Jean-Claude Bourret est l’invité de Charles Gave, Philippe Pascot et Eric Léser

Le journaliste Français, Jean-Claude Bourret, qui a fait, pour beaucoup d’entre nous, les belles heures de notre enfance, dialogue avec Charles Gave, Philippe Pascot et Eric Leser de l’Etat de la France aujourd’hui sous la Covid 19 et, dans un second temps, des éoliennes.

Tribune des militaires : « On nous voit charentaises aux pieds et kalachnikov à la main »

ENTRETIEN. Ancien officier de gendarmerie, Jean-Pierre Fabre-Bernadac est l’auteur d’une tribune appelant les gouvernants à retrouver l’honneur et le goût du patriotisme. Co-signée par des milliers d’ancien militaires, la tribune est sous le feu des critiques, suspectée d’annoncer un putsch. Quelles sont vraiment leurs intentions ?

Front Populaire : Vous avez récemment fait paraître une tribune co-signée par de nombreux militaires de tous rangs pour « un retour de l’honneur de nos gouvernants ». Quel est votre objectif ?

Jean-Pierre Fabre-Bernadac : Je suis persuadé que la population française n’en peut plus dans sa large majorité. Non seulement du Covid mais aussi du laxisme de l’Etat et du « en même temps » de son président. Comme je venais de terminer l’ouvrage Les Damnés de la France, j’ai pensé que le plus simple était, dans un raccourci, de parler de mon ressenti à mes camarades militaires et de leur demander leur accord à travers une signature à une lettre ouverte. Avec un ami nous avons créé le site « place-armes.fr » et y avons glissé la lettre, ceci le 13 avril et non le 21 comme le pensent Mélenchon et la ministre de la Défense. Depuis lors, nous avons l’intention de porter la lettre à l’Élysée, avec une délégation de l’armée, car le président de la République est le chef des Armées. Cela donnera ce que ça donnera mais nous avons l’intention de le mettre devant ses responsabilités.

FP : Il est vrai que votre texte a été publié en amont, mais médiatiquement, il a été mis en ligne sur le site de Valeurs Actuelles le 21 avril 2021, soit exactement 60 ans après le Putsch d’Alger des généraux. Vous comprenez que la symbolique puisse interpeller ?

J-P F-B : La lettre était sur notre site le 13 avril. Le 19 avril, j’étais chez André Bercoff sur Sud Radio pour en parler et j’ai expliqué lors de l’émission que la lettre y était depuis une semaine…A aucun moment il n’était question de cette date, jusqu’à la publication dans Valeurs Actuelles. C’est une polémique stérile qui sert à évacuer le fond du problème. Nous ne suivons pas les éphémérides des évènements du passé.

FP : Pensez-vous que l’armée serait plus à même de régler les problèmes de la France que les hommes politiques ? Si oui, en quoi ?

J-P F-B : Je pense surtout que l’armée est plus écoutée que les politiques, mais je ne pense pas qu’elle resoudrait à leurs places les problèmes ou alors il faudrait que survienne une explosion dans notre pays. Aujourd’hui, en ces temps de crise, l’armée doit être un aiguillon et doit pouvoir devenir une sorte de  « lobby », indiquer qu’elle ne veut pas, comme 90 % de la population, la disparition de la France. Nous ne prétendons pas remplacer les politiques, mais pour beaucoup de Français, nous sommes les garde-fous lorsque le pays va mal. Notre mission est de défendre la France, et ça les gens le savent.

FP : Vous parlez de « soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation ». De quel type de soutien parlez-vous ?

J-P F-B : De tous les politiques. Nous ne faisons pas de tri entre droite et gauche à une condition qu’ils aient la France au fond du cœur. Les gens de ce pays souffrent et nous souffrons avec eux de voir s’amenuiser les perspectives d’avenir sur notre sol pour nos enfants et petits-enfants. Vous avez remarqué que personne ne parle des Gilets Jaunes…Nous avons une liste de milliers de militaires de tous les rangs qui ont signé un texte saluant le courage des Gilets Jaunes, alors qu’on annonçait une fracture entre le peuple et les forces de l’ordre. Je vous avoue que moi-même, lorsque j’ai écrit les lignes sur les Gilets Jaunes dans la tribune, je pensais que cela pourrait faire grincer des dents chez certains militaires. Et bien non, aucun militaire ne m’a reproché ce soutien.

FP : Marine Le Pen vous a exhorté à la rallier. Comptez-vous le faire ?

