Le Pyromane de Nantes

Si à Nantes le coupable a avoué être l’incendiaire, il semble que pour la cathédrale ND de Paris, l’enquête n’avance pas; si elle n’est pas déjà clôturée. Pourtant il existe des interrogations, qui jusque-là, n’ont pas reçu de réponse.

On peut se demander aussi pourquoi, les monuments catholiques brûlent, sont vandalisés ou dégradés ? On compte, en une année 875 dégradations de lieux de culte: Notre Dame des Grâces à Revel, (B du Rh), St Jacques à Grenoble, une église à Lavaur (Tarn), à Rennes, à Alfortville, à Manosque (Alpes Maritimes) etc… etc…

Mais, (mise à part Nantes), les coupables de ces exactions ne sont jamais arrêtés. Ils le sont, quand les hautes autorités le veulent bien.

Comme par exemple, pour trouver et mettre en prison un vieux de 85 ans qui avait mis le feu à la porte d’une mosquée.

D’ailleurs, faut-il s’en féliciter, les lieux de culte musulmans sont totalement épargnés.

Mais il est permis de se demander, quels sont ceux qui prennent pour cibles les églises, chapelles et cathédrales ?

Dans les actes christianophobes, on pense en priorité aux satanistes, aux anars, aux islamo-gauchistes et aux islamistes, lesquels, c’est bien connu, veulent que l’Islam triomphe en France, en Europe et dans le monde.

On se demande d’ailleurs, si ce Gouvernement a bien envie de trouver les vandales et les incendiaires ?

Mais pour ce qui est du feu qui a détruit complètement les grands orgues de la cathédrale nantaise, occasionnant des millions d’euros de dégâts, le coupable n’était pas très difficile à découvrir. Même si au départ, il y a eu quelques réticences. L’accusé était africain, clandestin, réputé sérieux, souriant, gentil et dévoué. Un tel homme ne peut être qu’innocent.

Mais le Diocèse et le Recteur sont aussi co-responsables de ce qui est arrivé. Cet individu était sous le coup d’une obligation de quitter le territoire et en voie d’expulsion. Alors, dans ces conditions, lui confier les clefs d’un édifice d’une telle valeur, aussi bien religieuse que patrimoniale relevait d’un total manque de discernement. Angélisme, naïveté, générosité au nom de « l’ouverture à l’autre » ?

Il serait bon que l’Eglise catholique ouvre largement les yeux sur les réalités profondes de l’immigration, avant d’ouvrir les portes en grand à des personnes qui peuvent raconter n’importe quoi sur leur passé.

Comme disait ma grand-mère, « Fais du bien à un vilain, il te crachera dans la main ».

L’Etat devrait, sans doute, mieux contrôler ce qui appartient au patrimoine national. Notamment au niveau des systèmes de détection d’incendie et d’infraction avec caméras et protection policière si nécessaire.

Non, cet incendiaire ne mérite pas de compréhension ni d’excuses, et comme le faisait remarquer un paroissien, on peut pardonner, mais la Justice doit passer.

Et même, si elle passe elle sera toujours trop laxiste. Qui remboursera les millions partis en fumée, sinon le contribuable !

Onyx

 

 

 

Les Avocats Du Pire

Certains avocats, pour alimenter leur notoriété et (pour gagner leur vie), mais aussi par attirance pour les voyous de bas niveau, n’hésitent pas à voler au secours d’actes, fussent-ils les plus abjects qui soient.

Il s’agit de faire parler d’eux, de bâtir leur réputation et puis, quoi de mieux qu’en défendant une cause considérée par le méchant populiste comme indéfendable.

Tel est le cas de cette avocate lyonnaise, Mme Céline Cooper du cabinet Averroès (nom prédestiné) qui défend le nommé Youcef, qui a trainé sur 800 mètres le corps d’Axelle. Cette jeune femme qui avait eu la prétention sacrilège, de se placer devant le capot du véhicule, pour l’empêcher de démarrer, alors qu’il avait déjà renversé un de ses amis.

