Fêtes de fin d’année

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L’année 2017 s’est terminée avec son lot de bonnes et de mauvaises nouvelles. Que sera 2018 ? Madame Soleil n’est plus là pour nous le dire. Le pourrait-elle seulement tellement les évènements se précipitent dans une accélération du temps déconcertante. Fin des temps ou fin d’un temps avec l’entrée dans l’ère du verseau, diront des astrologues.

Mais une question se pose… Tino Rossi aurait-il encore le droit de chanter chaque année finissante son célèbre « Petit Papa Noël » entendu sur toutes les ondes ? Car depuis quelques petites décennies, s’en qu’on le remarque trop, nos libertés se sont petit à petit dégradées.

Actuellement des magasins de la grande distribution, pour n’en citer qu’un seul, évitent le nom de cette principale Fête Chrétienne dans leurs publicités, mais Carrefour dans son catalogue 2017 imprime « Ramadan toutes les saveurs de l’Orient » un exemple parmi d’autres. Pendant ce temps, des marchés de Noël sont débaptisés au profit de « Marchés d’hiver ». A Millau, plus de chant sur la nativité en ville.

Certaines croix gêneraient, parait-il, dans le paysage. Comme à Ploërmel en Bretagne ou le crucifix surmontant un petit monument à la mémoire du Pape Jean-Paul 2 s’est vu menacé d’enlèvement, suite à une plainte déposée par les libres penseurs de la région. Des gens qui pensent qu’on peut penser ce qu’on veut, pourvu qu’on pense comme eux. Pourtant dans la France, qui est à l’origine un pays chrétien, des milliers de croix sont plantées sur des chemins ruraux et aux intersections. Faudra-t-il les enlever pour contenter ces ayatollahs du laïcisme ? D’autre part, des maires dans certaines villes, se voient interdire des crèches dans les mairies… A plus forte raison s’ils sont jugés comme des « mal pensants » rebelles à l’ordre établi par l’oligarchie dominante. Robert MENARD s’est contenté de déplacer sa crèche un peu plus loin… un beau pied de nez à tous ces empêcheurs de célébrer des traditions multiséculaires au nom de leur idéologie aussi sectaire que déconstructive. Par contre, les prières musulmanes dans les rues de Paris ou ailleurs, comme les manifestations bruyantes de fin de ramadan et les tenues « folkloriques » évocatrices à connotation plus politique que religieuse qui se multiplient, n’ont pas l’air de trop déranger nos amis de La Libre Pensée.

Car ces derniers, en voulant s’en prendre aux manifestations très modestes du christianisme encore existant, s’attaquent en réalité à nos traditions les plus anciennes, car une crèche n’a rien de politique. Elle représente, comme les santons de Provence, l’expression d’une créativité laissée à l’imagination de chacun. Va-t-on aussi supprimer le Père Noël, et pourquoi pas l’arbre de Noël, parce qu’ils nuiraient au Vivre ensemble multiculturel ? Comme d’ailleurs les noms des saints catholiques dans le calendrier des Postes ? L’histoire de France ne commence pas en 1789 et l’instrumentalisation de la laïcité qui est nécessaire à la bonne entente entre les citoyens s’est transformé en laïcisme anti-chrétien qui ne dit pas son nom.

Ces fêtes de Noël, restées fêtes des retrouvailles affectives, mais aussi de la grande bouffe, par le miracle de la société de consommation qui ne voit que le profit, peuvent laisser quelques traces de mélancolie comme si la vie se réduisait à manger, boire et acheter. Heureusement les chrétiens et tous les croyants en relèvent le niveau en redonnant à la fête de Noël son sens historique et spirituel. Mais l’engagement, même culturel, pour ces deux fêtes de Noël et Nouvel An, prouve que les Français restent attachés à leurs racines et à leurs façons de vivre et qu’à l’avenir ils ne s’en laisseront pas déposséder au profit d’autres mœurs et d’autres cultures.

Meilleurs vœux à tous les patriotes et compatriotes

Onyx

Isidore et son Noël en Espagne

Catalan

Je suis parti de France, samedi 24 décembre 2017, pour un petit voyage en Espagne. Il y a longtemps que je voulais sauter le pas, vers cette Espagne fédérée par Isabelle la Catholique en 1492.