J-P F-B : Non, nous ne roulons pas pour un parti en particulier. Marine Le Pen est une patriote parmi d’autres et elle a toute la latitude et légitimité pour essayer de rallier à elle les militaires. Chacun d’entre eux tranchera lors des élections en son âme et conscience, mais cela ne saurait nous engager collectivement. Notre seule volonté est de sauver le pays de la destruction. De surcroît, Marine Le Pen a commis une véritable erreur de jugement en méconnaissant une règle fondamentale du monde militaire : elle a parlé des « vingt généraux » en laissant dans l’ombre tous les hommes du rang qui ont signé cette tribune. Or, aucun général n’existe sans ses hommes. Cibler les « généraux » et snober les sans grades est une attitude qui relève des habitudes du calcul politique. Nous ne fonctionnons pas comme cela.

FP : Que répondez-vous à ceux qui vous accusent depuis quelques jours d’être des factieux ?

J-P F-B : Continuez ! …nous sommes passé en une semaine grâce à vous, Madame la ministre de la Défense, et à vous M. Mélenchon, de 500 signatures à 5000 et ceci en excluant tous les civils qui demandent à signer mais que nous écartons pour l’instant. Je vous annonce que nous avons l’intention de créer au sein du site : « Les amis de place d’armes » qui sera réservé aux civils. Du reste, il faut être cohérent, d’un côté on nous voit charentaises aux pieds et de l’autre kalachnikov à la main…Il faut savoir ! Ils vont sans doute devoir interdire les charentaises bientôt…au cas où il y aurait des militaires dedans. C’est ridicule… ou alors que l’on nous dise que l’on n’est plus en démocratie et que les anciens militaires à la retraite n’ont pas les mêmes droits que les civils. Mme Parly nous dit que nous sommes une bande de retraités qui parlent dans leur coin. Vous pensez sérieusement que nous n’avons aucun contact avec l’armée d’active ? Évidemment, l’armée est soumise au devoir de réserve, elle prend ses précautions et c’est très bien ainsi. Bien sûr que nous avons des contacts entre militaires, contrairement à ce qu’ils prétendent en croyant nous marginaliser. De toute façon, l’effet est évidemment contre-productif. Plus ils parlent de sanction et plus les gens nous soutiennent.

FP : Comment réagissez-vous à ce soutien populaire ?

J-P F-B : J’en ai été absolument étonné et très agréablement. Nous avons commencé cette initiative à trois, vous savez… C’est formidable et émouvant de voir que les gens nous soutiennent. Bien sûr, nous ne prétendons pas faire l’unanimité, mais c’est extraordinaire pour nous. Je reçois des centaines et des centaines de messages patriotiques, des drapeaux français, des gens qui me disent leur fierté d’être français, et la gentillesse des gens est désarmante. Vous savez, il y a des cons dans l’armée comme partout mais il y a la droiture et le sens de l’honneur. C’est ça que recherchent les gens et qu’ils ne trouvent plus chez les politiques.

Réponse de Macron aux militaires

Voici ce que répond le président de la république aux 20 généraux qui le mettent en garde contre sa gestion de l’immigration incontrôlée.

C’est clair, précis et concis, mais les militaires ont-ils bien compris ?

La tribune signée par plusieurs militaires et publiée il y a une semaine dans l’hebdomadaire Valeurs actuelles fait réagir jusqu’au sommet de l’armée. Dans les colonnes du journal Le Parisien, le général François Lecointre, chef d’état major des Armées, annonce des sanctions contre au moins 18 militaires toujours en activité. Des sanctions qui seront « exemplaires », promet Hervé Grandjean, le porte-parole des armées, jeudi 29 avril sur franceinfo.

franceinfo : Dans un premier temps, une quarantaine de militaires vont être sanctionnés. Que risque-t-il précisément ?

Ces sanctions seront exemplaires et nous allons continuer à regarder très soigneusement la listes des signataires. Il faut distinguer deux catégories au sein de ces militaires. Il y a d’une part des militaires qui travaillent aujourd’hui au ministère des Armées. Ils sont 18 militaires. Ils vont passer devant un conseil de discipline au niveau local et ils peuvent recevoir des sanctions qui vont jusqu’à des jours d’arrêt. Ensuite, il y a une deuxième catégorie de militaires. Ce sont des généraux de deuxième section. Ça veut dire qu’ils sont à la retraite, mais qu’ils peuvent être rappelés si une mission leur a été confiée par le ministère des Armées.

