En réalité, la Terre aurait déjà connu 6 extinctions de masse

Mont Emei

La crise de biodiversité qui sévit à l’heure actuelle est souvent qualifiée de « sixième extinction massive » par ceux qui pensent que nous nous dirigeons vers un effondrement mondial du nombre d’espèces. Mais pour certains scientifiques, cette extinction serait plutôt la septième.

En 1982, les paléontologues spécialistes de l’approche quantitative Jack Sepkoski et David Raup de l’université de Chicago ont fait l’inventaire des extinctions de masse les plus dévastatrices sur Terre et leur ont donné le nom de Big Five. Dans ce groupe figure notamment la fin du Permien, la plus grande extinction de tous les temps survenue il y a 252 millions d’années environ, responsable de la disparition de 95 % des espèces marines.

À l’époque, le carnage de la fin du Permien avait fait de l’ombre à une autre extinction survenue huit millions d’années plus tôt, celle qui a mis fin au Guadalupien. Toutefois, au cours des trente dernières années, les géologues ont creusé plus profondément dans la crise des derniers jours du Guadalupien et elle est aujourd’hui plus largement reconnue comme étant distincte. Désormais, certains scientifiques soutiennent que cette ancienne extinction était suffisamment massive pour rejoindre le panthéon des apocalypses passées et proposent donc de renommer le groupe des grandes extinctions massives le Big Six.

L’histoire de la vie a connu de nombreux revers et contretemps, mais en les distinguant pour n’étudier que les événements majeurs, les géologues peuvent faire apparaître des tendances et identifier les causes communes. Un nombre grandissant de preuves suggèrent que plusieurs extinctions planétaires seraient à associer à une diminution des niveaux d’oxygène dans les océans, un symptôme du réchauffement climatique, ce qui n’est pas sans conséquence lorsqu’on connaît les effets actuels du changement climatique. La fin du Guadalupien présente également cette caractéristique.

« Je trouve problématique le fait de s’accrocher à ce nombre de cinq, » déclare Richard Bambach, relecteur du rapport fondateur de Sepkoski-Raup, paléoécologiste de la vie marine et professeur émérite de paléontologie à l’Institut polytechnique de Virginie. Dans les chiffres, l’extinction Permien-Trias est passée plus près d’éradiquer toute forme de vie sur Terre que celle du Guadalupien mais en ce qui concerne la biodiversité, cette dernière s’est montrée incroyablement vorace.

« Si vous examinez les données brutes, » poursuit-il, « la perte de taxons à la fin du Guadalupien est en fait plus grande que celle du Permien. »

CHAMPS DE LAVE
Les dernières années du Guadalupien ont été marquées par les trapps d’Emeishan dans le sud-ouest de la Chine, un monument à la mémoire des champs de lave entrés en éruption dans l’océan il y a 260 millions d’années qui s’étale aujourd’hui sur plus d’un million de kilomètres carrés. Cet événement volcanique a libéré des panaches de méthane et de dioxyde de carbone qui ont semé le chaos sur un plan climatique et provoqué la mort de 60 % des espèces marines, principalement dans les eaux peu profondes entourant le supercontinent Pangée.

Les coulées basaltiques comme celle des trapps d’Emeishan existent un peu partout sur la planète et il a été démontré qu’elles coïncidaient avec les extinctions massives du Big Five. « C’est une corrélation de un pour un, » déclare Michael Rampino, géologue à l’université de New York.

Cependant, les géologues qui s’intéressent aux extinctions de masse n’ont pas toujours prêté attention aux coulées basaltiques. À partir des années 1980, après l’hypothèse émise par Luis et Walter Alvarez sur la responsabilité d’un impact de météorite dans le trépas des dinosaures non aviens, les équipes de géologues se sont lancées en quête d’impacts météoritiques qui pourraient expliquer les autres extinctions massives, sans succès.

Les mains vides, Rampino a par la suite tourné son regard vers les coulées basaltiques en remarquant que les trapps du Deccan en Inde s’étaient formés à la même période que l’impact de Chicxulub et l’extinction Crétacé-Paléogène. La fin du Permien a elle aussi été marquée par des coulées basaltiques encore plus grandes, celles des trapps de Sibérie. (À lire : Le dernier jour de l’ère des dinosaures heure par heure https://www.nationalgeographic.fr/sciences/2019/09/le-dernier-jour-de-lere-des-dinosaures-heure-par-heure)

« Je suis passé du côté des impacts à celui du volcanisme, » dit-il. Ces dix dernières années, ses recherches se sont axées sur la mise en évidence de liens entre les basaltes et les autres grandes extinctions massives, mais également avec des périodes d’appauvrissement en oxygène et d’acidification des océans.

Dans les années 1980, époque à laquelle la fiabilité des technologies permettant de dater les fossiles et les roches était moindre, ces relations étaient difficiles à étudier. Ces cinq dernières années en revanche, les méthodes de datation radiométriques avancées ont offert un horodatage plus précis des événements géologique. En matière de précision, la datation par l’uranium-plomb a surpassé la méthode argon-argon et les marges d’erreur qui autrefois couvraient des millions d’années sont aujourd’hui de l’ordre du millier d’années, ce qui augmente grandement la résolution des données.

