morts dans la rubrique « Dossiers pour lesquels les informations disponibles sur la date de la mort ou ses circonstances ne permettent pas d’exclure tout rapport avec les manifestations des 17-20 octobre ».

Voyons le détail de cette liste :

Corps Identifiés :

– 6 furent tués par le FLN (strangulation, arme blanche, arme à feu)
– 2 décès sur la voie publique (troubles mentaux et alcoolisme)
– 1 décès par crise cardiaque le 21 octobre
– 1 décès par accident de la circulation
– 1 mort à l’hôpital Boucicaut des blessures reçues le 17 octobre.
– 2 morts dont les causes ne sont pas élucidées.

Corps non identifiés

– 7 tués par le FLN (1 arme blanche, 2 noyades, 1 noyade nu, 2 armes à feu, 1 strangulation)
– 1 mort de blessures à la tête. Blessures reçues le 17 octobre ? Nous l’ignorons.
– 1 mort des suites de blessures reçues Place Saint-Michel
– 3 morts dont les causes ne sont pas élucidées.

Conclusion, sur 25 morts « pour lesquels les informations disponibles sur la date de la mort ou ses circonstances ne permettent pas d’exclure tout rapport avec les manifestations des 17-20 octobre », la Morgue n’en a reçu que deux décédés très probablement des suites de blessures reçues le 17 octobre. Une interrogation demeure pour l’un d’entre eux, mais sans aucune certitude.
Soit 2 ou 3 morts des suites de leurs blessures, aucun n’ayant perdu la vie durant la manifestation laquelle n’a donc comme il a été dit plus haut, connu qu’un seul mort, le Français Guy Chevallier.

Nous voilà donc très loin des 50, 100, 200 ou même 300 morts « victimes de la répression » avancés par certains, et pour lesquels François Hollande a reconnu la responsabilité de la France !!!

Mais, plus encore :

1) Le « Graphique des entrées de corps « N.A » (Nord-africains) par jour. Octobre 1961 », nous apprend que du 1er au 30 octobre 1961, 90 cadavres de « NA », furent reçus à l’Institut Médico-Légal. Or, selon les enquêtes judiciaires, chaque décès étant suivi d’une enquête, la plupart de ces morts étaient des musulmans pro-Français assassinés par le FLN.

2) Pour toute l’année 1961, 308 cadavres de « N.A » entrèrent à l’IML, dont plusieurs dizaines de noyés. Or, toujours après enquête, il fut établi que la quasi-totalité de ces morts étaient des victimes du FLN (Harkis, partisans de la France, individus ayant refusé d’acquitter « l’impôt de guerre », membres du MNA etc.). Or, une des méthodes d’assassinat du FLN était l’étranglement ou l’égorgement suivi de la noyade…

Pour les historiens de métier, les prétendus « massacres » du 17 octobre 1961 constituent donc un exemple extrême de manipulation de l’histoire. »

Texte de l’historien Bernard Lugan, le 12 octobre 2021 https://www.vie-publique.fr/sites/default/files/rapport/pdf/984000823.pdf

Source : Laurent N pour Quora

Le livre d’Alexandre Del Valle « La Mondialisation Dangereuse »

« La mondialisation dangereuse », ouvrage de géopolitique incorrecte ci-écrit avec le prof Jacques Soppelsa: nous évoquons le déclassement de l’Occident: l’impuissance européenne qui attire ses prédateurs islamistes, chinois et McWorld; la montée de la Chine qui a sinisé, désoccidentalisé et retourné la mondialisation contre les EU et l’Occident puis et l’idéologie libertaire wokiste de la déconstruction identitaire qui demeure finalement le plus mortel ennemi interne de la vieille Europe suicidaire pathologiquement et civilisationnellement culpabilisée .
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Le Mensonge

Le 17 Octobre 1961, une manifestation de 30 à 40 000 mille participants était organisée à Paris par le FLN. Manifestation interdite par la Préfecture, donc légitimement réprimée.

Le Préfet de l’époque, Mr Papon, n’a fait que répondre aux ordres de l’Exécutif. Qu’il ait quelque peu encouragé les agents de police à ne pas faire dans la dentelle peut se comprendre, compte tenu du climat social de ces années d’une guerre qui ne disait pas son nom.