« Ces généraux, même s’ils sont à la retraite, sont aussi soumis au devoir de réserve, au devoir de neutralité et de loyauté. »

Hervé Grandjean, le porte-parole des armées

à franceinfo

Les sanctions demandées par le chef d’état major des Armées et la ministre des Armées, vont jusqu’à la radiation des services. Ils peuvent ainsi perdre leur droit de porter l’uniforme, leur carte militaire et aussi le droit de signer des documents en accolant leur grade à l’ordre.

Qu’est-ce qui est sanctionné aujourd’hui ?

Ils sont sanctionnés car il n’ont pas respecté le principe de réserve. Effectivement, quand on critique ouvertement le gouvernement ou qu’on appelle des camarades à prendre les armes sur le territoire national, clairement, on sort du devoir de réserve qui doit caractériser tout militaire. Vous savez, quand vous vous engagez dans la carrière militaire, quel que soit votre grade, on vous apprend immédiatement que vous n’avez pas à avoir d’expression publique en faisant mention de votre grade. C’est ce que ces personnes ont fait.

Ça va laisser des traces au sein de l’armée française ?

Les militaires sont des gens discrets et nous parlons là de 18 militaires actifs, de 25 officiers généraux. En deuxième section, nous avons 5 200 officiers généraux et nous avons 210 000 militaires actifs. Donc, c’est une infime proportion. Ce sont quelques cas isolés et ce n’est en rien représentatif de la communauté militaire.

Source : Franceinfo

L’appel de vingt généraux pour « éviter une guerre civile » a déclenché une bataille médiatique

Dans une tribune publiée le 21 avril dans Valeurs actuelles, plusieurs militaires dont une vingtaine de généraux appellent le Président Emmanuel Macron à «défendre le patriotisme». Le but? Conjurer le risque de «guerre civile» sur le territoire français. Une partie de la gauche, à l’exemple de Jean-Luc Mélenchon ou de Benoît Hamon, dénonce des «apprentis factieux» et les risques d’«un coup d’État». Pour faire le point, Sputnik donne la parole à l’initiateur de cette tribune, l’ancien officier de gendarmerie Jean-Pierre Fabre-Bernadac.

L’Illusion du Vivre Ensemble

Montpellier était il y a quelques jours en tête d’affiche. Une mère de famille musulmane interpellait Macron lors de sa visite à la police de la ville. Au même moment où le Gouvernement vient de lancer une plateforme de signalement des discriminations.

Mais où sont-elles les discriminations en question ? On ne parle que de discriminations positives. Que Macron renforcera encore après cette courte entrevue.

Cette jeune femme s’exprime très bien. Elle appartient certainement à la petite bourgeoisie musulmane qui élève correctement ses enfants et qui respecte le pays. Des gens instruits, qui gagnent certainement bien leur vie et qui ne posent aucun problème. Mais malheureusement ils ne sont pas les plus nombreux. Les plus nombreux défraient la chronique, tous les jours, pas dans le sens du bien et ne savent que se victimiser.

Quelle naïveté dans ses propos ! N’est-elle pas au courant de tout ce qui se passe  dans la réalité des faits divers, d’une immigration débridée, provenant souvent de pays qui ont la même civilisation que cette dame ?

« Je déplore, (disait-elle) le manque de mixité dans le collège du quartier, les gens ne mettent plus les enfants dans le même  collège et c’est dommage ». Son fils lui a demandé si le prénom de Pierre existait vraiment ou si c’était dans les livres.

Le président a été touché visiblement par mes propos, très ému et peiné, dit-elle . Comment ne le serait-il pas. Il tient à garder ses meilleurs électeurs.

Mais rien dans cette république, n’empêchait ce couple d’appeler leur fils Pierre. L’intégration commence par le choix d’un prénom du pays d’accueil.

D’ailleurs, le voile islamique de la mère n’est pas le meilleur moyen pour réclamer plus de mixité. Ce serait plutôt la preuve d’une volonté de vivre à Montpellier comme à Alger ou à Marrakech.

Dans ces conditions, comment un enfant de culture occidentale pourrait-il se sentir à l’aise et même en sécurité dans une classe où les 3/4 des élèves sont élevés dans des traditions qui lui sont totalement étrangères.

On apprenait ces derniers jours qu’une famille harcelée après diverses provocations, sur elle et son enfant, devait fuir les Minguettes.