Avec cette précision nouvelle, les géologues peuvent affirmer en toute confiance que les coulées de lave de la fin du Guadalupien se sont produites en l’espace d’une centaine de milliers d’années, un véritable instantané géologique, et qu’elles coïncident avec l’extinction documentée par la chronique fossile.

Comprendre : La Terre
Dans une étude récente publiée par Historical Biology, Rampino et son coauteur Shu-Zhong Shen de l’université de Nankin ont recroisé les données les plus récentes sur les trapps d’Emeishan et une analyse de la sévérité écologique de l’extinction du Guadalupien afin de soutenir son adhésion au Big Six.

Les changements intervenus dans les écosystèmes à la fin du Guadalupien ont été dramatiques, affirme l’équipe de scientifiques. Les gigantesques récifs de coraux et d’éponges qui peuplaient les mers ont subi un effondrement généralisé aux côtés d’autres organismes bâtisseurs de coquilles en carbonate de calcium, dont l’acidité grandissante des océans n’aurait fait qu’une bouchée. Des mollusques géants aux allures de croiseur extraterrestre ont disparu à jamais et de nombreuses espèces de céphalopodes semblables aux nautiles, les ammonites, se sont également éteintes.

Les paléontologues ont moins de données sur les victimes terrestres mais ils savent qu’un groupe de protomammifères au crâne épais répondant au nom de dinocéphaliens en faisait partie. Après cette apocalypse, les fougères dépourvues de graines alors prépondérantes cédèrent leur place aux gymnospermes porteuses de graines comme les conifères ou les ginkgos.

UN RECORD CONTESTÉ
Les nouvelles estimations ont par ailleurs permis de tirer au clair les dates de première et dernière apparition des espèces dans l’ensemble de la chronique fossile. Les chercheurs citent une étude datant de 2016 qui affirme qu’en raison de l’imperfection des méthodes de datation, plusieurs espèces éteintes à la fin du Guadalupien auraient été attribuées à l’extinction du Permien, conférant à cette dernière un bilan certes record, mais bodybuildé, de 95 % des espèces marines alors qu’il se rapprocherait plutôt des 80 %.

Bambach émet tout de même certains doutes quant à l’évaluation de la sévérité écologique de l’extinction du Guadalupien proposée par cette étude. Le niveau mondial des océans était à son point le plus bas pendant le Guadalupien et il a augmenté après l’extinction, ce qui signifie que relativement peu de récifs du Guadalupien ont été préservés dans une roche accessible aux paléontologues.

« Certaines disparitions des écosystèmes pourraient simplement s’expliquer par la détérioration de la qualité ou de la quantité des chroniques préservées, » explique-t-il. Exception faite de la Chine, où Shen a pu dater des fossiles marins dans le Permien et affiner le portrait biologique du Guadalupien.

Quoi qu’il en soit, Bambach rejoint Rampino et Shen sur le fait qu’il serait temps d’ajouter l’extinction du Guadalupien au Big Five : « Sa place est là-haut avec les plus grands, c’est indéniable. »

Cet article a été créé en partenariat avec le Graduate Program in Science Writing du Massachusetts Institute of Technology. Cet article a initialement paru sur le site nationalgeographic.com en langue anglaise.

La Trilogie Malfaisante

triplice-et-triades

Nationalistes de tous les pays, unissez-vous ! Disait JMLP autrefois. Il avait parfaitement compris que ces forces, qui au nom d’un internationalisme fantasmé parlaient de supprimer toutes les frontières et tout sentiment national, ne travaillaient pas dans l’intérêt des peuples.

A l’heure actuelle la situation est bien pire que dans les années 80, puisque le projet de dislocation des Nations est sérieusement engagé.

Principalement, trois composantes s’associent pour déconstruire la France et l’Europe :
1. Les Mondialistes, en vue d’un Nouvel Ordre qui gouverne le monde.
2. Les gauchistes, y compris le PC, qui œuvrent pour la Révolution Internationale.
3. Les Islamistes, pour établir le grand Califat mondial.

Voilà trois groupes, qui à part d’être d’accord sur les suppressions des frontières, des Nations et du christianisme, pour instaurer à sa place la religion des Droits de l ‘Homme, n’ont rien d’autre à se dire et sont même dans une totale adversité idéologique. Mais pour le moment, il s’agit pour eux d’aller dans le même sens.

Parlons d’abord de Davos et la haute finance : Pour établir le Nouvel Ordre Mondial, il faut mixer les populations, abattre les frontières et faire disparaître tout attachement à un terroir et a une culture. Créer la croissance à crédit, avec des arrivées en masse de pauvres venus principalement d’Afrique, qui devront booster la consommation. Quant aux natifs qui ne seront pas d’accord, il faudra les mettre au pas. Les CRS s’en chargeront.

Pour réaliser ce plan, gauchistes et islamistes, sont indispensables, car en tant qu’idiots utiles, ils soutiennent le capitalisme libéral et comme eux, veulent détruire le monde ancien pour les uns et le monde des « mécréants » pour les autres.

