S’il existait un concours de traînage de casserole, il ne fait aucun doute que le foutriquet de l’Elysée, celui qui occupe les fonctions de la Raie-publique aurait le premier prix. Mais quand d’autres avant lui ont adopté profil bas, devant des accusations parfaitement justifiées, lui au contraire se rebiffe et le prend de haut.
Lui prévaricateur ? Ce serait un crime de lèse majesté de penser ça., »C’est moi qui ai créé des emplois et pour ce qu’on en dit, ça m’en touche une, sans faire bouger l’autre ». Mais est-il certain d’en avoir deux ? Son comportement a pu quelquefois laisser des doutes sur sa virilité. Saint Martin par exemple ! « Je le referais demain, et même après demain » Même pas conscient de ses fautes !
Paroles de vulgarité, indignes d’un chef d’Etat, qu’il n’a fait que reprendre à son compte, tout en se mettant à 45 ans au niveau de maturité d’un écolier mal élevé. On se demande d’ailleurs comment les français ont pu élire un tel bouffon, doublé d’un comédien, qui peut dire tout et son contraire. Un narcissique qui est toujours dans le paraître, tout en prenant l’air de circonstance approprié. Qui joue les matamores et qui se prend volontiers pour un chef de guerre à chaque 14 juillet. Qui simule le patriotisme alors qu’il s’en fout complètement. Le ridicule ne tue pas. Heureusement pour lui, car il ne serait plus à l’Elysée depuis longtemps.
Mais avant le contentieux d’Uber, d’autres scandales sont à mettre au crédit de ce funeste président. Qui feront, peut être, la une des infos, lorsqu’il ne sera plus protégé par son mandat présidentiel.
En tant que Young leader de la French American Foundation, puissant lobby des intérêts US en France, il a vendu Alstom France à General Electric USA ? Ce qui lui a permis de financer sa campagne, mais aussi Anticor et Marleix. Le dossier est classé intouchable depuis plus de deux ans.
On connaît aussi le rôle qu’il a joué avec Big Pharma et le vaccin Pfizer. Sans oublier les centaines de millions distribués au Cabinet conseil américain Mc Kinsey. Conseils tellement pertinents qu’ils ont servi à finir de ruiner le pays. Quant à l’affaire des taxis Uber, elle remonte à l’époque où il était à Bercy. Activité qui a servi de tremplin pour ses ambitions.
L’URSSAF ouvrit une enquête soupçonnant cette multinationale de se dérober au paiement des cotisations sociales. Reprochant que de nombreux chauffeurs continuent à exercer sans autorisation. Uber aurait protesté auprès de Macron qui s’en serait occupé aussitôt et l’affaire aurait été réglée en mettant un terme à la perquisition. Car les passe-droits ne sont pas qu’une illusion. Avec une licence allégée pour les Uber, et 7 heures de formation au lieu de 250 pour les autres qui sont sujets à des contrôles fréquents et payent leur licence très cher.
Les contrôleurs seraient repartis bredouille et notre bonimenteur national aurait mis un terme à cette affaire. Le futur de leur carrière étant en jeu. Mais ce n’est pas pour autant que ce protecteur stipendié est respecté. Car pour Macron, qu’importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse. Celle du pouvoir, en l’occurence !
Le patron de la multinationale de taxis Kalanick Travis dit de lui « Ce type serait capable de noyer sa propre mère pour un morceau de jambon ». Un psychiatre bien connu en Italie le décrit ainsi « C’est un psychopathe sans affect, calculateur et beau parleur, souvent pour ne rien dire, manipulateur et sans scrupules ». Qui possède le langage, possède le Pouvoir écrivait Orwell.
« La politique est le moyen pour des hommes sans principes de diriger des hommes sans mémoire » (Voltaire)
Onyx