Tous les jours, les journaux parlent « d’incivilités » contre des natifs qui préfèrent quitter des quartiers dits « sensibles » que subir un voisinage qui leur est hostile.

Jean Messiha crie sa colère après l’assassinat gratuit, par un islamisé tunisien d’une policière à Rambouillet : « On  nous poignarde, on nous égorge, on nous agresse, on nous insulte, on nous viole les femmes, on nous vole, on nous crache dessus. On incendie nos églises, et on nous explique que c’est nous qui haïssons, discriminons, stigmatisons, excluons, alors qu’on est chez nous ! »

Votre problème c’est vous dit Cyril Bennamar.

« Ce qui a fait fuir tous ceux qui n’ont pas été convaincus que l’Islam c’est la paix, tous ceux, dont les islamistes des cités ont décidé qu’ils n’étaint pas compatibles avec leur religion, sauf à être des proies faciles. C’est vous, et votre voile qui n’est que la partie visible de l’iceberg vers lequel le paquebot France se dirige inexorablement, avec l’assurance qu’il est insubmersible ».

Comment à force de patience les gens les mieux intentionnés ne feraient pas d’amalgame, en tout cas avec les sourates violentes du Coran.

« Il existe des gens, qui ne veulent pas entendre la vérité, parce qu’ils ne veulent pas que leurs illusions soient détruites » (Frédéric Nietzsche)

 Onyx

Macron, l’immigration et la pince identitaire

Selon le chroniqueur de Valeurs Actuelles, Guillaume Bigot, la pince identitaire qui broie la France existe, mais de la chaîne américaine CBS à Montpellier c’est Emmanuel Macron qui la tient.

Cette semaine, deux vidéos d’Emmanuel Macron, abondement diffusées sur les réseaux sociaux, illustrent le risque de dislocation de notre nation. Dans une première séquence, répondant aux questions de la chaîne américaine CBS, le chef de l’État explique que la France doit déconstruire son histoire. Dans d’autres images, tournées dans la banlieue de Montpellier, le président de la République dialogue avec une femme voilée. Cette mère de famille se plaint à Emmanuel Macron du manque de mixité de son quartier. Elle regrette que son fils peine à croire que le prénom Pierre existe ailleurs que dans les livres. Le terme qu’elle emploie, celui de mixité, trahit un double déni : celui de la nécessité et de l’impossibilité de l’assimilation.

Certains commentateurs se sont empressés d’en conclure que cette maman déplorait le manque de mixité… sociale. Pourtant, elle n’a pas demandé plus de gens aisés dans son quartier. S’agit-il d’ailleurs de mixité au sens d’une insuffisante diversité ethnique ou confessionnelle ? Pas davantage. En réalité, cette Montpelliéraine d’adoption ne s’est pas plainte que son fils ne fréquente pas suffisamment de Peter, de Piotr ou de Pietro. Elle a dit regretter qu’il ne sache pas que Pierre, c’est-à-dire un prénom typiquement français, soit réellement usité. Ce n’est donc pas la diversité qu’elle réclame mais la possibilité pour ses enfants de s’assimiler à la majorité. Une partie non diffusée de l’interview, où cette dame explique avoir inscrit son aîné dans une école confessionnelle, achève d’éclairer la nature de sa demande.

Une réaction sensée qui trahit le besoin d’assimilation mais qui éclaire aussi son mécanisme. L’assimilation est un processus naturel qui s’opère chez les enfants immigrés et grâce aux enfants locaux. Seuls les enfants du pays d’arrivée peuvent assimiler leurs petits camarades venus d’ailleurs. Pour que l’osmose se produise, les enfants indigènes doivent être majoritaires dans les classes. Les petits Mohamed ne peuvent assimiler les petites Yassine. Entre 1982 et 2017, à la Courneuve, en Seine-Saint-Denis, la proportion d’enfants immigrés ou issus de l’immigration est passée de 37 à 82 %. Le moule à fabriquer des Français s’est brisé. Pour que l’assimilation réussisse, il faut qu’une seconde condition soit réunie : que les nouveaux arrivants aient envie de s’assimiler. Comme le rappelle Malika Sorel (Décompositions françaises, Fayard), au début du siècle dernier, un tiers des travailleurs immigrés italiens est reparti au pays.