La classe ouvrière d’après-guerre n’existant plus, l’extrême gauche voit dans ce lumpenprolétariat immigré des nouvelles troupes de remplacement, car ils n’ont que du mépris pour les ouvriers français embourgeoisés qui ont souvent rejoint le RN.

Il s’agit donc, d’instrumentaliser ces nouveaux arrivés « les mains vides » pour renverser l’Ordre bourgeois. En espérant que ce qui n’a pas marché en 68 pourrait se réaliser en 2020.

Se sentant abandonnés par leurs anciens adhérents, les gauchistes et certains syndicats pourraient aller vers plus de radicalisation, en vue d’entrainer les musulmans radicaux, avec pour objectif de mener des actions conjointes, pour déboulonner un Pouvoir qui pourtant les favorise au mieux, afin de prendre sa place. On a vu récemment, des responsables syndicaux, comme Martinez de la CGT, défiler avec les pires extrémistes musulmans, le CCIF en particulier, à l’occasion de la manifestation contre « l’islamophobie ».

Le Pacte de Marrakech, organisé par le Système, donne de plus en plus de facilités aux « migrants » et immigrés déjà installés, pour s’introduire dans tous les secteurs de l’économie et de l’administration. Pour les islamo-gauchistes, ils seront le Cheval de Troie, et une armée militaire dormante pour une guerre en gestation. Sans compter les arrivées de soldats aguerris de Syrie et ceux que Belloubet libère de prison. En plus 150 quartiers qui échappent au contrôle de l’Etat, plus 750 zones urbaines « sensibles » (selon la DGSI).

Dans cette alliance contre-nature entre le Croissant et la Faucille et le marteau, il est à prévoir un jour prochain une guerre à mort, mais aujourd’hui, ils sont les meilleurs amis du monde pour notre malheur, mais pour le bonheur de la Finance apatride.

Et malgré les dangers présents et à venir, Castaner, ne trouve rien de mieux que de vouloir enlever tous les fusils de chasse des honnêtes citoyens, sans pour autant rechercher les 6000 armes de guerre, dissimulées dans des endroits où la police n’est pas la bienvenue. Privant les français de toute possibilité de défendre leur vie, si les choses s’aggravaient bientôt.

Le Mondialisme financier est d’autant plus difficile à vaincre qu’il est aidé par ceux qui devraient le combattre !

Onyx

Ces Maghrébines qui nous adorent

Hafsa-Askar

Elle s’appelle Hasfa Askar, ancienne vice présidente de l’UNEF à Lille et actuellement, à la tête de la FSE au niveau national.

A titre de remerciement pour les études payées par le con-tribuable « ex-coloninateur » quelques amabilités, de la part de cette petite vipère aspic:

  • « On devrait gazer tous les blancs, cette sous race »
  • « Je me fiche de N.D, car je me fiche de l’histoire de France »
  • « Tout ce que j’ai à dire aux blancs : arrêtez de vous reproduire »
  • « Pour la LICRA, je vous déteste autant que je déteste les blancs »
  • « Et surtout, n’hésitez pas à me faire un procès »

Alors la Licra, ne refusez pas de lui faire plaisir, ça vous changera des procès contre des patriotes !

Ce qui est curieux, c’est qu’en attaquant les blancs, elle s’attaque elle-même. Mais pour ce qui est de gazer tous les blancs, elle ferait mieux de mieux réfléchir. Peut-être aussi, elle ne connait pas l’histoire mondiale, à défaut de connaître celle de France.

Il faut quand même, que tu saches que les nazis considéraient tes frères nord-africains comme des « Untermenschens » (inférieurs), cet-à-dire des gens susceptibles d’être exterminés. Ce qui veut dire qu’à l’époque, tu aurais pris plus de risques que nous, de te retrouver à Birkenau les Bains (citée balnéaire). A moins d’avoir plus de chance et de terminer comme pute dans un bordel de l’armée allemande.

D’autre part, pour ce qui est « d’arrêter de nous reproduire » tu ferais bien de donner ce conseil à tes coreligionnaires qui commencent vraiment à nous encombrer, compte tenu de la surpopulation de la planète. D’autant plus, que depuis 1400 ans, ils n’ont rien inventé, même pas le papier hygiénique, dont tu te sers tous les jours.

Il en est une autre, dans ce même acabit qui n’arrête pas de cracher dans la soupe. Il s’agit, bien sûr de Houria Bouteldja (de l’Institut du monde Arabe) : « Demain, la société toute entière devra assumer le racisme anti-blanc et ce seront vos enfants qui subiront ça… même celui qui n’a rien à se reprocher, le plus paternaliste, le plus anti-raciste, devra assumer son histoire depuis 1830, il n’y aura plus de politique, il n’y aura plus que la haine ».

Comment ne pas prendre ces mots pour des menaces graves dirigées contre nous. Elle oublie seulement que les premiers à avoir colonisé l’Espagne pour pratiquer ensuite des razzias mortelles en France et la mise en esclavages de populations européennes à travers le piratage en méditerranée venaient du Maghreb. Alors mesdames et messieurs les soi-disant victimes de notre méchant colonialisme commencez par balayer devant votre porte.

