La croisade des enfants en 1212

Au XIIIe siècle, deux cortèges d’enfants seraient partis de France et d’Allemagne pour libérer Jérusalem… En creusant les récits de chroniqueurs et d’autres sources d’époque, médiévistes, archéologues et scientifiques retracent cet incroyable pèlerinage, et démêlent le vrai du faux.

Cet événement se serait produit il y a huit siècles, entre la quatrième et la cinquième croisade. En 1212, à Cologne, plusieurs milliers d’enfants auraient laissé derrière eux leurs familles pour se lancer sur le chemin de Jérusalem à l’appel prophétique d’un petit berger, afin de libérer la ville sainte du joug musulman. Ce cortège, parti d’Allemagne sans armes ni nourriture, devait traverser les Alpes pour rejoindre les côtes méditerranéennes, où la mer allait s’ouvrir devant les croisés pour leur permettre de se rendre à pied jusqu’à Jérusalem… Un second cortège serait parti de France, mené par un autre enfant-prophète. Cette mythique « croisade des enfants », dont le récit est ponctué de péripéties relevant du merveilleux, a-t-elle vraiment eu lieu ?

Ce second volet exhume des indices de leur passage dans plusieurs églises et cimetières d’Europe, et jusque dans les archives du Vatican.

Si la croisade des enfants a bien existé, ce pèlerinage populaire parti de France et d’Allemagne reste nimbé de mystère. Les croisés étaient-ils des enfants ou de jeunes adultes, des gens du peuple ou même des pieux mendiants, à l’image de saint François d’Assise, contemporain de l’événement ? Les deux cortèges sont-ils arrivés jusqu’aux portes de Jérusalem ? Quelle était la position du pape Innocent III, grand pourfendeur d’hérésies, sur cet étrange mouvement et sur les deux enfants-prophètes qui en étaient à l’origine ?

La gauche pédocriminelle ou les ogres du camp du bien !

Dans un hors-série du quotidien Présent, Francis Bergeron et son équipe se jettent dans les égouts du Tout-Paris pédophile. Avec cette enquête qui suscite l’effroi et l’écœurement, les journalistes de la presse libre partent de l’affaire Duhamel pour remonter le fil des protagonistes, des réseaux politiques, médiatiques et financiers de soutien à la pédophilie qui agissent depuis des décennies en France, longtemps en toute impunité. Entretien choc au cœur de la fabrique des porcs et des ogres du « camp du bien ».

Abus de Pouvoir

Quand il n’y a plus que les Identitaires pour vouloir faire respecter les lois sur l’immigration en France, c’est que la situation est très grave.

Mais cette fois, Darmanin est allé trop loin. Que peut-on attendre d’autre, de ces hommes politiques qui semblent ne pas avoir plus de convictions morales et politiques que celles de parvenus. Des transfuges d’un parti qui se réclame de droite, pour rejoindre des « progressistes » de gauche, prêts comme eux, à trahir le pays pour conserver le pouvoir et les avantages qui vont avec.

L’art de manger à tous les râteliers !

Un Darmanin qui déposait des fleurs à Alger, sur un monument à la gloire des combattants du FLN, massacreurs de nos compatriotes.

Cette dissolution de Génération Identitaire, fait heureusement plus de vagues sur le rivage que prévu. Elle ne trouve pas dans l’opinion un écho défavorable, mais entraine au contraire, des oppositions contre cette interdiction.

« Nous ne nous laisserons pas faire » déclare vaillamment la porte-parole de cette Association ! Trop c’est trop, et les 3/4 des français ne veulent plus d’immigration ».

Il faut quand même rappeler à ce Gouvernement que si son intention était de protéger nos frontières, comme en la circonstance, celle du Col du Portillon, l’action de ces jeunes garçons et filles, n’aurait pas été nécessaire pour démontrer son inefficacité, sinon sa complaisance.

A l’heure actuelle, on se rend de plus en plus compte, que le simple fait de critiquer ou de s’opposer aux entrées d’illégaux sur notre territoire, devient un délit qui peut mener devant les tribunaux.

Ce qui aurait été approuvé et encouragé auparavant devient justiciable.

Les clandestins, qui forcent les portes de l’Europe sont-ils des invités ou des indésirables ? En réalité, ils restent des délinquants devant la loi. Et à ce titre, ne devraient bénéficier d’aucune faveur.

Contrairement aux milices antifas, Black-Blocks et autres gauchistes, de formation para militaire, qui vandalisent et agressent, avec la complicité passive de nos gouvernants, les Identitaires sont pacifiques et n’ont jamais frappé ou blessé quelqu’un.

D’ailleurs, il serait intéressant de savoir qui finance ces organisations violentes que le Gouvernement n’a jamais eu envie de dissoudre. Et pour cause: parce qu’elles lui sont très utiles.