Si la chronique bien pensante oublie volontiers d’en parler, il faut quand même savoir que dans les jours et les mois précédant, plus d’une quarantaine de policiers furent abattus par les tueurs du FLN.

Dès le 15 Août, le terrorisme des indépendentistes algériens avait repris les exactions mortelles contre les forces de l’ordre et leurs supplétifs Et il n’était pas bon de porter un uniforme bleu sans s’entourer des plus grandes précautions.

Mais pour les historiens gauchistes, qui  racontent l’histoire, comme pour les communistes et les dirigeants algériens, il y aurait eu des centaines d’hommes  jetés dans la Seine ce jour-là.

Chiffres démentis par l’Institut Médico Légal de la capitale, qui n’a pas  signalé un nombre très significatif d’entrées mortuaires, ni le soir du 17 Octobre, ni les jours suivants. Le nombre ne dépassant pas la dizaine serait plus approprié.

Mais était-il nécessaire que le président de la République aille déposer une gerbe en mémoire des victimes de cette manif anti-française ? Laquelle, si elle n’est pas à l’honneur de notre pays ne l’est encore moins pour ses organisateurs.

Car quand on met en tête du cortège des femmes et des enfants pour qu’ils soient les premiers à être en danger, ce n’est plus de l’imprudence mais de la lâcheté.

L’Algérie demande que cette journée « sanglante » soit reconnue comme crime d’Etat. Rien que ça ! Quant à Benjamin Stora, l’historien privilégié de Macron, il conseille sans le moindre scrupule qu’à l’avenir, le 17 Octobre devienne une journée de commémoration nationale.

Pour l’ambassadeur d’Algérie « Il est inadmissible que son pays qui possède la plus grande communauté algérienne en France, avec ses 18 consulats, ne puisse pas constituer un levier de commande pour intervenir au niveau de la politique française ».

Pour cet ambassadeur représentatif  des ambitions d’Alger, c’est dit clairement :  L’Algérie française, c’était non, mais maintenant la France doit devenir algérienne.

Et avec un président comme Macron, qui se fait un plaisir de rabaisser  son pays, les voeux des dirigeants algériens ont toutes les chances d’être étudiés.

Mais auparavant, notre cher président serait bien inspiré de demander  repentance et  pardon à ces pauvres ex-colonisés pour le non respect des accords d’Evian. Pour le massacre des civils européens à Oran en 1962, comme pour celui des harkis, en dépit des promesses de protection non tenues.

D’autre part, que sont devenus les 3 192 français et européens, portés disparus avant et après l’indépendance ? Ils ne sont pas passés  pourtant dans une autre dimension. Le triangle des Bermudes est loin des côtes africaines.

Et comme certaines choses sont maintenant connues, on sait que de nombreuses jeunes femmes françaises ont terminé leur vie dans des bordels de l’ALN. Pas très joli tout ça …

Il en dit quoi de ces ignominies Mr l’Ambassadeur d’un pays qui ne sait qu’exiger de la part de la France, remords sur remords, repentances sur repentances avec un genou à terre pour attester de son indignité.

Demandes de pardon aussi de la part du Gouvernement algérien pour  les nombreuses exactions de leurs coreligionnaires chez nous. Pour la Marseillaise sifflée, pour les drapeaux français brûlés, pour la guerre d’Algérie qui continue. Pour les couteaux, la kalachnikov et le verbe « Je le crie tout haut, je baise votre Nation. On est installés ici, c’est vous qu’on va mettre dehors.

Abdel Karim Brahmi (« chanteur » de Rap).

« Des gens qui ne veulent pas entendre la vérité, parce qu’ils ne veulent pas que leurs illusions soient détruites » (Frédéric Nietzsche)

Onyx

Demain la reconquista !

Les crapules qui depuis 40 ans ont mené la France à la ruine essaient d’effrayer les électeurs en arguant que Zemmour crée les conditions de la guerre civile. Comme si elle n’avait pas déjà commencé, du fait de l’impéritie et de la complaisance des zélites ! Néanmoins le terme ambigu « civile » peut prêter à confusion.