Ces femmes, tout en étant musulmanes sont aussi des gauchistes, et c’est à travers l’extrême-gauche qu’elles ont pu se faire un nom. Taper sur le franchouillard est devenu une spécialité de l’islamo-gauchisme. Ces gauchards puants de l’UNEF partagent avec les islamistes et ce genre de femmes la même détestation qu’ils ont pour leurs semblables.

Un psychologue expliquerait peut-être que la haine de ces « ex-colonisés » provient de ce qu’ils ne sont pas ce qu’ils voudraient être. Qu’ils sont rongés par la jalousie de l’Occidental qui a mieux réussi qu’eux ; avec la volonté maintenant de vouloir l’écraser à défaut de pouvoir le dominer.

Les marques de haine contre le natif, le français de souche continuent sans rien, ni personne pour les arrêter.

L’autre jour, c’était encore un enfant de 12 ans, pris à partie par une douzaine de racailles noires est arabes. Coups de poings, coups de pieds et frappé à terre, à quelques pas d’un commissariat et d’un lycée à Etampes (Essonnes).

Les français n’en ont-ils pas assez de se faire cracher dessus, réagiront ils à force de d’encaisser des coups ?

« Le racisme, quand il est le fait d’un noir, ce n’est pas du racisme, c’est de la légitime défense » (Michel Onfray).

Onyx

États-Unis, Chine, Russie, Iran, Djihad: comment l’Asie centrale est devenue une poudrière

Trois #superpuissances à ses frontières, six pays aux steppes gorgées de ressources énergétiques et minières, un #islam salafiste grandissant, l’Asie centrale est un point de friction majeur. Ancien #diplomate au cœur de cette région explosive, connu pour son franc-parler, l’ex-colonel René Cagnat livre à Sputnik son analyse sans concession.

Laissez les gens s’exprimer

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« S’il n’y a d’alternative que dans la soumission ou la guerre, alors la guerre cent fois ».

Cette phrase vaut à Renaud Camus, un écrivain souverainiste, qui s’oppose avec vigueur à l’islamisation de la France, les foudres de la nouvelle Justice très orientée.

Même pas le droit de dire des évidences, ni d’avoir peur ! Pour la présidente du Tribunal, c’est un appel aux armes. Pour l’accusé c’est un appel politique. Sans doute, cette femme ignore que les islamistes nous ont déclaré la guerre et que, par conséquent, ils nous donnent le choix qu’entre la soumission des lâches ou se défendre. Ce qui s’appelle la guerre, comme le précise Renaud Camus.

J’ai vu la haine dit-il, de ceux qui me reprochaient à tort d’incarner la haine. Pendant ce temps, Belloubet libère le terroriste Mohamed Achamlane (appelé l’Emir Nantais), qui est le fondateur de Forzane Alizza, un groupe de combat fanatisé crée en 2010 pour instaurer la charia en France. Son but, est dirigé vers des actions dures, autrement dit, des attentats.

Comme d’habitude, une certaine gauche politiquement correcte, banalise ces accusations de terrorisme, contre toute évidence. La destruction de notre société démocratique doit être menée dans le silence des pantoufles et il faut faire taire les empêcheurs dormir tranquille.

Il y a aussi, le cas de celui qui se fait appeler « Nick Conrad » ; une richesse importée d’Afrique qui a étalé toute sa nullité et sa détestation du monde que nous représentons à travers des paroles vachardes et incohérentes : « Tuez les bébés blancs, pendez les blancs etc… »

Pour nos « juges et magistrats » si prompts à embastiller les dissidents, ces paroles ne sont certainement pas du racisme, puisque, c’est bien connu, les seuls racistes sont ces vilains franchouillards qui n’aiment pas les charmes du Rapp. C’est de la poésie qu’on vous dit !

Tous les jours, les tribunaux français, jugent non en fonction de la gravité des faits, mais sur des critères politiques. On pourrait citer des multitudes de cas. En ce moment c’est Eric Zemmour qui est invité à s’expliquer sur des mots qu’il est interdit de dire. Avant lui c’était Pierre Cassen de Riposte Laïque, et sa compagne Christine Tassin, puis de Nadine Morano, des Identitaires, et d’autres que j’oublie.

Dès que vous prenez position contre l’islamisme, on vous colle une étiquette, comme une marque infamante qui vous tombe dessus « raciste, fasciste, extrême droite… » disait Patrick Jardin, qui perdu sa fille dans l’horrible attentat du Bataclan.

Pourtant si les populistes n’ont tué personne, on compte des centaines de victimes au crédit de nos « invités » aux moeurs violentes, et qui maintenant reviennent de Syrie.

Nos tribunaux, payés pour juger en leur âme et conscience restent sur des critères préférentiels. Dans ces conditions, la liberté d’expression ne peut être respectée. Ce qui va à l’encontre des principes républicains, comme le rappelle le Haut Conseil à l’Intégration. « La critique de la religion, comme toutes les convictions, est libre, elle est constitutionnellement garantie et fait partie de la liberté d’opinion et d’expression ».

