Ces ONG de Négriers

Quand vous allez chercher des gens dans leurs villages pour les faire traverser en échange d’argent la Méditerranée, vous êtes un négrier, dit Michel Onfray. C’est une grande politique de destruction de la France voulue par le mondialisme financier. ONG gauchistes  et MEDEF, même combat !

« Les bons sentiments faciles sont sans lendemain » proclamait Macron. Superbe mensonge. Avant hier encore, il laissait entrer l’Océan Viking. Et encore avant, en Italie ou ailleurs, c’était d’autres bateaux de trafiquants, toute une véritable armada qui s’enrichit et  qui partage ses gains avec le gang des passeurs, authentiques gibiers de potence.

Ces soi-disantes organisations humanistes reçoivent de l’argent de partout. Des états européens et de toutes les régions de France. Occitanie, Loire Atlantique, Paris, etc… plus 80 collectivités qui subventionnent des associations pro-immigrationnistes. Sans compter une bonne vingtaine d’entreprises industrielles et commerciales comme l’Oréal, Axa, Total, Carrefour, pour ne citer que ces quatre.

On peut ajouter, ADT Quart monde, qui a perçu plus d’un million de la part de l’Etat en 2020 et le GISTI (groupement de soutien aux migrations) 82 000 d’euros avec 736 millions prévu par le Gouvernement pour 2023.

Rien du trafic migratoire maritime n’est ignoré des autorités, tant militaires que civiles, selon le général Gomard, (patron des Renseignements militaires). On sait aussi que la Turquie délivre des faux passeports, et que les autorités ferment les yeux.

Certaines langues se délient à présent. Comme Ségolène Royal (PS) : « Tous ces jeunes adultes, qui sont maintenant dans la nature sont des délinquants potentiels. Peut-on accepter l’arrivée anarchique de bateaux de migrants affrétés par ces ONG ? La réponse est non. Ces ONG sont complices des passeurs ! »

Mais aussi, Pierre Lellouche: (LR) « Ces bateaux doivent être saisis, il faut taxer les pays qui les financent et renvoyer les migrants, sinon ce système continuera à s’auto-alimenter » Belles paroles de vérité qui viennent un peu tard.

Il faut rappeler encore, que la prise en charge d’un vrai ou faux mineur est de 50 000 euros et l’entretien de ces inutiles est à la charge des départements. En ce moment, l’Etat étudie un projet de loi sur l’immigration, en recevant en priorité des associations pro-immigrés. Ce qui n’augure rien de bon…

« Le monde est peuplé d’imbéciles qui se battent contre des demeurés, pour sauvegarder une société absurde » (Jean Yanne).

Onyx

 

«Le voile est le drapeau des islamistes», observe la philosophe Sylviane Agacinski

La philosophe Sylviane Agacinski publie aux éditions du Seuil, « Face à une guerre sainte ». À travers une rétrospective des courants religieux, elle aborde de nombreuses questions sociétales comme celle du port du voile, auquel elle est fermement opposée. L’auteure est revenue sur le sujet au micro de Sonia Mabrouk ce jeudi.

« Ce sont les hommes qui voilent les femmes, ce ne sont pas les femmes qui veulent se voiler », a déclaré la philosophe Sylviane Agacinski, invitée d’Europe Matin jeudi. Dans son livre Face à une guerre sainte publié aux éditions du Seuil, Sylviane Agacinski interroge sur l’histoire du religieux et du rapport des religions entre elles. La « guerre sainte » est une guerre tournée contre le monde occidental mais aussi contre les musulmans, affirme-t-elle, dont elle rappelle qu’ils sont dans le monde les premières victimes.

La culture du rideau

La philosophe insiste sur un point : il ne faut pas seulement analyser l’islamisme via la tenue vestimentaire ou le port du foulard , mais comme une culture de l’exclusion, de l’inégalité et de la discrimination des femmes. « Il faut bien comprendre qu’il ne s’agit pas seulement d’un vêtement mais d’une pratique sociale du voilement », a-t-elle observé.