On peut penser que M. Dupont Moretti a eu au début de sa carrière cette même ambition. Mais tous ces confrères n’ont pas forcément son talent de beau parleur, avec effets de manches, doué pour endormir les jurés, en les amenant à s’apitoyer sur l’agresseur, tout en faisant oublier la victime.

On sait aussi, que les avocats sont souvent de gauche et même gauchistes et ont une propension à considérer les accusés (du moins leurs clients) comme des victimes de la société.

Argument facile et qui marche encore, dans un monde où l’on a la fâcheuse tendance de s’occuper davantage, par médias interposés, des bourreaux que des victimes.

Et bien sûr, le plaidoyer de ces « ténors du barreau », consiste à victimiser le coupable, tout en faisant passer insidieusement sa victime pour celui ou celle qui est responsable de ce qui est arrivé.

J’aurai plutôt tendance, à interpréter ces pratiques, comme quelque peu malhonnêtes.

Car des avocats qui plaident en leur âme et conscience ont une éthique et ne peuvent pas s’abaisser à ignorer la réalité des faits, qu’elle que soit leur sensibilité politique. Comme d’ailleurs pour les magistrats, l’idéologie ne devrait pas entrer en considération.

Pour en revenir à Dupond Moretti, il est l’exemple même de la définition que je donne ci-dessus. Peut-être, est-il sincère avec ses idées, mais cela n’en fait pas un défenseur objectif. Puisque seul compte le sort de son client. Il s’impose un challenge. Il faut gagner à tout prix ! Il va même jusqu’à l’avouer : « Le contradictoire qu’apporte la défense d’un accusé est plus important que la défense de la victime, qui n’a pas à être défendue, puisqu’elle n’est accusée de rien ».

On retrouve en Moretti, le gauchiste convaincu qui sous couvert d’humanisme ne craint pas de ramener en France, des monstres de Daesh, qui non seulement, ont renié notre pays, ont déchiré leurs papiers d’identité et qui sont des individus les plus dangereux du monde.

Il dit aussi: « Je serai un militant infatigable pour défendre les ‘français’ (islamistes), car ils sont français, qu’on le veuille ou non, qui encourent la peine de mort. Nous continuerons d’agir dans ce sens auprès des pays concernés ».

Non, ils ne sont plus français, monsieur Moretti, et ils doivent être jugés par la Justice compétente du pays qui a souffert de leurs actes de guerre, de pillage et de destructions.

Cela, ne concerne plus la Justice française, à moins que vous les voyez comme de futurs clients.

En tout cas, votre responsabilité est énorme dans cette décision et les proches évènements vous jugeront !

Onyx

Ca  s’est passé à Lyon

Mais rien sur le 20 heures des Infos. Axelle Dorier, 23 ans, qui faisait partie des soignantes qui ont pris des risques au plus gros de l’épidémie, est morte, tuée par deux racailles. On trouvera difficilement des circonstances atténuantes à cette abomination.

Après le lynchage du chauffeur de car de Bayonne, et les assassinats de Thomas 21 ans, et de la gendarmette Valérie Lémée, ce dernier forfait allonge encore la longue liste des victimes de l’imbécilité et l’incompatibilité du « vivre ensemble ».

Sur le déroulement de cette tragédie, on apprend par le témoignage d’une amie de la victime, Mme Sophie Deel, comment les choses sont arrivées.

« Cela s’est passé dans un parc public, dans  lequel Axelle Dorier fêtait son anniversaire avec des amis. Des voyous sont venus faire du rodéo à l’intérieur du parc avec une voiture de location et ils ont écrasé le chien d’un de ses amis. Voulant le retenir jusqu’à l’arrivée de la police, elle s’est postée devant la voiture. Ils l’ont renversée et trainée sur environ 800 mètres, avant de prendre la fuite. Axelle, dit-elle, était une amie de ma fille et une jeune personne adorable. Nous sommes sous le choc ».

« Le véhicule concerné a percuté un de ces amis et l’a envoyé voler en l’air, puis a stoppé. Axelle, a alors tapé sur le capot en criant. La Golf a démarré et on connaît la suite. Merci pour votre soutien ».