Peut-être, est-ce la peur d’une guerre ethnique, sur fond religieux qu’ils veulent éviter par tous les moyens, même au prix de l’injustice la plus flagrante, ou est-ce une idéologie islamo-gauchiste qui les motive ?

Dans un cas comme dans l’autre, c’est le plus sûr moyen pour pousser nos compatriotes à donner raison à tous les Renaud Camus de France et de Navarre.

« Celui qui recherche la paix à tout prix, n’aura que la guerre » (Averroès)

Onyx

Retraites par points

Retraite

A titre d’exemple, en Suède avec 4 baisses de la valeur du point en 20 ans, il va falloir aux Suédois travailler jusqu’à 69 ans. Dans le système par répartition, l’inflation n’est que très peu ou pas du tout prise en compte. De plus, dans ce système à points, c’est l’injustice qui prime, car les très hauts salaires qui cotisent à plus de 320 000 € ne cotiseront qu’au niveau de 120 000 €. Ce qui sera un manque de 5 milliards d’euros au détriment de la solidarité.

Par contre, les Banques et les Société d’assurances en sortent gagnantes sur toute la ligne, pour créer des fonds de pension. Pour les cotisants les plus bas, ce sera, soit travailler plus longtemps, soit se satisfaire d’une retraite insuffisante. Macron veut reprendre le contrôle de 350 milliards d’euros que représente le financement de l’ensemble des retraites. Le système à points lui permettrait de jouer sur la valeur du point en fonction des finances de l’Etat. Finances qui se dégradent régulièrement sans qu’on puisse apercevoir le bout du tunnel. Les délocalisations, les ventes de nos industries de pointe à l’étranger et l’immigration qui « coûte un pognon de dingue » ne sont pas faites pour en renflouer les caisses.

Il se peut qu’à la fin, ce soit le Parlement qui tranche pour mettre un point final à toutes les grèves et perturbations pour le plus grand bonheur du Gouvernement et des financiers en créant un régime de retraite par capitalisation. Les classes moyennes, dans ce plan Macron, n’ont rien à gagner mais surtout voir diminuer leur pouvoir d’achat. Les mondialistes partisans de l’argent roi, rêvent d’un nivellement par le bas. Les riches continuant à être toujours plus riches et les classes populaires devront travailler plus longtemps pour en arriver, comme on le voit aux Etats Unis et même en Allemagne, à mettre des prospectus dans les boites aux lettres, à récupérer des bouteilles vides pour vendre le verre, ou à trouver un petit emploi à temps partiel s’ils en trouvent. Plus que jamais les mots prémonitoires du Président que le monde entier nous envie, se vérifieront « Il y a ceux qui ont réussi et ceux qui ne sont rien ».

Quant au relèvement de la retraite des agriculteurs, on ne peut que s’en féliciter. Mais derrière il y a une petite combine coutumière de ce Gouvernement. A ce sujet une proposition de loi avait été adoptée à l’unanimité de l’Assemblée Nationale le 2 Février 2017 afin de porter le minimum des pensions de retraites agricoles de 75 % à 85 % du SMIC soit 1 000 € mensuel à compter du 1er Février 2018. Ce blocage gouvernemental a eu pour effet de donner maintenant l’impression généreuse de lâcher du lest.

Et puis rassurez vous Braves Gens, il reste encore une possibilité de maintenir le niveau des retraites. Delevoye a vendu la mèche récemment : Faire rentrer des millions de «migrants» qui viennent pour se faire entretenir et pas pour travailler, car ils ne savent du moins pour la majeure parti, rien faire, afin de payer vos retraites et celles de vos enfants.

C’est pas génial ça ?

Jacques LAURET

France Inter, la voix de son maître

voix-de-son-maitre

Cette radio, de gauchisée qu’elle était, st à présent tout à fait gauchiste, en même temps que le reflet du Pouvoir. Dans ses studios sévissait il y a seulement quelques années, le journaliste Daniel Mermet, avec son émission « Là-bas si j’y suis » un tiers- mondiste qui pendant plus d’une vingtaine d’années a fait passer son message dans des émissions bien tournées, qui se voulaient objectives, alors qu’il n’était question que de propagande d’extrême gauche sur l’Islam, la colonisation, les immigrés ou la France était présentée comme la coupable de toute la misère de l’Afrique.

D’ailleurs, France-Inter n’est pas toute seule pour diffuser la parole du camp du « Bien ». Bien que dans une moindre mesure, les autres sont aussi a son service.

Par contre, comme la christianophobie continue sur France Inter, l’AGRIF qui s’en est ému déclare que Laurence Bloch, la présidente, a adressé des excuses, mais pas à ceux qui se sentent insultés par la petite chansonette de Fromet. Elle fait des excuses à la communauté LGBT, par la voix plutôt débile de son « fantaisiste » : « La radio s’excuse auprés des pédés, des gouines et tous les trucs, mais les chrétiens peuvent toujours aller se faire enc… » Autrement dit, c’est bis-répétita et la même insulte est confirmée par la présidente Laurence Bloch.