Or, cette femme qui interpelle le chef de l’État incarne un formidable paradoxe : elle explique être arrivée dans l’Hexagone à l’âge de sept ans et avoir bénéficié de cette fameuse mixité (en fait une uniformité salutaire) au sein de l’école de la République. Pourtant, elle ne semble pas avoir saisi cette chance puisqu’elle porte un hidjab. Elle aurait pu s’assimiler mais a choisi se tourner vers un islam sans doute bien plus rigoriste que celui que ses parents observaient en terre musulmane. Regretter que les parents de petit Pierre s’éloignent de son quartier alors qu’elle-même s’est éloignée des mœurs françaises relève de l’injonction paradoxale, voire de la provocation. Elle reproche aux Français de ne pas vouloir faire société avec elle dans un quartier où la pression sociale d’une contre-société islamique s’exerce. Dieu se rit de ceux qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes, écrivait déjà Bossuet.

Le géographe Christophe Guilluy explique que dans ces quartiers, les non musulmans ont perdu « la guerre des yeux ». L’islam radical s’y sent chez lui, en terrain conquis. Cet intégrisme n’a nul besoin d’exercer la force. La pression sociale exercée par des us et coutumes, devenus majoritaires, suffit à l’imposer comme norme. Les Français, qui ne se reconnaissent plus chez eux dans des quartiers qui ressemblent plus à Tunis qu’à Orléans, éprouvent cette sensation décrite par Edgar Quinet : Le véritable exil n’est pas d’être arraché de son pays, c’est d’y vivre et de n’y plus rien trouver de ce qui le faisait aimer.» La responsabilité des nouveaux venus, celle des trafiquants et des islamistes mais aussi celle des immigrants qui sont de plus en plus rares à adopter un prénom du calendrier, est incontestable. Mais la responsabilité des dirigeants français est écrasante. Pour que l’assimilation fonctionne, les nouveaux venus doivent y consentir mais il faut aussi que les habitants historiques l’imposent. C’est ici que nous retrouvons le président de la République dans l’autre vidéo.

On y entend le chef de l’État regretter que la France ne se soit pas assez engagé dans la voie de la repentance mémorielle afin de gommer le racisme car, dit-il, nous avons un passé colonial. Pour se rendre aimable auprès des nouveau venus, dont il explique, à juste titre, qu’ils sont souvent issus d’anciennes colonies françaises, le président suggère que la France aille encore plus loin dans la détestation d’elle-même. Personne ne veut expurger nos manuels des passages peu reluisants de l’histoire coloniale mais il suffit d’ouvrir un livre scolaire pour constater que ces épisodes sont largement abordés et que la colonisation y est, essentiellement, présentée comme une pure sujétion, ce qui relève déjà d’une totale ineptie.

Apparemment, pour notre président, c’est encore insuffisant. Il faudrait apprendre aux jeunes Français, issus des pays colonisés, que leur patrie s’est comportée en marâtre, dominatrice et abjecte, à l’égard de leurs ancêtres. Le « président philosophe » voudra sans doute conserver les aspects les plus flamboyants de notre histoire tout en mettant davantage en exergue ses aspects les plus sombres. En adepte de la pensée complexe, Emmanuel Macron veut sûrement « déconstruire » pour mieux bâtir une histoire commune avec les nouveaux arrivés. Il est en tous les cas très clair que le président n’exprime aucune volonté assimilatrice mais qu’il exprime un souhait de contrition et d’adaptation des authentiques indigènes de la République à l’égard des allogènes.

En revanche, le locataire de l’Élysée illustre le mécanisme spontané voire inconscient d’acculturation d’une culture dominée (la culture française) à l’égard d’une culture dominante (la culture américaine). Dans ses propos, on entend l’envie de s’adapter, de se mettre à l’école d’un modèle. Bref, on comprend comment la transformation des idées et des valeurs peut opérer au contact d’une autre culture que l’on admire. Mais on n’imite que ce l’on perçoit comme meilleur, voire supérieur. Ce qu’Emmanuel Macron trouve admirable en Amérique, c’est sa capacité de repentance à l’égard de l’esclavage ou des minorités et qu’il veut transposer à la France. Ce double déni d’assimilation de la base et du sommet met au jour l’existence d’une véritable pince identitaire qui est en train de broyer la France comme État-nation  : celle d’une classe dirigeante qui veut déconstruire la France et celle d’une immigration qui refuse de lui prêter allégeance.