J’ai pénétré en Espagne par le col du Perthus, comme beaucoup de Français j’ai musardé, car il y a pléthore de magasins de vêtements, chaussures, bazars et restaurants à des prix dérisoires. J’ai pris un déjeuner à moins de 22 euros pour deux personnes, et quel déjeuner ! bien copieux ; en France j’en aurais eu pour au moins 40 euros.

Puis je me suis enfoncé dans l’Espagne profonde, Figueras, Gerona où j’ai passé ma nuit de Noel dans cette jolie petite ville.

Le Jour de Noel me voila en route pour Barcelone, avec un accueil très correct de la part des catalans.

Mais une chose inquiétante me sauta aux yeux dès que je suis rentré dans Figueras, ce qui s’est accentué de ville en ville jusqu’à Barcelone, c’est le nombre incalculable de Drapeaux indépendantistes Catalans, pavoisés aux fenêtres des immeubles, et d’autres moins nombreux fidèles à l’Espagne de Filipe VI.

On ressent l’emprise gauchisante de la part des indépendantistes, une certaine tension est perceptible entre la Gardia Civile (Police Espagnole) et la Mosso d’Esquadra (Police Autonome Catalane crée en 1983).

Après une petite enquête de ma part et un comparatif vu à la TVE (Espagnole) les policiers de la Mosso d’Esquadra sont rémunérés 2400 Euros, et 1700 Euros environ pour la Guardia Civile. Ce n’est pas qu’une histoire de rémunération qui remet en cause les relations inter Police, qui avant le 1er Octobre était cordiale sinon excellente. La date du 1er Octobre est marquée par la répression de Madrid, lors du premier referendum sur l’indépendance.

Que peut-on craindre de cela ? Car il y a un risque de rébellion évident des Mosso d’Esquadra, équipés d’arme de poing et de fusils d’assaut, c’est bien visible quand ils sont soit en patrouille soit en contrôle statique.

Si une rébellion des Mosso D’Esquadra avait lieu, le gouvernent Espagnol devrait faire intervenir très rapidement l’armée Espagnole pour désarmer les Mosso, d’ailleurs des Unités des Forces Spéciales sont en Alerte permanente au cas où !

Après une journée et demi passée dans ce magnifique Barcelone où j’ai pu déambuler sur les boulevards, avec la fameuse Rambla. Et la cerise sur le gâteau fut de visiter la fameuses Sagrada Familia, Cathédrale d’un style particulier, dont la construction a commencé le 19 Mars 1882 par le fameux Antoni Gaudi.

Nous voilà repartis vers la cote, et la Costa Brava, une jolie mer bleue s’offrait à notre regard.

Une dernière nuit à Paloma jolie, petite ville du littoral catalan ! Puis ce fut les lacés vertigineux qui nous amenèrent entre Port Bou, encore en Espagne, et cette jolie petite ville frontière qu’est Cerbère.

Nous nous arrêtâmes à Port Vendre, Collioure et le Barcarès pour terminée la journée.
Ballade bien remplie.

Les drapeaux indépendantistes s’arrêtèrent ainsi à Port Bou, mais pour combien de temps encore ? Car il existe côté Nord de la Catalogne (le Roussillon) une envie d’Indépendance, certes très minoritaire, mais l’on doit prendre acte de ce qui se passe actuellement à Barcelone et dans toute la Catalogne Espagnole.

C’est à nos politiques Nationaux d’être le plus vigilants sur l’actualité, je le dis avec sincérité des événements graves peuvent déraper très rapidement depuis Barcelone.

Rappelez vous la Guerre Civile Espagnole, de Juillet 1936, a éclaté à cause de deux facteurs :

  • L’Independence du pays Basque,
  • la 1ère autoproclamation de l’indépendance de la Catalogne en 1934.

L’Europe de Bruxelles veux, quant à elle, morceler les Nations pour en faire des länder à la prussienne. La seule alternative c’est de faire tomber cette Europe mercantile du fric, pour une Europe des patries, sans l’oligarchie bruxelloise qui nous vend comme une marchandise.

Le combat pour l’Europe des Patries doit être le cheval de Bataille de toutes les Françaises et tous les Français de souche, qui en ont assez de voir se vautrer dans la veulerie nos politiques actuels.