Mais on se demande comment cette radio peut être si viscéralement ant-catho alors que l’Eglise actuelle, ouvre grand les bras aux milieux LGBT et à tous les libertaires du monde?

France-Inter, qui est financé à hauteur de 80% par la contribution à l’audio-visuel, emploie des saltimbanques, qui passent leur temps d’antenne à se moquer d’une bonne partie de ses auditeurs. Ce qui prouve bien que ces « amuseurs » sont payés pour dégueuler toute leur aversion sur ceux qui les font vivre.

Il est évident, que si les cathos, rendaient de temps en temps, les coups qu’ils reçoivent, de la part des lâches qui les provoquent, ils se feraient plus facilement respecter, et l’Eglise perdrait son image de religion de la faiblesse.

A propos des humoristes islamo-gauchistes, sur France-Inter, Zemmour dit : « Ce ne sont pas des comiques, ce sont des commissaires politiques qui sont là pour se moquer des dissidents. C’est une machine idéologique de propagande, où l’humour est devenu une arme de guerre ».

En fait, les Ruquier, Moix et Cie ont un pouvoir de nuisance énorme car ils disposent d’une écoute sur des gens qui n’ont pas toujours l’esprit critique, et à force de répéter à longueur de jour et d’années les mêmes slogans ils arrivent à marquer l’opinion.

Onyx

Quand Arte apporte sa pierre à l’escroquerie historique de la « légende noire » de la colonisation

Lugan

Quand Arte apporte sa pierre à l’escroquerie historique de la « légende noire » de la colonisation

La chaîne Arte vient de se surpasser dans le commerce de l’insupportable escroquerie historique qu’est la « légende noire » de la colonisation. Or, le bilan colonial ne pourra jamais être fait avec des invectives, des raccourcis, des manipulations et des mensonges.

Regardons la réalité bien en face : la colonisation ne fut qu’une brève parenthèse dans la longue histoire de l’Afrique. Jusque dans les années 1880, et cela à l’exception de l’Algérie, du Cap de Bonne Espérance et de quelques comptoirs littoraux, les Européens s’étaient en effet tenus à l’écart du continent africain. Le mouvement des indépendances ayant débuté durant la décennie 1950, le XXe siècle a donc connu à la fois la colonisation et la décolonisation.
Quel bilan honnête est-il possible de faire de cette brève période qui ne fut qu’un éclair dans la longue histoire de l’Afrique ? Mes arguments sont connus car je les expose depuis plusieurs décennies dans mes livres, notamment dans Osons dire la vérité à l’Afrique. J’en résume une partie dans ce communiqué.

1) Les aspects positifs de la colonisation pour les Africains

La colonisation apporta la paix

Durant un demi-siècle, les Africains apprirent à ne plus avoir peur du village voisin ou des razzias esclavagistes. Pour les peuples dominés ou menacés, ce fut une véritable libération.
Dans toute l’Afrique australe, les peuples furent libérés de l’expansionnisme des Zulu, dans tout le Sahel, les sédentaires furent libérés de la tenaille prédatrice Touareg-Peul, dans la région tchadienne, les sédentaires furent débarrassés des razzias arabo-musulmanes, dans l’immense Nigeria, la prédation nordiste ne s’exerça plus aux dépens des Ibo et des Yoruba, cependant que dans l’actuelle Centrafrique, les raids à esclaves venus du Soudan cessèrent etc.
A l’évidence, et à moins d’être d’une totale mauvaise foi, les malheureuses populations de ces régions furent clairement plus en sécurité à l’époque coloniale qu’aujourd’hui…

La colonisation n’a pas pillé l’Afrique

Durant ses quelques décennies d’existence la colonisation n’a pas pillé l’Afrique. La France s’y est même épuisée en y construisant 50.000 km de routes bitumées, 215.000 km de pistes toutes saisons, 18.000 km de voies ferrées, 63 ports équipés, 196 aérodromes, 2000 dispensaires équipés, 600 maternités, 220 hôpitaux dans lesquels les soins et les médicaments étaient gratuits. En 1960, 3,8 millions d’enfants étaient scolarisés et dans la seule Afrique noire, 16.000 écoles primaires et 350 écoles secondaires collèges ou lycées fonctionnaient. En 1960 toujours 28.000 enseignants français, soit le huitième de tout le corps enseignant français exerçaient sur le continent africain.

Pour la seule décennie 1946 à 1956, la France a, en dépenses d’infrastructures, dépensé dans son Empire, donc en pure perte pour elle, 1400 milliards de l’époque. Cette somme considérable n’aurait-elle pas été plus utile si elle avait été investie en métropole ? En 1956, l’éditorialiste Raymond Cartier avait d’ailleurs écrit à ce sujet :

« La Hollande a perdu ses Indes orientales dans les pires conditions et il a suffi de quelques années pour qu’elle connaisse plus d’activité et de bien-être qu’autrefois. Elle ne serait peut-être pas dans la même situation si, au lieu d’assécher son Zuyderzee et de moderniser ses usines, elle avait dû construire des chemins de fer à Java, couvrir Sumatra de barrages, subventionner les clous de girofle des Moluques et payer des allocations familiales aux polygames de Bornéo. »

Et Raymond Cartier de se demander s’il n’aurait pas mieux valu « construire à Nevers l’hôpital de Lomé et à Tarbes le lycée de Bobo-Dioulasso ».

