Quand il n’y a plus que les Identitaires pour vouloir faire respecter les lois sur l’immigration en France, c’est que la situation est très grave.
Mais cette fois, Darmanin est allé trop loin. Que peut-on attendre d’autre, de ces hommes politiques qui semblent ne pas avoir plus de convictions morales et politiques que celles de parvenus. Des transfuges d’un parti qui se réclame de droite, pour rejoindre des « progressistes » de gauche, prêts comme eux, à trahir le pays pour conserver le pouvoir et les avantages qui vont avec.
L’art de manger à tous les râteliers !
Un Darmanin qui déposait des fleurs à Alger, sur un monument à la gloire des combattants du FLN, massacreurs de nos compatriotes.
Cette dissolution de Génération Identitaire, fait heureusement plus de vagues sur le rivage que prévu. Elle ne trouve pas dans l’opinion un écho défavorable, mais entraine au contraire, des oppositions contre cette interdiction.
« Nous ne nous laisserons pas faire » déclare vaillamment la porte-parole de cette Association ! Trop c’est trop, et les 3/4 des français ne veulent plus d’immigration ».
Il faut quand même rappeler à ce Gouvernement que si son intention était de protéger nos frontières, comme en la circonstance, celle du Col du Portillon, l’action de ces jeunes garçons et filles, n’aurait pas été nécessaire pour démontrer son inefficacité, sinon sa complaisance.
A l’heure actuelle, on se rend de plus en plus compte, que le simple fait de critiquer ou de s’opposer aux entrées d’illégaux sur notre territoire, devient un délit qui peut mener devant les tribunaux.
Ce qui aurait été approuvé et encouragé auparavant devient justiciable.
Les clandestins, qui forcent les portes de l’Europe sont-ils des invités ou des indésirables ? En réalité, ils restent des délinquants devant la loi. Et à ce titre, ne devraient bénéficier d’aucune faveur.
Contrairement aux milices antifas, Black-Blocks et autres gauchistes, de formation para militaire, qui vandalisent et agressent, avec la complicité passive de nos gouvernants, les Identitaires sont pacifiques et n’ont jamais frappé ou blessé quelqu’un.
D’ailleurs, il serait intéressant de savoir qui finance ces organisations violentes que le Gouvernement n’a jamais eu envie de dissoudre. Et pour cause: parce qu’elles lui sont très utiles.
Si l’on en croit Dupont-Moretti, (que certains appellent le « Yéti »); « les GI sont des gens qui n’ont pas une envie folle du vivre ensemble. La dissolution d’associations séparatistes est une bonne chose ».
Mais où se trouve-t-il le « Vivre ensemble » Moretti ? Il n’a jamais existé, sauf dans son imagination d’avocat embourgeoisé. C’est bien parce qu’il est forcé qu’il crée des résistances. On peut le déplorer, mais c’est ainsi.
Pour que les gens aient envie de vivre ensemble, l’assimilation est une nécessité. D’assimilation, les étrangers de civilisation extra-européenne n’en veulent pas.
Pour ce ministricule, l’ennemi n’est pas Daesh, mais les populistes et ceux comme GI, qui veulent défendre nos frontières.
Mais d’autres, comme l’avocat G.W Goldnadel ont heureusement une autre conception de la réalité.
« Si l’on dissout GI, ce mouvement patriote, on dissout le peuple. Les identitaires sont la majorité dans le pays ».
Ou bien Zemmour. « Si GI est condamnée pour avoir défendu nos frontières, pourquoi alors ne pas condamner les associations d’anciens combattants de 14-18, ou 39-40, dont la mission était de les protéger ».
On apprend aussi une nouvelle qui pourrait passer pour une plaisanterie de mauvais goût: Le Parquet de Saint Gaudens, en Haute Garonne aurait saisi l’Office central de lutte contre les crimes de l’humanité, à l’encontre de GI. Cela dans le cadre de l’enquête anti-immigration menée le 19 janvier au Col du Portillon.
Ce haut fonctionnaire au nom imprononçable qui est responsable de cette véritable forfaiture et même, allons plus loin, de trahison de la cause patriote est, ce que, en son temps, Jacques Chirac aurait pu dire de lui: Quand les salauds voleront, il sera chef d’escadrille.
Comme disait l’ex-champion marathonien de haut niveau Alain Mimoun (d’origine algérienne) : « Certaines personnes ne méritent pas d’être français ».
Onyx