« J’ai travaillé très longtemps sur la question du rapport homme-femme, dans la philosophie, dans la théologie et je connais bien le voile chrétien romain, le voile chrétien Tertullien, le voile qui était en Arabie, le voile islamique et le voile indo-pakistanais que j’appelle la culture du rideau parce que ‘hijab’, ça veut aussi dire rideau », a détaillé l’auteure au micro d’Europe 1 avant de définir la « culture du rideau ». « C’est la culture de séparation des hommes et des femmes. Les femmes étant considérées comme dangereuses pour les hommes, source de désir, de concupiscence. Les hommes ne doivent donc pas voir les femmes, elles doivent être séparées. »

Le voile, « un emblème politico-religieux »

Dans son livre, Sylviane Agacinski constate que le thème de la liberté individuelle a été lancé par les islamistes eux-mêmes. Les islamistes affirment qu’il faut arrêter de dire que les femmes portent le voile pour des raisons religieuses mais qu’il faut dire qu’elles le portent par choix, souligne-t-elle dans son livre Face à une guerre sainte. « Évidemment, un certain nombre de gens sont tombés dans le panneau mais le sujet est assez mal vu parce qu’on a trop traité le sujet du voile du point de vue de la simple laïcité, c’est-à-dire d’un signe religieux. Ce que j’essaye d’expliquer dans ce livre c’est que c’est un emblème politico-religieux, l’emblème d’une doctrine qui veut prôner le slogan des Frères musulmans [qui est] « le Coran est notre constitution », a-t-elle relaté.

« Il s’agit au fond de réislamiser les sociétés et cela passe par le voile. Disons-le pour résumer, le voile est le drapeau des islamistes et pas autre chose, si bien qu’il doit être traité comme un signe politico-religieux et pas simplement religieux », a-t-elle exposé.

L’Iran, révélateur des incohérences du féminisme occidental

 

Le 16 septembre 2022, la jeune Mahsa Amini a été battue à mort par la police iranienne à Téhéran pour avoir mal porté son voile islamique, obligatoire dans l’espace public. Depuis, pas une journée sans que l’Iran ne connaisse des manifestations, isolées ou massives, symboliques ou brutales. Les femmes iraniennes font preuve, face à une répression qui fait des centaines de victimes, d’un courage incroyable. Elles ont entraîné les hommes dans une lutte pour la liberté de se vêtir comme elles l’entendent. C’est une lutte pour la liberté tout court, face à un gouvernement 100 % masculin qui fait régner la peur, sur la base d’une loi religieuse. Si ce n’est pas cela le patriarcat, qu’est-ce que c’est ?

Et pourtant : les féministes françaises ne lui donnent pas sa juste place. On se coupe les cheveux, en même temps qu’on traque les amateurs de viande, mais on se fera discrets pour définir contre quoi les Iraniennes se battent dans les faits. Bien sûr, nombre d’associations et de figures éminentes se sont exprimées en soutien. D’autres n’ont rien dit, comme Rokhaya Diallo. D’autres les soutiennent, non sans bien rappeler qu’elles ne s’assoient pas à la même table que les « islamophobes ». Seulement voilà : quand on lutte contre un ordre politique qui se réclame de la lettre d’une loi religieuse, le lien entre « patriarcat » et religion est tout sauf un raccourci. Et aujourd’hui, que ce soit aux États-Unis, en Pologne ou en Iran, politique liberticide et substrat religieux marchent main dans la main ? par intégrisme, ou par calcul électoral. Aujourd’hui, il n’y a aucun courage politique à critiquer, quand on est féministe en France, les évangélistes républicains et les conservateurs polonais, ou appeler à la démission de tel élu qui n’est pas de son bord. Critiquer l’intégrisme musulman demande davantage de force.