D’abord parce qu’un tel conflit n’oppose pas entre eux des citoyens aux idéologies et ambitions politiques irréconciliables, mais des Français à des conquérants dont l’appartenance ethnique, linguistique et religieuse signe la spécificité.

Ensuite parce que les opérations pourraient être menées sans que la population civile autochtone y soit mêlée, sauf bien sûr des volontaires, patriotes courageux.

L’ennemi n’est pas si redoutable qu’on le prétend

Politique fiction ? Non. Anticipation plausible. Sitôt Zemmour aux commandes, sans se soucier des couinements de l’Eurocrature, rien n’empêche de décider « à la polonaise » de faire repasser la Méditerranée aux intrus. En douceur de préférence. En commençant par couper les aides sociales aux clandestins, et en expulsant les voyous et les apprentis terroristes.

Selon des rapports de la DGSI qui ont fuité, nul ne peut ignorer que des « chances pour la France » ont importé des armes de guerre, essentiellement en provenance de l’ex-Yougoslavie. Fournies à prix d’ami par leurs coreligionnaires albano-kosovars. Et stockées dans des enclaves étrangères hostiles, gouvernées par des islamistes.

Qui peut croire qu’ils vont se laisser renvoyer chez eux sans se rebiffer ? Perdre tous les avantage que la France leur accorde, en plus de l’impunité pour leurs méfaits ?

Là se trouve à mon sens la ligne de clivage. Entre des lâches qui se pissent dessus de trouille à l’idée d’escarmouches inévitables et des réalistes qui envisagent toutes les hypothèses pour reconstruire la France. En dissuadant ou en contrant l’aide étrangère que les intrus ne manqueront pas d’appeler à la rescousse. Au nom de l’oumma.

Mais il y a une grande différence entre terroriser des cages d’escalier, injurier les patriotes sur les médias ou flinguer des dealers concurrents, et combattre de vrais guerriers déterminés auxquels le nouveau pouvoir laisserait les coudées franches.

Des commandos aguerris plutôt qu’une flicaille syndiquée

Une des forces de l’ennemi réside dans notre respect imbécile de règles de droit désuètes, valables il y a 50 ans, quand la population était homogène, la pègre repérable et perméable, avec des voyous respectant un certain « code d’honneur ».

Aujourd’hui, la police est dépassée. Ni formée ni motivée à la guérilla urbaine, elle ne sait que molester des manifestants désarmés, tabasser des médecins anti-vaccins, et racketter de paisibles promeneurs.

Sans doute pourrait-on utiliser les commandos du GIGN et du GIPN mais ils sont en nombre insuffisant. Et cela prendrait trop de temps pour sélectionner et former des combattants à leur image. Même si l’option mérite d’être retenue. En complément.

Par contre, nous disposons des guerriers des Forces Spéciales encadrés par de valeureux centurions. Correctement formés et entraînés en France. Et qui ont connu leur baptême du feu lors de déploiements en OPEX où ils ont fait la preuve de leur courage et de leur efficacité.

Au lieu de leur faire perdre leur temps à courser les lézards et les gerboises dans le Sahara, on pourrait utiliser cette force d’intervention pour maîtriser toute entité rétive qui tenterait de s’opposer par la violence aux déménageurs.

L’appel à des commandos aguerris est d’autant plus une nécessité que, déjà, par anticipation, la Turquie nous menace de sa cinquième colonne.

 Iznogoud le chacal qui se prend pour un lion

Quand Erdogan dit : « Je veillerai personnellement à ce que vous ne soyez plus jamais en sécurité chez vous ! » l’Eurocrature chouine qu’elle est très choquée par les propos insultants du sultan et qu’elle les désapprouve fermement. Iznogoud en a tellement rigolé que sa barbe l’a chatouillé pendant 3 jours.

Alors qu’une simple menace de riposte lui aurait rabattu le caquet. Mais les simulations stratégiques de l’état-major continuent de désigner comme une sorte d’ennemi héréditaire les Soviets qui n’existent plus. Erreur de cible !

La Turquie est un cas d’école de guerre

Tête de pont de l’invasion, elle prétend désormais imposer sa loi à l’Europe après l’avoir fait chanter et lui avoir soutiré des centaines de millions d’euros.