Il en dit quoi Dupond Moretti de ce nouveau carnage ? Ces jeunes sont des « abimés » de la vie. Qui abiment celle des autres trop souvent. Lui qui veut parler avec tout le monde, sauf avec les Populistes. Pourtant les plus nombreux… Homme devenu trop con et trop riche. Qu’il aille voir plutôt où sont vraiment les abimés de la vie.

Elles en disent quoi les féministes gauchistes, qui ouvrent grand leur gueule quand il s’agit de stigmatiser les mâles blancs trop entreprenants à leur goût ?

On pouvait lire sur le site du « Salon Beige » ces quelques phrases : « Quand un policier américain tue malencontreusement un délinquant noir à 10 000 kilomètres d’ici, toutes les infos tournent en boucle, dans les journaux TV français. Mais quand une racaille tue des français en France, c’est l’omerta médiatique ».

Les noms des agresseurs sont consciencieusement cachés et l’affaire sera classée dans les faits divers. Mais heureusement tout finit par se savoir.

Le principal responsable, qui était le conducteur du véhicule s’appelait Youcef et son passager Mohamed.

Comment rester serein en apprenant régulièrement ce genre d’information ?

La patience de nos compatriotes est-elle sans limites, ou y aura-t-il une réaction un jour ? « Il n’y a qu’une fatalité, celle des peuples qui n’ont pas assez de force pour se tenir debout et qui se couchent pour mourir » (De Gaulle).

Onyx

[Del Valle] L’horizon Mad Max ou l’autodestruction d’un Occident qui se complaît dans la repentance et la haine de soi

Le chroniqueur Alexandre del Valle analyse les récents actes christianophobes à l’aune du processus de “décivilisation” anti-occidentale et d’ensauvagement qui alimente chaque jour l’actualité : Black Lives Matter, islamisation radicale, diabolisation des forces de l’ordre, immigrationnisme offensif, violences anarcho-gauchistes, racisme anti-Blancs, etc.

Depuis plusieurs jours, tous les médias parlent de la cathédrale de Nantes, mais aucun ou presque, excepté Le Parisien, n’a évoqué l’attentat islamiste déjoué de justesse, le 20 juillet dernier en Seine-Saint-Denis, lorsqu’un terroriste armé d’un fusil-mitrailleur et d’un sabre a tenté de s’attaquer à une église remplie de fidèles en hurlant « Allahu akbar », avant qu’un agent de sécurité ne le percute avec sa voiture pour le neutraliser. Ce genre d’actes va être de plus en plus courant, dans un pays durablement gangrené par l’islamisme radical, où trois lieux de culte chrétiens sont vandalisés chaque jour et où les attaques envers des autochtones désormais banales ne font jamais la une alors que les morts de malfrats déclenchent des manifs monstres et font exploser les audiences. Contrairement à d’autres « phobies », l’autochtonophobie et son corollaire la christianophobie sont d’autant plus banalisées, impunies et parfois même encouragées qu’elle visent l’ethnie et la religion de l’Homo-Occidentalis-colonialiste-impérialiste à abattre. D’après une grille de lecture de l’Histoire à charge, ce dernier serait en effet responsable de tous les maux de la terre. Sa civilisation (histoire, nations, Etats, frontières, religion et ethnies) serait « la PIRE de toutes ».