Difficile de distinguer aspect dictatorial et interprétation religieuse dans un pays qui a « un ministère de la Culture et de l’Orientation islamique » et inscrit dans sa Constitution des devoirs différents pour les hommes et les femmes. La faute à la modernité ? Le Monde faisait part d’une « enquête sur les valeurs et attitudes des Iraniens » menée par le gouvernement iranien, lequel regrette que celle-ci « crée aussi des dommages dans le domaine de la culture et des systèmes sociaux, tels que l’effondrement des valeurs ou le déclin de l’institution familiale ». Soit le maintien des rôles traditionnels, cette lutte contre les stéréotypes de genre que notre féminisme a entrepris depuis les années 1950 avec Simone de Beauvoir.

Ce n’est pas la foi intime et individuelle des musulmans que je critique, c’est un ordre économique, politique, juridique et culturel qui, au nom du religieux, légitime une hiérarchie des individus en fonction de leur sexe ou de leur orientation sexuelle. Un patriarcat en bonne et due forme. Nier la dimension religieuse de ce contrôle sur les femmes reste une barrière mentale qui empêche de traiter sérieusement le sujet, en Iran comme ailleurs.

Et on aurait tort de penser que cela ne concerne que l’islam. Il a fallu attendre 1956 pour qu’un pape établisse que l’accouchement sans douleur n’était pas contraire à la morale chrétienne, rappelle Élisabeth Badinter sur le plateau de 100 Minutes pour comprendre (archive INA 2004), où elle fait face à trois jeunes filles voilées. Elle ajoute : « Tous les progrès qui ont été faits pour que la femme devienne maîtresse de son corps, tous ces progrès, pardonnez-moi de vous le dire, ont été faits contre les religions. »

Faut-il interdire le voile en France ?

Cette focalisation bien française sur le voile tourne à la marotte. En Iran, il est un symbole. Là-bas, celles qui le jettent respectent celles qui le portent. Je suis contre l’interdiction du port du voile en France, dans l’espace public, sur les terrains de football et au bord des piscines. L’interdire, c’est jouer avec les mêmes règles que les régimes totalitaires, c’est faire du voile un outil de contrôle social. En revanche, faire de son port une revendication féministe est tout à la fois triste et hypocrite. L’impératif « d’inclusivité » semble prendre le pas sur l’objectif d’émancipation féministe. Si la minijupe était obligatoire au Pôle Nord, doit-on la prendre pour un symbole d’inclusivité ?

Bien sûr, l’indignation féministe ne peut être que sélective ? sauf à être un robot. Je ne reprocherai jamais à des activistes de hiérarchiser leurs combats : il y en a tant à mener. Oui, l’Iran est loin de chez nous, alors que des femmes sont en danger au coin de nos rues. Mais les États-Unis sont loin aussi, et nommer l’ennemi intégriste et conservateur là-bas semblait plus aisé. Des critiques comme la mienne auraient « pour objectif de mettre hors-jeu, de sortir de la discussion politique des féministes en les accusant de lâcheté, d’incohérence », fustige la politiste Réjane Sénac. C’est tout le contraire : je veux voir les féministes au centre du jeu. Ce n’est rien d’autre que la tâche qu’elles se sont donné : la dissolution du « patriarcat ».

Le privé est politique, disait l’un des slogans féministes dans les années 1960, quand presque tout était encore à gagner. La mode est politique, titrait un ouvrage sorti récemment. Ce discours aujourd’hui a une limite. C’est toujours tourner le dos à une société où le privé, et donc la liberté individuelle, prendrait le pas sur le public, et donc le risque du contrôle. C’est légitimer l’intervention de l’autorité publique pour réprimer des comportements moralement dissidents, comme refuser de porter le voile. Abolir la distinction entre privé et politique fonctionne jusqu’à ce qu’un gouvernement conservateur ou religieux arrive au pouvoir. La théocratie fait exploser ces distinctions salutaires : le privé, le politique et le religieux ne sont que les pages de la même histoire.