Jacques Marseille[1] a quant à lui définitivement démontré quant à lui que l’Empire fut une ruine pour la France. L’Etat français dût en effet se substituer au capitalisme qui s’en était détourné et s’épuisa à y construire ponts, routes, ports, écoles, hôpitaux et à y subventionner des cultures dont les productions lui étaient vendues en moyenne 25% au-dessus des cours mondiaux. Ainsi, entre 1954 et 1956, sur un total de 360 milliards de ff d’importations coloniales, le surcoût pour la France fut de plus de 50 milliards.
Plus encore, à l’exception des phosphates du Maroc, des charbonnages du Tonkin et de quelques productions sectorielles, l’Empire ne fournissait rien de rare à la France. C’est ainsi qu’en 1958, 22% de toutes les importations coloniales françaises étaient constituées par le vin algérien qui était d’ailleurs payé 35 ff le litre alors qu’à qualité égale le vin espagnol ou portugais était à19 ff.
Quant au seul soutien des cours des productions coloniales, il coûta à la France 60 milliards par an de 1956 à 1960.

Durant la période coloniale, les Africains vivaient en paix

Dans la décennie 1950, à la veille des indépendances, à l’exception de quelques foyers localisés (Madagascar, Mau-Mau, Cameroun) l’Afrique sud-saharienne était un havre de paix.
Le monde en perdition était alors l’Asie qui paraissait condamnée par de terrifiantes famines et de sanglants conflits : guerre civile chinoise, guerres de Corée, guerres d’Indochine et guerres indo-pakistanaises.
En comparaison, durant la décennie 1950-1960, les habitants de l’Afrique mangeaient à leur faim, étaient gratuitement soignés et pouvaient se déplacer le long de routes ou de pistes entretenues sans risquer de se faire attaquer et rançonner.

Soixante-dix ans plus tard, le contraste est saisissant: du nord au sud et de l’est à l’ouest, le continent africain est meurtri :

– Dans le cône austral, ce qui fut la puissante Afrique du Sud sombre lentement dans un chaos social duquel émergent encore quelques secteurs ultra-performants cependant que la criminalité réduit peu à peu à néant la fiction du « vivre ensemble ».
– De l’atlantique à l’océan indien, toute la bande sahélienne est enflammée par un mouvement à la fois fondamentaliste et mafieux dont les ancrages se situent au Mali, dans le nord du Nigeria et en Somalie.
– Plus au sud, la Centrafrique a explosé cependant que l’immense RDC voit ses provinces orientales mises en coupe réglée par les supplétifs de Kigali ou de Kampala.

Si nous évacuons les clichés véhiculés par les butors de la sous-culture journalistique, la réalité est que l’Afrique n’a fait que renouer avec sa longue durée historique précoloniale. En effet, au XIX° siècle, avant la colonisation, le continent était déjà confronté à des guerres d’extermination à l’est, au sud, au centre, à l’ouest. Et, redisons-le en dépit des anathèmes, ce fut la colonisation qui y mit un terme.

Aujourd’hui, humainement, le désastre est total avec des dizaines de milliers de boat people qui se livrent au bon vouloir de gangs qui les lancent dans de mortelles traversées en direction de la « terre promise » européenne. Les crises alimentaires sont permanentes, les infrastructures de santé ont disparu comme l’a montré la tragédie d’Ebola en Afrique de l’Ouest ou la flambée de peste à Madagascar, l’insécurité est généralisée et la pauvreté atteint des niveaux sidérants.

Economiquement, et à l’exception d’enclaves dévolues à l’exportation de ressources minières confiées à des sociétés transnationales sans lien avec l’économie locale, l’Afrique est aujourd’hui largement en dehors du commerce, donc de l’économie mondiale, à telle enseigne que sur 52 pays africains, 40 ne vivent aujourd’hui que de la charité internationale

2) Les conséquences négatives de la colonisation

La colonisation a déstabilisé les équilibres démographiques africains

La colonisation a mis un terme aux famines et aux grandes endémies. Résultat du dévouement de la médecine coloniale, la population africaine a été multipliée par 8, une catastrophe dont l’Afrique aura du mal à se relever.
En effet, le continent africain qui était un monde de basses pressions démographiques n’a pas su « digérer » la nouveauté historique qu’est la surpopulation avec toutes ses conséquences : destruction du milieu donc changements climatiques, accentuation des oppositions entre pasteurs et sédentaires, exode rural et développement de villes aussi artificielles que tentaculaires, etc.