Face au mythe paranoïsant de « l’islamophobie occidentale », les faits montrent que la religion chrétienne est de loin la plus persécutée de toutes. Les génocides dont elle fut victime dans le passé (génocide des Arméniens, Syriaques-araméens et Grecs en Turquie en 1915 et de tous les autochtones chrétiens en Péninsule arabique ou au Maghreb des siècles plus tôt), ou plus récemment (Pakistan, Kosovo, Soudan du Sud, Centre-Afrique, etc.) sont systématiquement niés. De ce fait, si l’ONU qualifie de génocide le massacre de 8 000 musulmans en Bosnie par les Serbes et celui de 300 000 musulmans noirs du Darfour par les musulmans du Nord Soudan, celui d’un millions de noirs-chrétiens et animistes par le même régime militaro-islamiste de Khartoum dans les années 1990 ne l’est pas ! Pendant que les antiracistes de profession dénoncent continuellement « l’islamophobie occidentale » largement imaginaire (les pays où les musulmans sont massacrés ou privés de droits sont la Birmanie, la Chine et l’Inde, jamais dénoncés par les pays islamiques aux Nations unies), les chrétiens sont persécutés dans presque tous les pays communistes et islamiques, mais cela ne fait pas la Une car la majorité des membres de l’Assemblée générale des Nations unies et de son ubuesque Conseil des Droits de l’Homme de Genève où les Saoudiens ont des fonctions officielles, sont des pays islamiques, marxistes et tiersmondistes anti-occidentaux. A ce propos, il est utile de consulter les rapports annuels de deux associations, l’une catholique, L’Aide à l’Eglise en Détresse (AED) et l’autre protestante, Portes Ouvertes, qui montrent que de 260 millions de chrétiens (1 chrétien sur 8) sont persécutés dans le monde dans la plus grande indifférence, avec en tête la Corée du Nord, la Chine et la majorité des pays musulmans.

 

La genèse du Mal : l’impunité des totalitarismes rouge et vert

Curieusement, dans notre Occident culpabilisé, où le totalitarisme nazi-fasciste a été (heureusement) moralement et juridiquement condamné à Nuremberg (ce qui a créé des anticorps rendant impossible le « retour de la bête immonde »), les deux autres totalitarismes (marxisme / islamisme) sont perçus comme « moins condamnables » du fait de ne pas avoir persécuté au nom de la race. S’ajoute à cela l’idée que l’islamisme radical/djihadiste n’aurait « rien à voir avec l’islam » et donc avec la charia (en réalité source du totalitarisme islamiste mais jamais réformée du fait de son intouchabilité), tout comme le communisme responsable de 100 millions de morts n’aurait « rien à voir » avec le marxisme, pourtant lui-même totalitaire et violent dans ses textes sacrés. Cette exonération explique la nocivité pérenne de deux fléaux idéologico-subversives qui sapent les valeurs fondatrices des sociétés d’Occident depuis les années 1980 : le néo-gauchisme sans-frontiériste, anti-flics et anti-Etat, et son allié de circonstance néo-prolétaire post-colonial qu’est l’islamisme radical. Cette convergence rouge-verte explique en le succès du mouvement révolutionnaire occidentalophobe des Black Lives Matter, lequel n’a pas été créé en 2020 par des Afro-Américains paisibles horrifiés par la mort d’un « noir étranglé par un blanc » ou par la politique supposée « raciste » de Donald Trump, mais en 2015 par des militants trotsko-gauchistes blancs désireux de récupérer la cause noire pour déstabiliser-culpabiliser-diaboliser nos sociétés démocratiques dans une logique révolutionnaire, d’où l’alliance avec les Frères-musulmans (AJ+) et les suprémacistes noirs-islamistes du mouvement afro-américain Nation of Islam, également actif en France et proche des comités pro-Traoré.

On n’est jamais mieux servi que par soi-même

Dans nos sociétés martyrocratiques et post-démocratiques fondées sur la tyrannie des lobbies victimaires, des minorités tyranniques et des médias sans contre-pouvoirs, tout se passe comme si l’autorité réelle appartenait à ceux qui intimident moralement ou physiquement et qui démontrent leur « pouvoir de nuisance communautaire » (« néo-racisés » indigénistes, pilleurs-émeutiers des banlieues en flammes; LGBTistes ou écolo-animalistes radicaux, Blacks Blocs, néo-gauchistes, islamistes, etc). Les groupes claniques qui défendent « l’honneur » de voyous membres de leurs « clans » arrêtés par la police, suscitent de ce fait plus « l’émotion » (dixit Castaner) que des citoyens honnêtes (de toutes les couleurs), victimes de malfrats, comme la gendarmette « gaulloise » Mélanie Lemée, 25 ans, fauchée par un automobiliste qui tentait d’échapper à un contrôle routier, ou, plus récemment, Axelle Dorier, aide-soignante, tuée après avoir été traînée sur 800 mètres par une voiture conduite par un criminel qui venait lui-même « défendre » ses amies qui avaient écrasé le chien d’Axelle (qui venait d’appeler la police…).