Source : Mathilde Berger-Perrin pour ‘Le Point’

Barrage de Kakhovka : sa destruction serait une « catastrophe à grande échelle » pour l’Ukraine

Si ce barrage, construit en 1956 avec l’eau du fleuve Dniepr pour faire fonctionner une importante centrale hydroélectrique, est détruit (ce que les Russes ont l’intention de faire, selon Zelenski), les conséquences pour l’Ukraine seraient terribles.

Pour commencer, l’explosion du barrage de Kakhovka provoquerait des inondations massives. Selon Reuters, le volume d’eau retenu à Kakhovka est équivalent à celui du Grand Lac Salé dans l’Utah.

Zelenski lui-même a détaillé crûment les conséquences de la destruction de Kakhovka : « Le barrage de cette centrale hydroélectrique a un volume d’environ 18 millions de mètres cubes d’eau (…) Si les terroristes russes font sauter ce barrage, plus de 80 localités, dont Kherson, se retrouveront dans la zone d’inondation rapide. Des centaines de milliers de personnes pourraient être touchées ».

Le barrage de Kakhovka est également un élément fondamental pour la centrale nucléaire de Zaporijia, puisqu’il fournit de l’eau pour son refroidissement. Si cette réserve d’eau venait à disparaître, le système de refroidissement serait affecté et un grave accident nucléaire pourrait se produire.

La destruction du réservoir de Kakhovka causerait également de graves problèmes d’approvisionnement en eau potable et en électricité.

Face à l’offensive ukrainienne, les Russes ont dû quitter le territoire envahi et leur réponse a été une intensification des attaques (avec des missiles et des drones) contre les zones et les infrastructures civiles. L’objectif : laisser l’Ukraine sans approvisionnement en électricité pour l’hiver prochain. Faire sauter le barrage de Kakhovka ferait partie de cette stratégie.

L’Occident craint que Poutine ne veuille faire comprendre aux Ukrainiens qu’il est prêt à répondre violemment au point d’envisager, par exemple, une mesure aussi extrême que de faire sauter le barrage de Kakhovka.

Les Russes ont évacué des civils des zones autour de Kakhovka, renforçant les soupçons d’une mesure extrême telle que la destruction du barrage.

Le nouveau chef militaire russe de la guerre en Ukraine, Sergueï Sourovikine, a accusé les Ukrainiens d’avoir attaqué Kakhovka avec des missiles HIMARS fournis par les États-Unis.

Les accusations croisées entre Russes et Ukrainiens à propos d’attaques de sites sensibles sont un jeu familier : il en a été de même pour la centrale nucléaire de Zaporijia. Les deux parties ont pointé du doigt l’autre comme étant l’agresseur de l’installation.

Poutine n’a pas réussi à garder les territoires conquis aux mains des Russes, il est donc temps de trouver une nouvelle façon de vaincre l’ennemi : raser les infrastructures, couper l’électricité des Ukrainiens et rompre l’accord d’exportation de céréales depuis l’Ukraine pour causer des dommages économiques.

Mais le plus terrible est que si le barrage de Kakhovka explose, il y aura des morts causées par une inondation sans précédent. Zelenski a donc mis en garde contre ce qu’il a appelé, selon Reuters, une « destruction à grande échelle » si les Russes détruisaient le barrage de Kakhovka.

Comme un détail qui montre les paradoxes de l’histoire, la destruction de la centrale hydroélectrique et du barrage de Kakhovka serait le point culminant d’un projet d’ingénierie fructueux qui a été réalisé lorsque l’Ukraine et la Russie ne formaient qu’un seul pays : l’Union soviétique. Des timbres commémoratifs ont même été réalisés.

Source : Le Daily Digest

Ocean Viking

Nom qui ferait croire qu’il transporte des suédois, mais bateau mal nommé qui pourrait s’appeler « Banania ». Je n’ose pas ajouter « Ya bon ». Ce navire sous couvert de sauvetage en mer assure régulièrement le transport frauduleux de clandestins africains vers l’Europe.