Isidore

Comment répondre aux mensonges sur la bataille de Poitiers ?

Charles

1. Ils disent :

La bataille de Poitiers n’a pas eu lieu et si elle a lieu ce n’était pas à Poitiers et ce n’était en aucun cas pour arrêter une invasion mais tout au plus pour mettre un terme à une razzia.

2. Pourquoi le disent-ils ?

Si la négation de l’existence de la bataille de Poitiers est confidentielle et peu sérieuse, nombreux sont ceux qui cherchent à relativiser son importance. Il s’agit de nier qu’il ait pu exister une invasion planifiée de la part des troupes arabo-berbères. Les Européens doivent être les seuls, et les premiers, à qui l’on puisse reprocher une opération de conquête comme on le fait régulièrement pour les croisades dont on occulte par ailleurs complètement l’importante vocation défensive. Dans la société du « vivre-ensemble » où la question de l’islamisation inquiète le plus grand nombre, il est gênant qu’une des batailles les plus prestigieuses de l’histoire de France soit celle qui ait mis un terme à la conquête musulmane de l’Europe.

3. Pourquoi c’est faux :

La bataille de Poitiers a bien eu lieu et s’inscrit dans un conflit de plusieurs décennies qui s’est achevé par la victoire définitive des Francs sur les envahisseurs arabo-berbères. Le Languedoc et une partie de la Provence (appelée alors Septimanie) ont été occupés par les arabo-berbère pendant plus de 40 ans et Narbonne n’a été libérée qu’en 759 par Pépin le Bref, fils de Charles Martel.

Comment expliquer que le nord de la Gaule n’ait pas été un objectif de conquête alors que le sud de celle-ci a été occupé des décennies ? Après la conquête de toute la rive sud de la Méditerranée, de l’Espagne et de l’échec devant Constantinople, les envies de conquête des troupes musulmanes auraient-elles soudain disparues une fois arrivées en Provence ? Il est plus raisonnable de penser que ce sont les batailles de Toulouse (721), de Poitiers (732) puis les opérations de Pépin le Bref et de Charlemagne qui sont parvenues à y mettre un terme.

Même si la bataille de Poitiers avait été une simple contre-razzia, cela n’enlèverait rien à son importance. Les razzias, au-delà des pillages, étaient des opérations de reconnaissance en force qui permettaient de tester les défenses ennemies. Si les Francs ne s’étaient pas montrés à la hauteur lors de la bataille de Poitiers, il est évident que la Gaule aurait connu le sort de l’Espagne conquise quelques décennies plus tôt.

Source : les-identitaires.com

Une championne d’échecs refuse d’aller en Arabie Saoudite

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L’Ukrainienne Anna Muzychuk, double championne du monde d’échecs dans deux modalités de jeu, a annoncé dans une publication Facebook qu’elle renonçait à défendre ses titres lors des mondiaux d’échecs qui se jouent jusqu’au 30 décembre.

En cause, l’endroit où se déroule cette compétition : l’Arabie Saoudite.

« Ne pas me sentir comme une créature inférieure »

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« J’ai décidé de ne pas aller en Arabie saoudite, […] de ne pas porter une abaya (vêtement qui couvrant), de ne pas devoir sortir accompagnée et de ne pas me sentir comme une créature inférieure », a-t-elle expliqué sur Facebook. La femme de 27 ans ajoute qu’elle n’a pas été tentée par l’argent, bien qu’avec sa participation elle espérait gagner « plus que dans douze tournois réunis ».

Sa sœur Mariya, elle aussi championne, ne participera pas non plus à cette Coupe du Monde. Anna Muzychuk avait pourtant participé l’an dernier à la Coupe du monde qui s’était jouée au… Qatar. Parallèlement, la Fédération israélienne d’échecs a annoncé ce mardi que ses sept joueurs s’étaient vus refuser des visas pour l’Arabie Saoudite. Elle réclame donc des compensations financières.

Source : 20 minutes avec AFP

Le message de Noël de Viktor Orbán

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Viktor Orbán a utilisé son message annuel de Noël pour appeler les Européens à protéger leur culture chrétienne et a promis que la Hongrie ne «se retranchera pas derrière des blocs de béton» et ne regardera pas ses femmes et ses filles «se faire harceler le soir du Nouvel An».