Si l’on en croit Dupont-Moretti, (que certains appellent le « Yéti »); « les GI sont des gens qui n’ont pas une envie folle du vivre ensemble. La dissolution d’associations séparatistes est une bonne chose ».

Mais où se trouve-t-il le « Vivre ensemble » Moretti ? Il n’a jamais existé, sauf dans son imagination d’avocat embourgeoisé. C’est bien parce qu’il est forcé qu’il crée des résistances. On peut le déplorer, mais c’est ainsi.

Pour que les gens aient envie de vivre ensemble, l’assimilation est une nécessité. D’assimilation, les étrangers de civilisation extra-européenne n’en veulent pas.

Pour ce ministricule, l’ennemi n’est pas Daesh, mais les populistes et ceux comme GI, qui veulent défendre nos frontières.

Mais d’autres, comme l’avocat G.W Goldnadel ont heureusement une autre conception de la réalité.

« Si l’on dissout GI, ce mouvement patriote, on dissout le peuple. Les identitaires sont la majorité dans le pays ».

Ou bien Zemmour. « Si GI est condamnée pour avoir défendu nos frontières, pourquoi alors ne pas condamner les associations d’anciens combattants de 14-18, ou 39-40, dont la mission était de les protéger ».

On apprend aussi une nouvelle qui pourrait passer pour une plaisanterie de mauvais goût: Le Parquet de Saint Gaudens, en Haute Garonne aurait saisi l’Office central de lutte contre les crimes de l’humanité, à l’encontre de GI. Cela dans le cadre de l’enquête anti-immigration menée le 19 janvier au Col du Portillon.

Ce haut fonctionnaire au nom imprononçable qui est responsable de cette véritable forfaiture et même, allons plus loin, de trahison de la cause patriote est, ce que, en son temps, Jacques Chirac aurait pu dire de lui: Quand les salauds voleront, il sera chef d’escadrille.

Comme disait l’ex-champion marathonien de haut niveau Alain Mimoun (d’origine algérienne) : « Certaines personnes ne méritent pas d’être français ».

Onyx

Islamogauchisme, la trahison du rêve européen

Il semblerait que certains se réveillent enfin …

Pourquoi et comment une poignée d’intellectuels et de politiques de gauche et d’extrême gauche, peu nombreux mais très influents dans les médias et dans la mouvance des droits de l’homme, ont-ils imposé une véritable sanctuarisation de l’islam dans l’espace politique français au point d’en devenir complaisant avec l’islamisme au nom du #PasDAmalgame? Pourquoi ces intellectuels et ces politiques, pour la plupart agnostiques et libertaires ont ils sombré dans l’#IslamoGauchisme avec son idéologie victimaire et sa culture de l’excuse ? Dans son documentaire choc, Yves Azéroual identifie les racines du mal, pointe les agissements troubles de personnalités politiques, médiatiques, associatives et intellectuelles, les complicités idéologiques, et, in fine, met en exergue les risques, pour notre démocratie européenne, de voir l’islam politique et radical s’imposer au détriment de l’Islam des Lumières. Dans un face à face inquiétant avec l’extrême droite.

La «woke culture» américaine déchire-t-elle le tissu social français ?

La «woke culture», très prégnante dans les universités américaines, s’implante en France, au point qu’Emmanuel Macron s’en serait inquiété. Ces théories sur le genre, la race… sont-elles une menace pour le modèle français? Analyse pour le Désordre mondial de Jean Messiha, ancien responsable politique, et Éric Verhaeghe, essayiste et journaliste.

L’ingénierie sociale qui façonne la société américaine en faveur d’un politiquement correct militant et intolérant, la culture soi-disant «woke», –«éveillée»– est-elle une menace pour la France? Les théories adoptées par la gauche sur les campus universitaires aux États-Unis et promues de manière agressive sont-elles également un problème pour la République française?

Un article du New York Times, qui a attiré l’attention du public américain il y a quelques jours, revient sur ce danger, soulignant que de nombreux responsables français craindraient que les théories américaines sur la race, le genre ou les études postcoloniales n’alimentent le séparatisme et ne déchirent le tissu social français. L’article revient notamment sur le discours d’Emmanuel Macron sur la «lutte contre les séparatismes», qu’il a prononcé en octobre dernier.

Le Président y déclarait notamment:

«Nous avons laissé le débat intellectuel à d’autres, à ceux qui sont hors de la République en l’idéologisant, mais parfois à d’autres traditions universitaires. Je pense à la tradition anglo-saxonne qui a une autre histoire et qui n’est pas la nôtre. Et quand je vois aujourd’hui certaines théories en sciences sociales totalement importées des États-Unis d’Amérique avec leurs problèmes, que je respecte et qui existent, mais qui viennent s’ajouter aux nôtres, je me dis que nous sommes déraisonnables à ne pas faire ce choix.»