La colonisation a donné le pouvoir aux vaincus de l’histoire africaine

En sauvant les dominés et en abaissant les dominants, la colonisation a bouleversé les rapports ethno-politiques africains. Pour établir la paix, il lui a en effet fallu casser les résistances des peuples moteurs ou acteurs de l’histoire africaine.
Ce faisant, la colonisation s’est essentiellement faite au profit des vaincus de la « longue durée » africaine venus aux colonisateurs, trop heureux d’échapper à leurs maîtres noirs. Ils furent soignés, nourris, éduqués et évangélisés. Mais, pour les sauver, la colonisation bouleversa les équilibres séculaires africains car il lui fallut casser des empires et des royaumes qui étaient peut-être des « Prusse potentielles ».

La décolonisation s’est faite trop vite

Ne craignons pas de le dire, la décolonisation qui fut imposée par le tandem Etats-Unis-Union Soviétique, s’est faite dans la précipitation et alors que les puissances coloniales n’avaient pas achevé leur entreprise de « modernisation ».
Résultat, des Etats artificiels et sans tradition politique ont été offerts à des « nomenklatura » prédatrices qui ont détourné avec régularité tant les ressources nationales que les aides internationale. Appuyées sur l’ethno-mathématique électorale qui donne automatiquement le pouvoir aux peuples dont les femmes ont eu les ventres les plus féconds, elles ont succédé aux colonisateurs, mais sans le philanthropisme de ces derniers…

Les vraies victimes de la colonisation sont les Européens

Les anciens colonisateurs n’en finissent plus de devenir « la colonie de leurs colonies » comme le disait si justement Edouard Herriot. L’Europe qui a eu une remarquable stabilité ethnique depuis plus de 20.000 ans est en effet actuellement confrontée à une exceptionnelle migration qui y a déjà changé la nature de tous les problèmes politiques, sociaux et religieux qui s’y posaient traditionnellement.

Or, l’actuelle politique de repeuplement de l’Europe est justifiée par ses concepteurs sur le mythe historique de la culpabilité coloniale. A cet égard, la chaîne Arte vient donc d’apporter sa pierre à cette gigantesque entreprise de destruction des racines ethniques de l’Europe qui porte en elle des événements qui seront telluriques.

Bernard Lugan

[1] Jacques Marseille, Empire colonial et capitalisme français, histoire d’un divorce. Paris, 1984. Dans ce livre Marseille évalue le vrai coût de l’Empire pour la France.

Quand la lâcheté est à l’honneur sur France-Inter

Fromet

Radio Paris ment, Radio Paris est décadent Radio Paris est musulman. Cette radio d’Etat, produit assez régulièrement des déjections malodorantes. Dernièrement, c’était un certain Frédéric Fromet, sans doute, un nouvel arrivé dans le cloaque de la nouvelle « chanson » du show-bis parisien qui étalait sans vergogne sa bassesse sur les ondes de France Inter.

Cet « artiste engagé », lequel pour se faire remarquer est obligé de se prostituer, du moins épistolairement, réagissait dit’on, à l’interdiction du film: « La première tentation du Christ », interdit au Brésil. Et pour satisfaire sa déception, on peut dire qu’il a beaucoup fait travailler les quelques neurones de son cerveau reptilien. C’est bien connu, le manque de talent se compense chez les nuls par de la vulgarité.

Je cite: « Jésus est pédé, du haut de la Croix, pourquoi l’avoir cloué, pourquoi l’avoir enc… »
Quelle belle oeuvre artistique n’est ce pas ? Mais dans sa petite tête, il devrait pourtant se dire qu’il n’insulte pas seulement les cathos, mais aussi tous les français qui respectent le Christ. C’est aussi un crachat verbal sur les valeurs occidentales, dans un pays laïque, mais foncièrement ancré dans des racines chrétiennes.

Car c’est un peu trop facile de toujours s’en prendre au christianisme; comme si cela ne suffisait avec toutes les églises vandalisées tous les jours, sans compter N.D de Paris, dont le motif accidentel reste sujet à caution.

Pour André Bercoff sur Sud Radio: « Oui à la liberté d’expression, non à la provocation, quand elle ne manifeste qu’une grande lâcheté ». Aurait-il eu le courage, ce minable, de traiter Mahomet de pédé et pire encore ? Alors que pour une simple caricature, une équipe de dessinateurs a été mittraillée. Mais comme il n’y a aucun risque à attaquer le christianisme pourquoi s’en priver.

Jean Messiha du RN dit: « France Inter n’aurait jamais diffusé une chanson disant Moïse est un pédé, et Mahomed est pédé. Dans le premier cas, il aurait eu toute la communauté juive sur le dos, dans le deuxième cas c’était un couteau dans le dos ».

J’espère que les évêques, qui restent trop souvent passifs quand leur religion est prise pour cible réagiront cette fois, en portant plainte au Tribunal. Ne rien faire serait encourager les mêmes profanateurs à recommencer.

Mais à la place du « Troubadour » injurieux, je ne serai pas tranquille, car il existe des chrétiens, qui n’ont pas pour habitude de tendre l’autre joue pour reçevoir une giffle, à en juger par certains commentaires comme celui-ci : « Je rêve que cette petite chanson soit suivie d’une rafale de AK-47 « .

« Le déclin du courage, c’est le début du déclin » (Soljenitsyne)

Onyx