« Allah n’aime que les forts » disent-ils. Leur donner l’impression qu’on a peur ne peut que renforcer leur détermination.

Pourtant, leur force repose uniquement sur l’intimidation. Pas sur des capacités militaires, très affaiblies après le putsch manqué de 2016. Seuls peuvent les craindre des adversaires mal équipés comme l’Arménie, lâchement abandonnée par l’Occident, ou les bandes de barbares de DAESCH,  des bandits de grands chemins plus que des guerriers.

Car au cours des siècles passés, lors de nombreux conflits, nous avons battu les Turcs tant de fois malgré leur supériorité numérique qu’ils ont prudemment choisi la neutralité pendant WW2. Avant de rallier les alliés pour la forme, à la fin du conflit.

Aujourd’hui, ils ont une armée de fantassins quasi illettrés, des généraux et des amiraux en délicatesse avec le sultan, des officiers promus à la hâte pour leur allégeance plus que pour leurs compétences, des services de renseignement démantelés et une armée de l’air qui a engagé des pilotes d’aéro-clubs pour se refaire.

Les conseillers russes ne peuvent compenser ces carences. D’autant que Poutine est plus circonspect dans ses amitiés orientales depuis que le sultan l’a ouvertement menacé d’armer les Tchétchènes,  les Tatars, le Daghestan et la Bachkirie avant de faire descendre un Soukhoï Su 24.

Actif sur plusieurs fronts, le sultan se permet de provoquer impunément toute l’Europe par une véritable déclaration de guerre en ouvrant les hostilités avec ses navires qui violent le droit de la mer et des migrants qu’il déploie aux frontières comme des fantassins voltigeurs. S’il persiste dans ses menaces, une réponse martiale s’imposera. Au minimum un commencement d’exécution pour lui prouver qu’on ne bluffe pas.

Plusieurs officiers à qui j’en ai parlé sont convaincus qu’en cas d’une attaque surprise, concomitante d’une neutralisation éclair de leurs capacités électroniques, les Turcs ne tiendraient pas longtemps contre nous. Malgré leur cinquième colonne qu’ils agitent comme un épouvantail.

On pourrait même s’offrir un remake de la guerre des Six Jours… Mais je crois que cela ne sera pas nécessaire. Évoquer simplement cette hypothèse calmera l’Ottoman qui n’a pas vraiment confiance dans son armée. Il n’a sûrement pas oublié que ses amiraux l’ont fait battre en arrière quand il a voulu couler des navires grecs.

Notre ennemi : la finance

Elle n’est plus apatride mais en grande partie mahométane. Toutes les exactions en Serbie comme en Europe ont été coordonnées sous le regard vigilant des rois du pétrole qui veillent partout à ce qu’on favorise leurs coreligionnaires. Des émirs qu’on écoute dans les hautes sphères de la finance car ces milliardaires ont, depuis une trentaine d’années, avec patience et détermination, acheté tout ce qui pouvait l’être.

Directement : banques d’investissement, firmes de traders, fonds de pension, sociétés de spectacles, clubs sportifs et médias (infotainment) entreprises du BTP.

Indirectement par des holdings à participations croisées qui disposent de minorités de blocage dans Big Pharma, les réseaux sociaux, les compagnies aériennes.

Invisiblement via des trustees (ndlr : fiduciaires) qui, depuis des paradis fiscaux, financent dans une opacité complète partis politiques, élus et syndicalistes. Et sociétés d’armements et de haute technologie qu’en principe on ne doit pas vendre aux étrangers.

Près de la moitié des actions et obligations de Wall Street sont entre leurs mains. Le reste est hypothéqué par les Chinois. C’est un extraordinaire levier sur les politiciens qui savent qu’ils perdraient leur sinécure en cas de grave crise économique comme en 1929 si les monarchies du pétrodollar cessaient de soutenir le marché. Inutile de dire que la Bourse française à la remorque plongerait plus vite que les autres.

Dès lors on peut se demander si, en cas d’intervention de notre armée sur le territoire national, pour réduire les enclaves étrangères hostiles et expulser les indésirables, le NWO n’utiliserait pas les mêmes méthodes qu’en Serbie pour nous aplatir ?