Il est clair que les familles de ces deux victimes « incolores non-racisées », donc indéfendables, n’ont pas le même pouvoir de mobilisation victimaire et d’intimidation violente et n’ont donc ni la capacité ni même l’idée de lancer un mouvement Policewoman Lives Matter ou White Nurses Lives Matter… Pareil déclin de la responsabilité individuelle et délégitimation de l’Etat-Nation puis des forces de l’ordre (qui détiennent normalement le « monopole de la coercition légitime ») et pareille légitimation de la violence (illégale) de groupes ethno-religieux vindicatifs, constitue un phénomène de décivilisation sans précédent depuis les invasions barbares et la chute de l’empire romain d’Occident au Ve siècle. L’homme blanc occidental pris au piège de sa culpabilisation identitaire pathologique ne récolte en fait que ce qu’il a semé: ses sociétés multiculturelles utopiques sont devenues des sociétés multiconflictuelles chaotiques.   

« L’horizon Mad Max » ou la décivilisation occidentale

Le processus d’ensauvagement de nos sociétés déstructurées, conséquence du « Grand renversement » (délégitimation de l’Etat-Nation et de la police et sanctification de leurs ennemis), s’observe chaque jour dans tous les pays occidentaux n’ayant pas su intégrer et contrôler l’immigration extra-européenne et ayant renoncé au patriotisme: incendie volontaire de la cathédrale de Nantes, vidéos de kalachnikovs à Dijon aux lendemains d’affrontements inter-communautaires algéro-tchétchènes; manifestations anti-babtous/anti-juives de supporters de Floyd et Traoré (les Blacks Lives Matter qui ont eux-mêmes tué dans l’indifférence médiatique des blancs anti-génuflexions aux Etats-Unis). Et ce processus, qui envoie un immense signal de faiblesse aux prédateurs et autres nations quant à elles ultra-nationalistes, explique les incessantes exigences d’excuses des présidents algériens et turcs qui accusent la France de « génocide en Algérie », et rackettent les « croisés européens » sous peine d’ouvrir les vannes de l’immigration massive ou de radicaliser leurs minorités présentes sur notre sol. Cet ensauvagement des sociétés d’Occident, qui a commencé dans les années 1980 (ère ou « génération Mitterrand »), n’est qu’à ses débuts, et les prédateurs extérieurs ne font que commencer à en tirer parti… Il ne peut que s’intensifier à l’avenir, avec la convergence de paramètres imparables que sont le vieillissement des autochtones européens face à des jeunesses extra-communautaires afro-islamiques travaillées (en partie) par les révolutionnaires islamo-marxistes; les crises financières, sanitaires et économico-sociales prévisibles et la montée de l’islamisme radical allié aux révolutionnaires marxistes et écolos-indigénistes. J’ai appelé ce scénario à venir « l’horizon Mad Max ».

Preuve du lien entre ces phénomènes apparemment différents que sont le Black Lives Matter, l’immigration incontrôlée, l’islamisme radical et la christianophobie, il suffit de scruter les profils de récents attentats causés par des migrants et qui font le jeu des djihadistes en s’attaquant aux mécréants blancs et aux symboles chrétiens: l’incendie de la cathédrale de Nantes a été à la fois saluée et revendiquée par des membres du groupe islamiste Forsane Alizza, mais commis par un « ressortissant » rwandais bénévole du diocèse et « mécontent du non-renouvellement de son titre de séjour », (comme si cela justifiait son acte), puis salué par des militants anarcho-gauchistes christianophobes sur les réseaux sociaux. La boucle est bouclée: Lisons plutôt la récente  prose de militants de la Ligue de défense noire africaine, membre active des comités Traoré et de Black Lives Matter, qui s’est réjouie de l’incendie de la cathédrale : « Oh! Feu sur la #CathédraledeNantes?! La #Cathédrale payée par les négriers nantais par l’argent de la traite-esclavage? Qu’a fait l’@Eglisecatho pour empêcher la déshumanisation de nos ancêtres? Pas un sermon ni une Bulle de @Pontifex_fr pour les NEGRES!.»