« Le christianisme est une culture et une civilisation. Nous vivons dedans. Il ne s’agit pas de savoir combien de personnes vont à l’église ou combien prient honnêtement. La culture est la réalité de notre vie quotidienne … La culture chrétienne définit notre morale quotidienne », écrit le leader du Fidesz, dans un article publié dans Magyar Idők.

Orbán a visé les ennemis de sa politique, qui prétendent qu’il n’est pas chrétien s’il ne permet pas «à des millions d’extra-européenne à s’installer en Europe» selon le commandement «aime ton prochain comme toi-même» .

« Ils oublient la deuxième partie du commandement », a observé Orbán. « S’aimer soi-même signifie aussi protéger tout ce que nous sommes et qui nous sommes. Nous aimer signifie que nous aimons notre pays, notre nation, notre famille, la culture hongroise et la civilisation européenne.  »

« Les bases de la vie européenne sont maintenant attaquées », a poursuivi le dirigeant hongrois, faisant allusion aux difficultés rencontrées par des pays comme la Grande-Bretagne, la France et l’Allemagne, qui poursuivent des politiques de migration de masse et de multiculturalisme.

« Nous ne voulons pas que nos marchés de Noël soient renommés, et nous ne voulons absolument pas nous retrancher derrière des blocs de béton. Nous ne voulons pas que nos masses de Noël soient entourées de peur et de détresse. Nous ne voulons pas que nos femmes, nos filles soient harcelées dans la foule du Nouvel An  »

« Ils veulent que nous arrêtions d’être ce que nous sommes. Ils veulent que nous devenions ceux que nous ne voulons pas être. Ils veulent que nous nous mélangions à des gens d’un autre monde », a-t-il dit.

« Les nations libres d’Europe, les gouvernements nationaux élus par des citoyens libres, ont une nouvelle tâche: protéger notre culture chrétienne. »

« Pas pour les autres, mais pour nous-mêmes; pour nos familles, pour notre nation, pour nos pays et pour la «patrie de notre patrie» – pour la défense de l’Europe ».

Source : Magyar Idők

A bout d’argument …

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A l’heure où les peuples de l’Europe centrale (Autriche, Hongrie, Pologne, Tchequie, Slovaquie) cherchent à se défaire du corset de l’Europe. A l’heure où le Brexit anglais déclenche un sérieux prurit à Bruxelles, à l’heure où Angela Merkel est en difficulté sur le probléme de l’immigration, les grands prêtres de la Mondialisation sont contraints de réagir face au risque d’expansion que constitue cette nouvelle quête d’identité des nations.

Bruxelles ne maîtrise que difficilement cette progression qui commence à toucher notre pays. Il lui faut réagir vite.

A la tête de ce combat de libération, il est notoire que le Front National a marqué de sérieux points lors des dernières élections. Il est donc impératif de freiner ses ardeurs qui risquent de faire tâches d’huile.

Faute de n’avoir pu l’abattre électoralement, faute de n’avoir pu le faire taire médiatiquement, faute de n’avoir pu le diaboliser suffisamment… il reste l’Arme Fatale, celle que l’on emploie contre les gangsters, celle qui fit tomber Al Capone, je veux parler de l’Arme financière. Cette arme que maîtrise si bien, à sa manière, notre Président et qu’il a employée avec une redoutable efficacité contre un candidat de droite aux dernières élections est celle qu’il met en œuvre aujourd’hui contre le FN.

On commence par stériliser les flux d’argent par les blocages bancaires, on freine les adhésions en empêchant les paiements par chèques et autres moyens de règlement, on paralyse ainsi  par cette manière sournoise, l’énergie d’un mouvement politique.

Louis XIV faisait graver sur ses canons cette devise: « Ultima ratio Regis » … dernier argument du Roi. En Macronie, faute d’argument, on utilise l’arme des faibles, la mise en examen. Sachant que le fait de poursuivre en justice, reste une façon d’affaiblir l’adversaire devant l’opinion publique, même si au terme de cette procédure, aucune faute n’est reconnue.