Il y a deux réponses non exclusives l’une de l’autre, à condition de cesser de donner dans l’angélisme bien-pensant et les grands principes dont l’ennemi n’a cure.

D’abord, nous pouvons nous inspirer de leurs méthodes : nationaliser sans indemnités leurs entreprises, immeubles, banques  et fonds d’investissement en France. Comme ils ont su si bien faire quand ils ont dépouillé les pieds-noirs en 1962.

Ensuite, en cas d’infiltrations terroristes téléguidées par « certains États », nous disposons de divers moyen de représailles. Des Daisy cutters aux missiles intelligents, sans oublier les drones tueurs et les bombes à neutrons (qui officiellement n’existent plus).

Est-il besoin de préciser, au vu des trouble récents en France et en Europe fomentés par des islamistes, que sous peu les guerres de l’ex-Yougoslavie passeront pour d’anodines querelles de voisinage en comparaison de l’embrasement général qui attend l’Occident ?

La Reconquista ne sera pas une promenade de santé, nul ne peut le nier. Mais plus on attendra, et plus ce sera difficile.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

Privilège blanc : qui veut la peau des Européens ?

Privilège blanc, racisme systémique, appropriation culturelle, micro-agressions… Voilà quelques-uns des concepts à la mode qui submergent les Etats-Unis et l’Europe depuis plusieurs mois. Que cachent-ils ? Un projet d’effacement de nos peuples et de nos cultures, avec une « chasse au Blanc » désormais ouvertement revendiquée. Pour le comprendre, il faut se plonger dans cette pensée « décoloniale ».

C’est à cela que s’attelle avec une grande clarté l’ouvrage de Georges Guiscard « Le privilège blanc – Qui veut faire la peau aux Européens ? » publié par l’Institut Iliade. Outre de multiples contre-vérités, ce qui est démasqué est une idéologie de nature religieuse, le « wokisme » et ses prophètes, ses martyrs (saint George Floyd), ses dogmes, ses excommunications. Une idéologie pleine de ressentiment qu’appuie, pour diverses raisons, une partie croissante de l’élite occidentale. Face à l’offensive dont ils sont la cible, aux Européens de réaffirmer avec fierté leur héritage.

La France va-t-elle se faire respecter ?

Jusqu’à présent, l’Algérie a toujours refusé à la France les passeports consulaires nécessaires pour reprendre ses ressortissants, interdits de séjour sur notre territoire. Et pourtant, pour être expulsé, il faut en faire des choses graves. Meurtres, viols, agressions et toutes sortes de délinquances.

Aujourd’hui, sur 7731 expulsions, seules 22 ont été acceptées. Pour les autres pays du Maghreb et d’Afrique sub-saharienne, c’est sensiblement pareil, mais l’Algérie ne répond aux demandes de la France qu’avec le plus profond mépris.

Les dirigeants algériens considèrent depuis le début de l’indépendance notre pays comme l’ennemi numéro 1. Leur hymne national le dit bien:  » Ô France, voici venir le jour où il te faudra rendre des comptes ». Le ministre du Travail algérien ajoute:  » La France est pour nous l’ennemi traditionnel et éternel ».

Il n’y a donc pas à s’étonner si maintenant toute une génération de jeunes algériens déteste les français. Comme dernièrement à Lyon, où une bande de racailles s’en est pris violemment à un jeune homme qui a voulu défendre son amie insultée par ces sales types. Résultat: Il a été littéralement lynché lâchement sur le trottoir.

La deuxième nation la plus riche du continent africain en 1960, est devenue  une des plus pauvres en 2021. Et qui a l’audace maintenant d’accabler la France pour sa gestion désastreuse et  sa misère endémique, par la faute de ses dirigeants.

Il s’agit de détourner l’attention du peuple algérien en ciblant systématiquement l’ex-puissance coloniale. Dans ces conditions, il est totalement inutile d’envisager un Traité d’amitié avec des gens qui ne nous veulent aucun bien et qui exigent chaque fois une repentance unilatérale.