Déjà, il y a deux semaines, le groupe proclamait : « Bientôt viendra le jour où la LDNA obtiendra des réparations justes pour toutes les atrocités commises et permises par la France, sur nos ancêtres. Même le Vatican, l’Église catholique, devra passer à la caisse et être dissoute après le paiement des réparations.» Quant à un internaute anarcho-gauchiste (@MuArF), celui-ci s’est réjouit, comme tant d’autres l’avaient fait impunément lors de l’incendie de Notre Dame de Paris : « La seule cathédrale qui illumine est celle qui brûle»… Dans notre société ensauvagée, auto-raciste qui a appris aux nouveaux venus à nous haïr, il n’y a en effet rien d’étonnant à ce que des néo-totalitaires rouges-marxistes, des Verts Islamistes ou écolo-radicaux/animalistes et des suprématistes Black convergent pour en finir avec l’Occident honni (avant de s’entre-déchirer) et répètent, pour justifier leur haine « souchiennophobe » et christianophobe, les désinformations historiques que nos repentants ethno-masochistes invétérés leur ont enseignées durant des décennies : croisades, esclavagisme, colonisation, « sionisme », « islamophobie », « impérialisme », etc. Face à ce festival de griefs, il est tout même bon de leur rappeler quelques vérités historiques.

Le mythe de l’Occident chrétien, « civilisation esclavagiste par excellence »

Pour répondre aux Black Lives Matter, aux « indigénistes-néo-racisés » et autres « indignés rouges-verts », nous invitons ceux qui manquent d’arguments solides à lire non seulement mon ouvrage Le complexe occidental, mais plus modestement celui du célèbre abolitionniste Henri Wallon, Histoire de l’esclavage sous l’antiquité. Ce dernier a montré que l’Eglise des premiers jours combattit l’esclavage et recruta même beaucoup de fidèles parmi les esclaves. Et si les choses changèrent ensuite non pas à cause de l’Eglise mais des moeurs inégalitaires de TOUTES les sociétés du monde, même africaines, qui pratiquèrent toujours l’esclavage, il est faux d’affirmer que l’Église catholique attendit la fin du XIXe siècle pour le condamner. Très tôt en Europe, les rois et les évêques, y compris William le Conquérant (1027-1087), Saint-Wulfstan (1009-1095) et Saint-Anselme (1033-1109), l’interdirent. Au XIIIe siècle, Saint-Thomas d’Aquin décréta que l’esclavage était un « pur péché ».

C’est sur cette base que l’Eglise qualifia l’esclavage de « péché contre la dignité humaine ». En 1437, le Pape Eugène IV publia la Bulle Sicut Dudum qui excommuniait les esclavagistes. Pie II (1458 à 1464) et Sixte IV (1471 à 1484) édictèrent eux aussi des Bulles contre l’esclavage. En 1537, le Pape Paul III fit une déclaration officielle contre l’esclavage 1400 ans avant que l’Arabie saoudite ou le Soudan ne l’interdisent… Le Pape Paul III (de 1534 à 1549) édicta une Bulle condamnant l’esclavage en Amérique. Le 22 avril 1639, Urbain VIII (1623 à 1644) publia la Bulle Commissum Nobis excommuniant ceux qui réduisaient quiconque à l’esclavage. Hélas, l’Eglise romaine était peu écoutée par les rois, qui n’en faisaient qu’à leur tête. Et lorsque les quakers américains protestants initièrent le mouvement abolitionniste aux Etats-Unis, ils furent soutenus par des évêques catholiques. De même, ce sont des Eglises catholiques et protestantes qui menèrent la lutte contre l’apartheid en Afrique du Sud, la figure ecclésiastique la plus connue étant Desmond Tutu.