L’Océan Viking débarque à Toulon ses passagers non désirés par la population, mais encouragés par ceux, tout en haut,  qui veulent la submersion migratoire. Mais quel symbole en ce jour du 11 Novembre, qui marque la mort et les terribles souffrances des poilus qui se sont sacrifiés pour arrêter l’ invasion de leur pays.

Car il s’agit bien maintenant d’une nouvelle invasion, même si elle ne dit pas son nom. Que diraient nos anciens s’ils revenaient  à notre époque, pour constater tristement qu’ils sont morts pour rien, que la France dérive vers le chaos et sa disparition programmée en tant que peuple européen.

Depuis 2014, ces associations dites « humanitaires » affrètent des navires qui partent des côtes libyennes pour récupérer des clandestins en parfaite synchronisation téléphonique et connivence avec des passeurs qui représentent toute une mafia criminelle.

Ils les prennent en charge à partir de zodiaques et embarcations de fortune pour les prendre à bord de gros navires, comme l’Océan Viking, le SOS Méditerrannée, l’Aquarius, le SOS Humanity et d’autres encore, pour les amener en Italie. Darmanin ferait mieux de se taire plutôt que d’accuser l’Italie de manquer à « ses devoirs humanitaires ».

Pour l’agence Frontex, il existe une coopération objective entre passeurs et trafiquants d’une part et ONG  de l’autre. L’UE paie pourtant très cher les gardes côtes libyens pour empêcher ces départs, liés aux trafics d’êtres humains. Mais peut être que le bakchich prime avant toute autre considération.

Aujourd’hui, ils débarquent à Toulon, demain à Marseille,  en Espagne  ou en Grèce et chaque fois, bien que ce soit de moins en moins crédible, le pathos prime sur le bon sens et la raison. Il suffit de mettre en avant quelques enfants malades du mal de mer et fatigués du voyage pour jouer de la sensibilité émotionnelle  du gogo  européen et le tour est joué.

Le tout, dans un mélange de charité chrétienne dévoyée, chère au pape François et de sentimentalisme larmoyant des bonnes âmes de gauche à la sauce universaliste. Selon le rapport financier de l’association SOS Méditerranée, 11% des revenus viennent des collectivités territoriales françaises. Sans compter les donations privées. Bref, ces ONG sont riches et font un commerce lucratif et honteux de ces trafics d’êtres humains.

Avec en tête, des donateurs idiots utiles: les départements de gauche. A titre d’exemple , la Région Occitanie de Carole Delga (PS) avec 90 000 euros ou Hidalgo (PS) qui verse 100 000 euros, et des dizaines d’autres. Mais aussi, l’Oréal, JP Morgan, Magasin Bonpoint, Carrefour, Placoplatre, Total, Biocoop, Conforama, Monoprix, Axa, IBM etc… qui donnent leur pactole pour favoriser l’implantation de ces « migrants » sur nos territoires. Le milliardaire Soros n’est pas le seul à financer ce funeste projet. Et les patrons français sont les plus ouverts à cette migration exploitable, sans qualification.

Mme Meloni avait pourtant refusé catégoriquement l’arrivée de ce bateau, cependant elle a ouvert la porte à une centaine d’entre eux. Alors manque de courage ou pression trop forte de la part de l’UE? Raison de plus pour sortir de cette UE de malheur. Et en plus elle est accusée de refuser toute immigration, alors que Darmanin se couche comme un caniche qui se sait qu’aboyer.

Mais qui sont ces sub-sahariens qui se précipitent vers l’Eldorado européen ? Des réfugiés ? CERTAINEMENT PAS ! Mais des jeunes hommes en pleine force qui ne sont pas les plus pauvres, car voyage et passeurs ont un coût. Une fois qu’ils ont quitté famille et amis, pas question de revenir en arrière sous peine d’être ridiculisé et passer pour un loser.