Tout en oubliant les crimes du FLN, lesquels par leur sauvagerie ont marqué l’histoire future de l’Algérie de sombres présages. Des massacres sur des civils désarmés, européens et harkis. Le tout accompagné des pires cruautés. Pour ces   exactions là, c’est à l’Algérie de demander pardon !

Malgré son pétrole et son gaz, découverts et mis en exploitation par la France, ce pays de 44 millions d’habitants importe tout et n’exporte rien, à part la manne pétrolière. Que sont devenues les terres marécageuses et infectées de moustiques de la Mitidja transformées en riches terres agricoles par le travail assidu des colons européens ? Et les vignobles, sources de revenus détruits par une simple mesure religieuse imbécile.

L’Art de tourner sa veste par intérêt électoral.

Mais voilà que Macron semble soudain se réveiller, peut-être, après s’être mieux informé auprès de personnes crédibles, cette fois. Je le cite:  » L’Algérie vit d’une rente mémorielle, entretenue par le système politico-militaire et d’une haine entretenue de la France » et encore : « Une histoire officielle, totalement réécrite qui ne s’appuie pas sur des vérités, mais sur une haine de la France ». » Y avait-il une Nation avant la colonisation française ? »

On aurait tendance à dire bravo, mais comme le personnage parle en fonction de savants calculs pour gagner  en popularité; demain il dira facilement le contraire. Il n’y a donc, aucune illusion à se faire sur la sincérité du bonhomme.

Après avoir, en 2017, lors d’un voyage à Alger accusé son pays de colonisation et de barbarie, on voit qu’il parle sans aucune conviction, mais en fonction des circonstances.

Il existe, c’est certain, des torts des deux côtés, et si il y a repentance, elle doit être réciproque.

Que Eric Zemmour se présente à la présidentielle ou pas, il a le mérite de faire avancer ses idées, au point que même le Président est obligé d’en tenir compte.

En conclusion. La France doit impérativement sortir de sa repentance à l’égard de son passé colonial. Elle n’a rien à se reprocher, sinon  sa mansuétude et sa faiblesse qui consiste à se laisser continuellement manquer de respect; tant par le Maghreb que par  les autres pays africains.

Onyx                  

Essais réussis pour le drone Patroller de Safran qui équipera l’armée de Terre à partir de 2022

Le projet de loi de finances pour l’année 2022 prévoit la livraison de 14 drones tactiques et cinq stations de contrôle à l’armée de Terre, a récemment annoncé la ministre des Armées Florence Parly. Et cette commande semble en bonne voie. Safran Electronics & Defense vient d’annoncer la réussite des tests de certification du Système de Drones Tactiques (SDT) Patroller de Safran Electronics & Defense.

Ces essais ont été réalisés en Finlande en présence de représentants de la Direction Générale de l’Armement (DGA) qui assure la maîtrise d’ouvrage, et de l’armée de Terre. Dans un communiqué, l’industriel français se félicite d’avoir atteint « une étape majeure vers la qualification industrielle » de ce drone conçu pour des opérations de renseignement. Durant tout l’été, l’appareil a été mis à rude épreuve.

« Avec 21 vols, totalisant 76 heures, tous les objectifs ont été atteints: vols d’endurance de 14 heures, altitude plafond, performance de ses équipements optronique et radar, leur exploitation simultanée et en temps réel, décollage et atterrissage automatiques, conduite de mission, discrétion sonore, facilité de mise en œuvre et disponibilité », détaille Safran E&D.

Le Patroller a les performances d’un drone MALE (Medium Altitude Long Endurance). D’une envergure de 18 mètres pour 8,5 mètres de longueur, il navigue à une vitesse pouvant atteindre 314 km/h à une altitude de 7620 mètres et dans un rayon d’action de 180 km. Equipé de dispositifs de surveillance (boule optronique Euroflir et radar de surveillance), il est compatible avec le système Scorpion de l’armée de Terre afin de fournir des informations en temps réel aux troupes au sol. Doté de lasers permettant de désigner des cibles, il pourrait aussi être armé.

Combler le retard français

Le succès de ces tests marque l’aboutissement d’un projet observé de très près. En 2016, Safran remporte l’appel d’offre pour 14 appareils à livrer en 2020. Le Patroller a réalisé son premier vol en 2009 puis plus de 200 autres sur dix ans. Mais le programme s’est soldé par un crash en 2019 lors d’un « vol de réception industrielle » près de la base aérienne 125 Istres-Le Tubé. Un épisode qui a contraint l’armée de Terre à commander des Reaper américains et à remettre la livraison du drone de Safran à 2022.