Macron a-t-il raison à propos des universités américaines et de leur impact sur la société française? Et si oui, quelle est la véritable source du problème?

Quand «d’autres identités fleurissent sur le cadavre fumant de l’identité nationale»

Quand on demande à Éric Verhaeghe, énarque, haut fonctionnaire, essayiste et journaliste économique, si la «woke culture» américaine pourrait avoir un impact en France, il souligne que la question est anachronique:

«Je pense que c’est déjà le cas, puisqu’il suffit d’ouvrir son poste de télévision pour voir des indigénistes, racialistes, nous expliquer qu’on doit déboulonner les neuf dixièmes des statues qu’il y a dans nos rues parce que nous serions coupables des pires choses.»

Jean Messiha, également énarque et haut fonctionnaire, président du cercle de réflexion «Institut Apollon», replace le débat dans son contexte:

«Je crois que depuis une quarantaine d’années maintenant, le monde a été gouverné par une idéologie qui place l’économie au-dessus de la politique et qui place l’agent économique au-dessus du citoyen. Et dans ce monde, le paradoxe, c’est que la notion d’identité nationale, et notamment en France, a été battue en brèche par des élites au nom de l’universalisme français. Et en même temps, on a une exacerbation d’autres identités qui fleurissent sur le cadavre fumant de l’identité nationale.»

D’après l’ancien délégué national pour les études et argumentaires au Rassemblement national, la domination de la gauche sur l’université et sa fascination pour les phénomènes totalitaires n’est pas nouveau:

«Il y a toujours eu dans les universités américaines et aussi à l’université française des extrêmes. Surtout l’extrême gauche. On se rappelle qu’il fut un temps par exemple où le maoïsme et ses millions de morts étaient très bien portés, où la révolution castriste, malgré ses crimes, était super cool et où l’on regardait avec beaucoup d’intérêt la création de l’homme nouveau par les Khmers Rouges au Cambodge, qui consistait à envoyer travailler dans les rizières, sur les routes, tout ce qui était vaguement urbain ou appartenant à la classe moyenne et à les faire crever par centaines de milliers.»

Éric Verhaeghe souligne pour sa part les différences entre les sociétés américaine et française et pourquoi l’importation des idées qui ont cours aux États-Unis est problématique sur le Vieux continent:

«Les idées américaines partent du principe que des gens, quelle que soit leur communauté, ont les mêmes droits et ce qui pose problème dans la « woke culture », c’est cette espèce de relativisme qui consiste à dire « je ne crois pas, je ne pense pas les mêmes choses que toi, mais j’ai autant de droits que toi. » Aux États-Unis, on peut comprendre que personne ne puisse revendiquer une ancienneté sur cette terre. En Europe, ce n’est pas la même chose.»

Aux origines de l’Afrique

Seulement explorée dans sa totalité depuis le XIXe siècle, l ‘Afrique semble un jeune continent, le premier habité par l’Homme, il y a 2 millions d’années… Pourtant, il est né pendant la prime enfance de la Terre. Après avoir subi un violent cataclysme d’origine cosmique, l’Afrique s’est trouvée prise en étau au milieu des autres continents…

L’Afrique est pourtant le premier continent habité par l’homme depuis deux millions d’années… Après avoir subi un violent cataclysme d’origine cosmique, ce vaste territoire s’est trouvé pris en étau au milieu des autres continents. Puis, bousculé par ses voisins pendant des millions d’années, il s’est enfin émancipé pour voir sa croûte terrestre se déchirer.

Le mouvement Génération identitaire doit-il disparaître ? Thaïs d’Escufon face à Louis-Georges Tin

Gérald Darmanin a notifié ce samedi 13 février au mouvement Génération identitaire sa future dissolution. Le groupe d’extrême droite doit désormais répondre au ministère de l’Intérieur. Pour protester contre cette menace de disparition, le mouvement organise une manifestation le samedi 20 février à Paris. Pour en débattre, Sputnik reçoit Thaïs d’Escufon, porte-parole de Génération identitaire, et Louis-Georges Tin, militant antiraciste et ancien président du Conseil représentatif des associations noires de France (CRAN).

L’étrange défaite qui se profile à l’horizon 2022 ! Florian Philippot – Charles Gave

Florian Philippot et Charles Gave analysent l’incapacité du « camp patriotique » de s’unir pour remporter l’élection présidentielle. L’obsession présidentielle des futurs candidats conduira à un échec politique. Les atteintes aux libertés sous la crise sanitaire…; le massacre de l’économie française mais où sont les voix de l’opposition ?