Ils prennent tous les risques pour atteindre les rivages de l’Europe et ensuite, il s’agit d’y rester et de s’incruster. Pour ça les aides ne manquent pas. Comme ces associations d’aides aux migrants qui reçoivent  des finances du Gouvernement et pas des moindres.

Le problème avec l’Afrique c’est que ce continent dépassera bientôt le milliard d’habitants qui regardent tous vers l’Europe. Cela devrait faire réfléchir ! Nous avons déjà environ 8 millions de musulmans dont beaucoup d’islamistes. Quand le verre est plein, il déborde.

Alors chers amis ou plutôt, chers faux amis africains, restez chez vous, relevez vos manches et mettez vous au travail pour développer votre continent le plus riche de la Terre . Votre avenir n’est pas en Europe mais en Afrique.

Onyx

Exploitation Politique

Déjà le calvaire de la jeune Lola est oublié et tout est fait pour ne plus en parler. L’affaire pourtant dérisoire d’une petite phrase maladroite vient à point pour la faire oublier. Que pèsent ces quelques mots par rapport au drame épouvantable qui a touché cette famille du nord de la France.

Mais Lola était une petite fille bien française, ce qui a moins d’intérêt pour cette gauche putride que ces arrivées régulières de clandestins non désirées sur notre territoire. Pour les mélanchonistes et les macronistes, qui font semblant de pleurer, c’est l’occasion rêvée de s’en prendre au RN et de nous refaire le coup du racisme en étalant leur moraline à deux sous. Chaque calomnie, pour ces malhonnêtes c’est le jackpot ! Mais aussi un refus de parler des problèmes  que pause l’immigration.

Ces gens se nourrissent d’anti-racisme, c’est leur fond de commerce. Quand ils n’en trouvent pas,  ils en fabriquent. Et c’est même très étonnant que le mot de fascisme n’est pas été prononcé. Ils veulent nous faire croire qu’ils sont philanthropes et plus humains que ces vilains fachos du RN, alors qu’ils sont sous l’emprise de leur idéologie woke qui n’a aucun avenir. Leur mauvaise foi est évidente et touche au terrorisme intellectuel.

Mais quels sont ces propos si injurieux qui auraient été adressés à ce parlementaire noir ? Et là, ils nous prennent vraiment pour des imbéciles. Ce député du LFI déplorait que des bateaux de clandestins ne soient pas accueillis les bras ouverts par la France. Comme si c’était une obligation pour nous de les accueillir.

« Vous nous bassinez avec le drame de l’immigration clandestine, qu’ils repartent en Afrique ». Propos aussitôt déformés et utilisés en attaque personnelle contre ce député noir de la Nupes. Le député du RN à beau se défendre, il faut à tout prix qu’il devienne l’homme à abattre. Un tel degré de mensonge  dans l’hystérie devient un signe de d’abrutissement mental, sinon spirituel. Au point de vouloir clore la séance illico.

Les médias y trempent aussitôt leurs mains sales, sans la moindre interrogation et participent à la curée générale. La Borne s’en mêle à son tour, suivie du foutriquet de l’Elysée et ensemble condamnent une attaque à la république, digne des heures sombres de l’histoire.

Mais que d’hypocrisie dans tout ça, et que de paroles inutiles dignes du café du Commerce. Que des journaleux posent dans la rue des questions au sujet de l’immigration et ils auront la confirmation que le citoyen lambda dans la majorité refuse ces arrivées massives de clandos qui viennent renforcer l’insécurité. Mais la Macronie a trouvé la solution: Trop d’insécurité en ville ? Exportons le problème à la campagne! Trop de clandos impliqués ? Régularisons les tous !

Le patronat pour des raisons faussement économiques réclame plus d’immigrés, pensant faire baisser les salaires. Cette gauche qui a renié ses fondements accompagne le patronat dans cette perspective, alors que comme Georges Marchais à l’époque elle devrait s’y opposer fermement. Mais la gauche actuelle est une gauche vendue au mondialisme financier et n’a plus rien à voir avec celle de Jaurès.