Safran précise que le Patroller sera « l’un des premiers systèmes de drones qui sera formellement certifié suivant la norme OTAN applicable à sa catégorie ». Il viendra combler le retard français, souligné par un rapport du Sénat qui cet été alertait sur la nécessité d’accélérer la fourniture de drones aux armées.

L’annonce de la réussite de ces essais renvoie au programme EuroDrone MALE. Quatre industriels européens sont associés au projet: Airbus Defence and Space (Allemagne), Dassault Aviation (France), Leonardo (Italie) et Airbus DS SAU (Espagne). Une commande pour 60 aéronefs (20 systèmes, dont 4 pour la France) a été passée pour une livraison à partir de 2028. Lancé en 2015, il reste toujours dans l’attente de la validation par l’Espagne pour les financements.

En 2020, la Cour des Comptes émettait des doutes sur l’aboutissement du projet. « il y a des signaux d’incertitude sur la capacité du projet à aboutir » en raison de son coût et de besoins opérationnels différents. La question de l’armement se posait et l’Allemagne n’y était pas favorable. En juillet dernier, lors d‘une rencontre avec l’Association des journalistes de défense, Florence Parly affirmait « pour nous, c’est fait » pour confirmer que le projet est en bonne voie

La mondialisation dangereuse – Alexandre del Valle

Le monde est entré dans une ère d’incertitudes. La mondialisation à outrance a engendré un bouleversement des équilibres géopolitiques. L’effacement des frontières au nom de la multiplication des flux a donné naissance à des sociétés ouvertes, liquides.

Les Etats-Unis, promoteurs de cette mondialisation forcenée, ont largement participé à l’acculturation des peuples du Vieux Continent, laissant la place à une forme de nihilisme, terreau favorable aux réactions identitaires dont l’islamisme est un des pendants.

Les délocalisations et la désindustrialisation ont offert des marchés entiers à la Chine de plus en plus prédatrice, face à un Occident toujours plus dépendant. Face à cela, la Russie résiste sans parvenir à un rapprochement avec l’Europe, tant redouté par des Etats-Unis, et Vladimir Poutine se tourne de plus en plus vers Pékin, dans une forme de partenariat de circonstances.

Dans « La mondialisation dangereuse » publié chez L’Artilleur (disponible ici), Jacques Soppelsa, agrégé d’histoire et président de l’Académie internationale de géopolitique, et Alexandre del Valle, géopolitologue et docteur en histoire, reviennent sur les revers de la mondialisation sous toutes ses formes. Des échanges numériques laissés entre les mains d’entreprises supranationales prédatrices aux délitement civilisationnel de l’Europe qui inquiète jusqu’à ses ennemis.

La fusée ZEMMOUR – Entretien EXCLUSIF

00:00:01 : Introduction

00:02:38 : Présentations

00:03:10 : Condamnation de VA sur l’affaire Obono : « c’est le système soviétique sans le goulag »

00:05:11 : La mise en orbite de la fusée Zemmour

00:17:38 : Is Zemmour the new Jacques Bainville ?

00:24:00 : Trop haut trop tôt ? La campagne de Chevènement

00:28:04 : Explications sur l’expression « djihad du quotidien »

00:35:15 : Être radical ce n’est pas déraper c’est aller à la racine

00:40:43 : La polémique sur les prénoms

00:48:29 : Cliver c’est une chose qui arrive, maintenant il faut convaincre

00:50:43 : Réaction aux memes internet : l’ère de la désintermédiation

00:55:24 : Zemmour n’utilise pas les mêmes codes politiques

00:56:01 : Une écologie de droite est-elle nécessaire ?

01:00:42 : Les politiques natalistes

01:07:32 : Marine Le Pen et le rassemblement des droites

01:12:40 : Classes populaires et bourgeoisie patriotes

01:15:14 : Le passe sanitaire

01:16:50 : Quel hommage à Samuel Paty de la part d’un président