La traite arabo-musulmane des noirs

Parallèlement à l’esclavage des noirs par les blancs, ou « commerce triangulaire », condamné par l’Eglise et depuis longtemps unanimement condamné partout l’Occident et non en pays africains ou musulmans, la traite arabo-musulmane des noirs (mais aussi de captifs blancs razziés) n’a jamais été condamnée par les élites religieuses islamiques (l’esclavage est permis par la charia). Cet esclavage islamique n’a d’ailleurs cessé que sous les colonisations et pressions occidentales entre le milieu du XVIIIe siècle et le XXe siècle. Le spécialiste sénégalais de l’esclavage, musulman lui-même, Tidiane N’Diayé, a rappelé dans ses ouvrages (Le génocide voilé) que la traite arabo-islamique, indépassable en cruautés, fit encore plus de victimes et dura bien plus longtemps que l’esclavagisme européen. Il est remarquable que cette réalité historique n’ait jamais été solennellement condamnée par l’ex-ministre de la Justice française, Christiane Taubira, auteur d’une loi mémorielle sur l’esclavage votée en 2001 qui ne mentionne que la traite des noirs par les Européens, pas plus que par les Traoristes et Floydistes du Black Lives Matter.

Un autre éminent spécialise, Olivier Pétré-Grenouilleau, professeur à l’Université de Bretagne Sud, qui reçut en juin 2005, le prix du Sénat du Livre d’histoire pour son essai Les Traites négrières. Essai d’histoire globale, rappela que l’Afrique noire fut actrice et non pas seulement victime de la traite négrière. Le même phénomène de condamnation sélective s’observe au niveau international : la Conférence mondiale de l’ONU « contre le racisme, la xénophobie et l’esclavage », tenue à Durban du 28 août au 7 septembre 2001, à l’initiative du Conseil des droits de l’Homme, et à laquelle participèrent la plupart des pays islamiques membre de l’OCI (dont l’Arabie saoudite), n’aborda jamais la question de l’esclavagisme musulman et interafricain, pourtant humainement aussi horrible et condamnable. Elle fit en revanche un procès sans appel de l’Occident, supposé « islamophobe », « sioniste » et coupable ad vitam aeternam des colonisations, des croisades et de l’esclavage. Pourtant, dans la péninsule arabique, le sous-continent indien, le Niger, le Mali, le Soudan, le Nigeria ou la Mauritanie, l’esclavage des noirs non-musulmans a longtemps été pratiqué et autorisé, et il est parfois encore toléré. Les derniers pays du monde à ratifier l’abolition de l’esclavage ont d’ailleurs été deux Etats régis par la charia, qui autorise l’esclavage : l’Arabie saoudite, en 1962, et la Mauritanie en 1981.

Un deux poids deux mesures culpabilisateur

Comme nous l’avons évoqué en début d’article, il faut répondre aux culpabilisateurs rouges-noirs-verts professionnels qui masquent leur haine anti-occidentale derrière un antiracisme dévoyé et en réalité néo-raciste, que si TOUTES les sociétés ont colonisé, tué, envahi, commis des crimes, contre d’autres ou elles-mêmes, si elles ont toutes pratiqué l’esclavage, c’est la civilisation blanche-judéo-chrétienne occidentale qui a été la première à condamner moralement, au nom de la sacralité de l’individu, puis aboli non seulement la haine raciale, encore présente dans de nombreux pays africains, latino-américains, asiatiques et islamiques, mais aussi et d’abord l’esclavage. Et à ceux qui accusent l’Eglise catholique et le christianisme en général d’avoir été complices de l’esclavagisme, il faut répondre que non seulement elle fut la première religion qui le condamna et lutta contre lui, mais que la religion musulmane continue d’enseigner dans le droit islamique (Fiqh) et la charia sa légitimité, puis enfin que l’esclavage, totalement banni et absent en Europe occidentale, en Australie, en Russie, ou aux Etats-Unis, est toujours pratiqué dans le reste du monde occidental décolonisé mais pas forcément « sans tâche ». L’Organisation internationale du travail (OIT) estime qu’aujourd’hui 25 millions de personnes vivent encore actuellement dans des conditions assimilables à de l’esclavage, d’où le terme d’« esclavage moderne ». Ces esclaves sont principalement situés en Afrique, en Asie extrême et en pays musulmans. Pas en Occident. Selon l’ONU, chaque année, deux millions de personnes sont ainsi réduites en esclavage dans le monde non-occidental. Les Blacks Lives Matter ne s’en soucient guère : ils ne s’intéressent qu’aux crimes passés ou présents, réels ou imaginaires (Traoré, Théo, etc.) des blancs envers les autres.  Tant pis pour les victimes blacks des noirs ou des islamistes, dans le passé comme dans le présent. Leur sort est sacrifié sur l’autel de l’idéologie anti-occidentale.

