La fin de la récréation vient de sonner dans les cités. Les barbus et les trafiquants de drogue n’y sont pas pour rien. Ces barbaresques des temps modernes ont pour l’instant le souci d’écouler le butin engrangé dans les caves de HLM, les commerçants spoliés n’ont plus qu’à se faire rembourser par leurs assurances ou partir, une main devant, une main derrière.
Pendant ce temps, la France médusée reste silencieuse dans sa passivité. Le sentiment imbécile de culpabilité est encore très bien entretenu par une gauche anti nationale qui prétend comprendre les émeutiers, quand elle ne joue pas ouvertement leur jeu. La mort du jeune Yael Mabrouk n’était finalement qu’un prétexte pour tout démolir.
Bientôt 18 ans après les émeutes de 2005, nos élites parasitaires n’ont encore pas pris la dimension réelle de ces attaques qui deviennent récurrentes et qui se renouvelleront tôt ou tard, en plus grave. Macron, comme Hollande et Darmanin se posent toujours des questions et refusent de voir le rapport entre ces saccages et l’immigration de plus en plus importante.
Il est bien vrai que la France est piégée par son appartenance à l’UE et par la politique de l’immigration donnée inconsidérément aux juges. Le Conseil d’Etat et le Conseil Constitutionnel ont finalement le pouvoir de décision sur toutes ces questions. Une chose est pourtant évidente par elle même; si les étrangers extra-européens et leurs descendants étaient dix fois moins nombreux, il n’y aurait pas de foyers d’insurrection dans le pays. Les musulmans qui aiment la France, il en existe, et ceux-là ne doivent pas être confondus avec les casseurs. Ils méritent bien la nationalité française !
Une Nation, peut intégrer des individus, mais elle ne peut pas intégrer des masses d’individus de culture et de civilisation trop différentes. Encore faut-il, qu’il y-ait une volonté d’intégration de leur part. Le général De Gaulle à l’époque ne s’embarrassait pas de périphrases pour dire ce qu’il pensait. « j’aimerai qu’il naisse plus de bébés en France et qu’il vienne moins d’immigrés. Ceux qui prônent l’intégration ont une cervelle de colibris » Et encore : « L’ennui avec les révolutions, c’est que la pègre surgit de l’ombre dont elle devrait ne jamais sortir pour devenir maîtresse de la rue, et que les honnêtes gens ne contrôlent plus rien »… Mais aussi: « Si une population n’est pas acceptée, c’est qu’elle ne donne pas de bons produits, sinon elle est admise sans problèmes. Quand elle ne fournit que du bien, tout le monde lui ouvre les bras. Si elle se plaint de racisme à son égard c’est qu’elle est porteuse de désordre »… Il n’oublie pas les socialistes: « La gauche tire le haut de la société vers le bas, par idéal d’égalitarisme. C’est comme ça que l’on a fini dans l’abîme en 1940. Ils sont des utopistes, des déphasés, des apatrides mentaux. Ils gaspillent toujours la grande partie des crédits. Je ne les aiment pas, ils sont dangereux ! »
On connaît les paroles de Georges Marchais sur l’immigration : « La poursuite de l’immigration pose aujourd’hui de nombreux problèmes; il faut la regarder en face et prendre rapidement des mesures indispensables. La côte d’alerte est atteinte. » Et c’était il-y-a déjà deux générations passées. Que dirait-il aujourd’hui ?
Après nous avons eu le regroupement familial, le Traité de Barcelone, pour le pétrole, associé à un afflux de travailleurs du Maghreb, et plus récemment, le traité de Marrakech qui nous met poings et pieds liés face à ces arrivées incessantes de migrants, en provenance surtout de l’Afrique sub-saharienne. Mais le plus gros du problème est posé souvent par la 2ème ou 3ème génération de ceux venus dans les années 60. Ils ont une détestation telle de leur pays d’accueil qu’ils feraient éclater un thermomètre qui la mesurerait. Ils trouvent dans le plaisir de tout casser et de faire du mal une jouissance de groupe.
La République a voulu leur donner presque de force la nationalité française, qu’ils refusent maintenant en brûlant les mairies et tout ce qui représente une société qu’ils rejettent violemment. Une exception quand même : les bureaux de la CAF ont été épargnés. Les inscriptions sur les murs témoignent de leur rage : « Mort à la France » … « Sale race de porcs » … « Brûlez les flics et les kouffars » … « Tuez le maire Wallah » et d’autres échantillons encore. Non Mr Darmanin, les Kévin et les Mattéo ne sont pas à prendre en compte.
Le Gouvernement est dépassé par l’ampleur du problème, il ne peut que nier le poids de l’immigration, car sinon il serait obligé de se désavouer et de reconnaître que depuis le 1er mandat de Macron il est rentré plus d’étrangers extra-européens que sous les présidences passées. Il ne sait plus trop quoi faire excepté mettre en place un nouveau Plan banlieues, tout reconstruire et acheter la paix sociale en distribuant sans compter au peuple de substitution l’argent des natifs devenus dociles et consentants au racket de l’impôt.
Le dernier Plan Borloo a-t-il servi à quelque chose ? Des milliards déversés dans un tonneau des Danaïdes qui se sont perdus dans les ruines fumantes de ces quelques jours de dévastations et de razzias. Une chose change quand même. En 2005 les émeutes partaient de Paris et des grandes villes; aujourd’hui, elles ont éclatées dans nombre de petites villes, en fonction du choix de répartition de ces générations ingérables. Qui aujourd’hui brûlent les voitures des pauvres, mais qui demain, brûleront celles bobo-gauchos qui les défendent.
Et le Pt algérien qui sermone doctement la France avec quelques menaces voilées : « Tous les algériens accueillis par la France doivent être considérés comme ressortissants algériens » Chiche..! Qu’il soit pris au mot. Cela permettra peut être, de leur redonner une nationalité qu’ils auraient bien du garder !
Onyx
Lou Roumegaire 