Source : Guillaume Bigot pour Valeurs Actuelles

Ecroulement Judiciaire

En avril 2017 on apprenait avec horreur le martyre subit par Mme Sarah Halimi, de la part d’un africain musulman, le nommé Kobili Traoré (ce nom qui faisait parler de lui, il n’y a pas longtemps, avec d’autres Traoré de la même engeance). Agression qui s’est terminée mortellement, car la victime a été précipitée, avec la volonté de tuer, à partir du 2ème étage.

Elle cumulait trois handicaps pour ce triste déchet de fosse d’aisance. Elle était une femme, faible, juive et blanche.

Or la Cour d’Appel de Paris vient de confirmer l’assassin irresponsable pénalement. Pourquoi ? Parce qu’il était au moment du crime, sous l’emprise du cannabis. Il s’agirait de « bouffées délirantes » provoquant des troubles psychiques. De qui se moque-t-on ?

Verdict qui peut donner des idées à tout malfaiteur potentiel qui aura bien compris le message. Pour être reconnu responsable mais pas coupable, quoi de mieux que de se droguer avant de faire un mauvais coup.

Meurtre révoltant de barbarie gratuite et caché en 2017, par la presse, pour ne pas nuire à l’élection de Macron, en favorisant MLP qui aurait pu en tirer profit pour sa campagne contre l’insécurité.

Et comme c’est drôle, silence ou presque de la part du CRIF, de la LICRA, de BHL et Cie. Y aurait-il aussi des juifs d’en haut qu’il faut défendre et ceux d’en bas qu’on ignore ?

Dernièrement, des actions ciblées sur la police défrayaient la chronique. Des tentatives de brûler vifs des policiers, qui s’en sont sortis avec des séquelles très graves. Ces assassins ne récoltent que 6 et 18 ans de prison. Peines moins lourdes qu’en première Instance. Ils étaient environ 2O participants à ce jeu de massacre. Cinq seulement sont condamnés et 8 sont acquittés. Selon l’avocat Thibault de Montbrial, à la fin du réquisitoire le magistrat aurait dit à l’adresse de ces cales types : « Vous êtes pourtant une richesse pour la France ». C’est un scandale, et une preuve que cette justice est en dessous de tout.  Il existe des juges qui devraient être révoqués sur le champ.

Qui a payé les avocats de Kobili Traoré ?  Ce serait un certain Patrice Spinosi, qui est un des plus performants. Mais qui est aussi un gauchiste de compétition; avocat des « sans-papiers » et des causes indéfendables. On pense à certaines ONG, qui disposent de bons moyens financiers, car couvertes par l’Open Society de G. Soros. Et recevant aussi de l’argent de villes, de départements, et de régions françaises. C’est à dire, de sommes soutirées de la poche des contribuables français, pour leur plus grand malheur.

On n’est jamais mieux trahi que par ses propres (ou plutôt) certains mauvais compatriotes !

Comment ne pas comprendre la colère des forces de l’ordre ?

Il y a aussi les meurtres sauvages de Laura et Marianne, commis au nom d’Allahu-Akbar par un islamiste tunisien. Toutes les deux égorgées devant la gare Saint Charles à Marseille, le 1er octobre 2017. Le tueur vient de bénéficier d’un non-lieu et n’aura droit à aucun procès. Il sera expulsé en Tunisie, pour purger 12 ans d’enfermement. Rien ne prouve qu’il ne sera pas libéré auparavant !

A quoi sert cette Justice ?

Dans la Chine actuelle, ce pays en voie de devenir la première puissance mondiale, les choses se seraient passées autrement, on peut supposer.

Les criminels n’auraient bénéficié d’aucune mansuétude. Avec certainement la peine capitale pour tous, et par la même occasion le prélèvement d’organes auparavant. Car en Chine communisto-capitaliste, rien ne se perd, tout se transforme en capitaux et biens d’investissement.

Heureusement nous vivons dans une autre forme de société, mais entre une justice expéditive d’un côté et un manque de Justice de l’autre, n’y aurait-il pas un juste rapport à tenir ?

« Ceux qui rendent une révolution pacifique impossible rendront une révolution violente inévitable ». (J. F Kennedy)

 Onyx

Poisson d’Avril

Il est un peu tard pour coller des poissons d’avril, mais je trouve cette situation comique. Cette dame militerait contre ses propres intérêts.

Je voudrais assister à la scène lorsque son mari découvrira le beau poisson qu’elle ramène à la maison ;-))

Ne prenons pas nos rêves pour la réalité mais on a bien le droit de rire, même si c’est l’oeuvre de ‘Photoshop’.