A l’heure où j’écris ce billet d’humeur, notre député Louis Aliot, à deux jours de Noël, vient d’apprendre qu’il est victime de l’ultima ratio regis macronus »… du  jeune monarque de passage à Chambord… Quelle coïncidence !

JP A

 

Le jeu pervers du gauchisme

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Suite à mon dernier article titré « De la Justice Idéologique à l’injustice » j’ajoute encore quelques réflexions à un sujet qui mériterait tout un livre.

Les juges actuels sont bel et bien, pour la plupart imprégnés d’un gauchisme intellectuel qui a saturé leurs neurones. Mai 68 est passé par là et s’il n’a pas réussi à l’époque à emporter l’adhésion des français, en l’occurrence du monde ouvrier, il a réussi à créer l’alliance du consumérisme ultra libéral et du néo trotskisme, développé dans les Universités.

A partir de là, il a su tisser des réseaux d’influence gauchistes, dans les écoles ; chez les enseignants et ailleurs encore. On retrouve cet esprit particulier, comme une évidence, à l’Ecole de la Magistrature, qui forme de futurs juges, lesquels, en entrant dans ce métier sont déjà endoctrinés en sortant des collèges et lycées.

Allez donc ensuite les amener à modifier leurs idées préconçues, quand elles ont été forgées par des années de lavage de cerveau. Donc pour savoir ce qui fait le schéma mental d’un fonctionnaire de l’Administration Judiciaire, c’est dans l’idéologie gaucho-trotskiste qu’il faut chercher. Car cette mentalité a touché, non seulement le lumpenprolétariat et les bobos, mais aussi, un certain milieu paysan, mouvance José Bové.

Certes, les protagonistes de Mai 68, sont pour la plupart à la retraite, mais ils sont toujours très influents dans différentes organisations.

On en trouve, bien évidement dans la franc-maçonnerie, dans la Ligue des Droits de l’Homme, dans les associations, dites anti-racistes et surtout, ils ont produit des métastases dans tous les rouages de la société. Dans le Conseil d’Etat, par exemple, qui ne trouve rien de mieux à faire, que de voter contre l’interdiction du burkini, au nom de la « liberté de conscience », pour s’opposer ensuite à l’interdiction des sites terroristes, au nom de « la liberté d’expression ». Rappelez-vous le slogan de Mai 68 « Il est interdit d’interdire ».

On peut aussi, parler de la LICRA, spécialiste des procès à la chaine, contre tout citoyen, pourvu qu’il soit classé : « extrême droite » et soit sorti des rails, entre le licite et l’illicite.

Comme quoi, les gouvernements changent et se succèdent, mais c’est toujours cette même psychologie, d’obédience gauchiste, qui travaille contre toute activité antimondialiste, pro-frontières, pro-identitaire, anti-islam, anti-immigration. Et Macron n’est que le digne successeur de ses prédécesseurs.

Ce gauchisme ne dit pas son nom, car il préfère travailler à l’ombre des lois et sous le label « Républicain » ; il se présente sous deux aspects :

  • LE GAUCHISME INSTITUTIONNEL : Secteur Associatif, Education Nationale, le Judiciaire, culturel, médiatique, show-biz et j’en oublie sans doute.
  • LE GAUCHISME ACTIVISTE : Celui-là, n’est pas intellectuel, mais il crée un climat permanent de contestation pour tout et n’importe quoi, (Antifas, NPA, Anars, etc…) pour, par une guerre d’usure, saper les bases mêmes de l’ordre, qualifié par eux de bourgeois, afin d’imposer un jour, leur alter-mondialisme, pour un monde soi-disant meilleur.

Tous les deux, instrumentalisent l’immigration de masse, pour détruire l’ordre ancien, afin de déboucher sur une société multiculturelle, multiethnique et débarrassée des religions chrétiennes. Ce gauchisme a deux faces relaie celui du Nouvel Ordre Mondial, avec la marchandisation et la globalisation du monde, qui nécessite la suppression des frontières. Ils s’opposent à la volonté identitaire des peuples, jusqu’à vouloir modifier les lois de la Nature, en prônant l’être humain nouveau, par l’unisexe et le métissage généralisé.

Ils se font les alliés et les idiots utiles de la domination sans partage, des Banques et des multinationales, qu’elles soient de l’armement, des transports, des médicaments, de la chimie et autre chose encore.