Source : Valeurs actuelles

Les Destructeurs des Nations

Ecole de Chicago

Le fondateur de cette « école » s’appelle Saul Alinsky. Son but: Formater l’opinion, pour transformer les mentalités afin de détruire Etats et sociétés occidentales. Il s’agit d’enseigner aux minorités comment prendre le pouvoir.

Elle a comme principe  de permettre aux minorités ethniques de se regrouper  et de se préparer à l’entrée en politique par différents moyens. Surtout, celui de l’entrisme dans les banlieues peuplées de populations hétérogènes et dans les Collectifs et Associations.

En France, ce mouvement est parti de Grenoble, ville « progressiste » qui  vote régulièrement écolo. Elle est en contact direct idéologique avec le groupe de réflexion Terra Nova et la France Insoumise de Mélenchon (Source: Radio Courtoisie du 13 Juin 2020).

Ce Mouvement s’étend progressivement dans le monde et influence fortement les Black Lives Matter, fondé aux USA en 2013, sous le slogan: « le Pouvoir, se prend, ne se donne pas ».

Qui pourrait s’en étonner, le multimilliardaire Soros fait partie de cette mouvance, avec nombre d’ONG à sa solde.

On peut, très bien le constater actuellement, la France surtout, mais aussi l’Italie sont particulièrement visés.

Il est inutile de préciser que les nombreuses ONG pro-immigrés et mafias de passeurs sont financées par ces généreux démolisseurs de pays, devenus hétérogènes, comme la France.

La censure des prénoms.

Les  médias en sont-ils des complices actifs ou passifs, dans ce plan sociétal de cette « école de Chicago »? En tout cas, ils s’en font la caisse de résonnance.

Les journalistes, on le sait, sont invités à présenter les étrangers issus de ces dernières immigrations, sous le meilleur jour et pour ça, n’ont aucun scrupule à modifier des prénoms.

L’avocat G. William Goldanel, bien connu, pour être plutôt favorable aux souverainistes et aux patriotes, disait dernièrement, au sujet des mensonges médiatiques: « Lors d’une tournante, avec Ali, Mohamed, Moktar et Slimane, ils préfèreront les prénommer, Alain, Michel, Maurice ou Pierre, pour ne pas alimenter le populisme « .

Quant au journaliste Bernard de la Villardière, il confirme: « J’ai fait partie de ces journalistes, dans les années 90, au motif que les prénoms n’étaient pas signifiants et qu’il ne fallait pas donner des arguments au FN. Erreur ! En ne donnant pas, on alimente !

Méa culpa tardif, mais méritoire, car en ces temps, où parler vrai mérite sanction.

Un autre journaliste, Jean Quatremer va aussi dans ce sens et dénonce les mêmes pratiques: Les agressions verbales, sexuelles et de violences sont souvent cachées ou occultées, afin de ne pas donner au peuple l’occasion de se réveiller.

Sans ces confessions qui pourrait croire à de telles malhonnêtetés de la part de gens qui devraient rester totalement objectifs ?

Le rêve pour le politiquement correct, serait que ce soit l’extrême droite qui viole et agresse. Il ne craint pas de fausser à dessein le jeu politique, afin de façonner les élections. Macron, peut certainement  remercier ces médias qui ont travaillé pour lui.

Pour le Banquier Edmond de Rothschild, » le verrou qui doit sauter à présent c’est la Nation ».

Avec de tels aveux, comment être surpris de la guerre que le Système  nous fait, en association avec l’Islam radical.

« Avec vos lois démocratiques, nous vous coloniserons, avec nos lois coraniques, nous vous dominerons » ( Youssef al Qaradâqwi).

Onyx