Seront-ils plus avancés quand la France sera totalement libanisée, africanisée et aussi économiquement détruite, en même temps qu’ingouvernable, (ce qui est déjà le cas). Suella Braveman, (Ministre de l’Intérieur anglais) dit: « Arrêtons l’invasion, et de faire croire qu’il s’agit de réfugiés en détresse. L’immigration illégale et hors de contrôle ».

Macron parle d’expulser les illégaux, tout en voulant les régulariser sous prétexte de les employer sur des chantiers et dans des restos. N’y a-t’il pas assez de chômeurs à faire travailler en priorité. Beau témoignage du tout et son contraire selon son habitude.

Que l’Océan Viking de la (Fondation du milliardaire Soros) retourne en Afrique avec ses faux réfugiés et qu’il amène les plus  obsédés d’anti- racisme de la Nupes avec lui. Et par la même occasion tous  les antifas qui voudront bien faire le voyage.

Onyx

 

Bruno Retailleau : « Non, Monsieur Darmarnin, l’immigration n’est pas une chance »

Bruno Retailleau : « Non, Monsieur Darmarnin, l’immigration n’est pas une chance »

Monsieur le Ministre, vous m’avez écrit pour me présenter votre projet de loi sur l’immigration, et je ne veux pas laisser votre courrier sans réponse tant le sujet me semble grave pour l’avenir de notre pays. Ce texte, qui intervient moins de quatre ans seulement après la loi Collomb, est en effet le révélateur de votre incapacité à juguler une immigration devenue incontrôlée. Prisonnier de « l’en même temps », vous êtes écartelé par les marchandages entre l’aile gauche et l’aide droite de votre majorité.

Bref, comme toujours en macronie, vous semblez faire, mais vous faites semblant. Vous déplorez ainsi l’accélération du rythme des entrées sur notre territoire, mais vous annoncez la création d’un titre de séjour pour les métiers en tension, tout en prévoyant la régularisation des clandestins qui travaillent en France. Autrement dit, vous allez créer un nouvel appel d’air migratoire. Car, désormais, tous les métiers sont en tension. Et je refuse cette résignation qui consiste à ne pas ramener vers l’emploi ces millions de Français au chômage faute de qualifications nécessaires et d’incitation au travail.

Par ailleurs, donner la possibilité pour les demandeurs d’asile de travailler avant d’obtenir leur statut de réfugié revient à leur ouvrir un deuxième guichet pour régulariser leur séjour quand bien même ils seraient déboutés au titre de l’asile. Ainsi, non seulement vous allez augmenter l’immigration légale au lieu de la diminuer, mais, pire, mais vous allez légaliser l’immigration illégale, faute de parvenir à l’interdire. Quel aveu d’impuissance ! Vous allez ainsi provoquer l’arrivée en France d’une main-d’oeuvre bon marché, qui va tirer les salaires vers le bas et créer une sous-catégorie de prolétaires.

De même, vous promettez un durcissement des reconduites à la frontière, mais sans conditionner la délivrance de nos visas d’entrée ou de nos aides au développement au nombre de laissez-passer consulaires accordés par les pays du sud de la Méditerranée. Tant que vous n’engagerez pas un vrai bras de fer avec ces États, la France ne sera pas respectée. Pas un mot, d’ailleurs, sur les jurisprudences de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) ou de la Cour de justice européenne qui remettent en cause le droit même de la France à se défendre, par exemple en nous obligeant à faire revenir les femmes djihadistes parties faire le djihad en Syrie. Votre projet est donc à la fois insuffisant et inquiétant, car vous n’opérez ni la révolution des moyens ni la révolution des mentalités, qui s’imposent pourtant pour ramener la sérénité et la sécurité nécessaires dans notre pays fracturé.

