Un prêtre prêchait une très belle homélie, un bébé dans les bras de sa mère se mit à pleurer, la mère décida de sortir de l’église.
Le prêtre : « Madame, vous pouvez rester, l’enfant ne me dérange pas. »
La mère : « Je sais, mais vous, vous le dérangez ! »
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Un femme s’acheta une belle robe, qui lui avait coûté un bras.
De retour chez elle, elle la montra fièrement à son époux qui lui dit : « Quand tu as essayé cette robe, avant de payer, pourquoi n’as-tu pas dit : ‘passe derrière moi Satan’ ? (Matthieu 16 :21-27)
Elle répondit : « Je l’ai dit, et il m’a répondu : ‘Quelle belle vue d’ici ! »
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Un homme mourut et fut envoyé au Paradis, il s’attendait à aller en Enfer.
Arrivé au portail monumental de la Terre Promise, il dit à Saint-Pierre qui gardait l’entrée : « Je suis curieux, je voudrais aller jeter un coup d’œil en Enfer, juste pour voir ce que c’est. »
Saint-Pierre lui dit : « D’accord, va y faire un petit tour. »
Arrivé en bas, il vit des gens qui s’amusaient comme des fous, il se joignit à la fête et passa une nuit merveilleuse. »
De retour devant Saint-Pierre, il lui dit : « J’ai beaucoup aimé, je voudrais y retourner. »
Saint-Pierre lui dit : « Si tu y retournes c’est définitif, fais ton choix maintenant. »
Il choisit de retourner en Enfer, mais dès qu’il arriva il vit que l’atmosphère avait changé. Satan l’amena à un endroit très chaud, avec une odeur de cadavre. Partout des cris, des jurons, des pleurs.
Il dit à Satan : « La fois où je suis venu c’était bien différent, que s’est-il passé ? Il y a eu une révolution, un changement de gouvernement en Enfer ? »
Satan lui répond : « La dernière fois tu étais un touriste, maintenant tu es un résident ! »
Morale de l’histoire : Il ne faut jamais croire aux promesses du diable qui est le ‘père du mensonge’ (Jean 8:44).
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Pendant la guerre froide, le Pape Pie XII voulait convertir l’URSS.
Il pensa envoyer les Bénédictins, il se dit ‘Non, trop paresseux, même dans les Goulags ils vont refuser de travailler.’
Il envisagea les Franciscains, il réfléchit : ‘Non, ils vont mendier, les soviets ne les accepteront jamais.’
Pourquoi pas les Dominicains : ‘Non, ils seront considérés comme de dangereux orateurs et écrivains qui incitent le peuple à la révolte.’
Finalement il décida d’envoyer les Jésuites.
Un an passa, sans nouvelles, deux ans, toujours rien.
La troisième année il envoya un émissaire pour voir ce qui se passait.
Lorsque l’émissaire revint il fit son rapport au Pape : « Les Jésuites sont là-bas comme des poissons dans l’eau, ils sont tous devenus commissaires du peuple. »