S’agissant de la révolution des moyens, elle exigerait de changer en profondeur notre législation sur l’immigration pour envoyer enfin un vrai signal de fermeté. Nous devons inscrire dans nos lois que tout individu entré illégalement sur le sol français ne sera jamais régularisé, qu’il travaille ou non, et que les clandestins ne pourront plus bénéficier d’aides sociales ni de soins gratuits, en dehors d’une aide médicale d’urgence. Le délit de séjour illégal, supprimé sous la présidence de François Hollande, doit donc être rétabli ; tout comme la double peine, supprimée pendant le quinquennat de Nicolas Sarkozy : les étrangers ayant commis un crime ou un délit doivent être expulsés à l’issue de leur peine ou transférés pour l’exécuter dans leur pays d’origine, comme nous le permet déjà notre droit. Par ailleurs, les critères de ressources et de logement pour l’immigration familiale doivent être restreints et les prestations sociales non contributives, versées seulement aux étrangers présents légalement sur le territoire national depuis cinq ans. Enfin, une réforme constitutionnelle doit être engagée pour permettre à la France, s’agissant de sa politique d’immigration ou de sécurité, de décider par elle-même et pour elle-même en imposant ses décisions souveraines aux décisions jurisprudentielles, par la voix du référendum ou celle du législateur lorsque nos intérêts vitaux sont en jeu.

Quant à la révolution des mentalités, elle devrait s’imposer par un changement radical du logiciel que nous impose la gauche depuis quarante ans. Non, Monsieur le Ministre, l’immigration n’est pas une chance, ni pour la France ni pour les immigrés. La France qui n’a pas les moyens d’assimiler correctement des populations qu’elle accueille mal ; et des immigrés qui basculent trop souvent dans la violence, la drogue ou le communautarisme islamiste, quand ils ne sont pas les victimes de passeurs sans scrupule.

Je terminerai en relevant la première phrase de votre courrier : «La France est un vieux pays d’immigration.» Car cette formule, qui ne veut rien dire en soi, en dit beaucoup sur vous et sur votre conversion au petit catéchisme de la gauche diversitaire que vous dénonciez hier et que vous récitez aujourd’hui. Affirmer que la France est un vieux pays d’immigration, ce qui est d’ailleurs discuté par des historiens et des démographes, c’est passer à côté de l’essentiel : ce qui fait la singularité de la France, ce qui a fait sa force, c’est qu’elle a été un grand pays d’assimilation, et non pas la terre d’un multiculturalisme qui n’a jamais été notre modèle. Assimiler à la culture française et à la civilisation européenne qui est la nôtre, c’est précisément ce que nous n’arrivons plus à faire, compte tenu de l’ampleur des flux migratoires et de l’affaissement de nos cadres communs qui nous tenaient ensemble ; et c’est précisément pourquoi il faut réduire l’immigration, sauf à renoncer à notre modèle français.

J’ai la conviction qu’il s’agit là d’un enjeu grave, d’un enjeu vital pour l’identité de la France et l’unité des Français. Voilà pourquoi, Monsieur le Ministre, si vous ne modifiez pas votre texte en profondeur, nous nous y opposerons. L’immigration est aujourd’hui devenue un sujet si brûlant qu’il met en cause la permanence même de notre nation : si le gouvernement ne prend pas ses responsabilités, qui sont immenses dans ce domaine, alors la droite prendra les siennes.

Par Bruno Retailleau, président du groupe Les Républicains au Sénat

Xavier RAUFER : Immigration et criminalité, l’état des lieux

Xavier Raufeur, criminologue et essayiste français, est l’invité de Livre Noir. Expert en questions de criminalité, terrorisme et insécurité urbaine, il est aussi l’auteur de « Le Crime mondialisé

Etat des lieux en 99 vérités ». Affaire Lola, immigration, criminalité et insécurité sont autant de sujets traités sans tabou par Xavier Raufeur pour cet entretien.