« Le véritable exil, ce n’est pas d’être arraché à son pays, c’est d’y vivre et de ne rien trouver de ce qui le faisait aimer » (Edgar Quinet).

Onyx

Accident tragique de Millas

Waiting room

ACCIDENT DE MILLAS (Version famille)

A l’heure où les média réduisent cette tragédie à une affaire de barrière levée ou baissée selon les déclarations des témoins, je voudrais vous faire quitter ces lieux sinistres, un instant pour vous retrouver, comme je l’ai vécu, ce samedi après-midi, lors d’une réunion privée, devant la grand-mère du petit Loïc décédé dans le bus. Difficile de faire partager un tel moment d’émotion. Nous avons entendu une grand-mère qui retenant son immense chagrin, n’a pu retenir sa colère pour nous décrire de quelle manière inhumaine, les familles ont été traitées.

Ainsi, convoquées à l’Hôpital de Perpignan, une douzaine de familles sont restées seules plus d’une dizaine d’heures dans une salle d’attente pour que l’on veuille bien annoncer le nom des victimes. Au terme de cette affreuse attente, tel un résultat de tombola, une porte s’ouvrait de temps en temps pour déclarer, sans plus de commentaire que tel enfant était blessé. D’heure en heure la longue litanie se poursuivit, jusqu’au huitième nom. Je vous rappelle qu’il y avait une douzaine de familles, imaginez l’effondrement de ces derniers parents n’entendant pas les noms de leurs petits après tant d’heures d’espérance dans l’angoisse. Et les autres ? Ils sont morts. Voilà comment ont été accompagnées ces familles accablées de douleur, qui contrairement à ce que nous apprennent les chaines d’information seraient soutenues avec la plus grande attention.

Aprés avoir écouté religieusement cette catalane en deuil de son petit-fils, le silence s’est fait tout naturellement, tant nous étions touchés par ce mélange de colère et d’immense peine. L’embrasser que faire d’autre ?

En réalité, la clique ministérielle n’a été vue d’aucune de ces familles… c’est cela la vérité. Le premier ministre s’est contenté de saluer les autorités officielles locales, secouristes, gendarmes et les habituels parasites accourus pour l’occasion. Bravo Monsieur le premier Ministre ! vous êtes venu… c’est bien… et surtout pour que l’on ne puisse pas dire que le gouvernement ne s’est pas déplacé; bien au contraire, vous êtes  arrivé « fissa » mais pour quoi faire ?  Rien d’autre que pour ajouter une séance de com’ à votre palmarès. Ne pensez-vous pas qu’il serait temps de reprendre un peu de chaleur humaine dans les hôpitaux et d’abandonner cette froideur technocratique qui vous caractérise, vous et votre Président.

Jean-Pierre AUREGAN

 

Le procureur Coulomb fait condamner un internaute anti-migrants à 4 mois de prison !

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Le procureur de Rodez, Frédéric Coulomb…

A quoi a pensé, à Rodez, le Procureur Frédéric Coulomb ?… Dans la Dépêche du 16 décembre, on apprend qu’il y a eu un échange verbal entre lui et un prévenu, accusé d’avoir ouvert deux blogs sur Facebook à la limite de l’acceptable selon ses accusateurs. Le prévenu a commis le crime inouï d’écrire « non aux migrants », « fuck islam », « la valise ou le cercueil » sur son blog. Il a écrit ce que tout le monde pense. Ce pour quoi il a été condamné à quatre mois de prison ferme. Un jugement inique. Les Français n’ont plus le droit de dire ou d’écrire ce qu’ils pensent.

C’est un délit d’opinion. Nous ne sommes plus libres. Voltaire, c’est fini. Nous vivons une époque formidable dans laquelle toutes les valeurs sont inversées. Par exemple mettre des lardons dans la boîte aux lettres d’une mosquée coûte plus cher qu’un viol.

Le procureur Frédéric Coulomb, arrivé à Rodez en septembre 2016, et le prévenu auraient dialogué. Ce qui est assez rare car le procureur de la République ne parle presque pas dans le procès pénal. C’est le Président qui mène les débats. Le procureur requiert mais ne juge pas. En général le procureur se contente de proposer une peine dans ses réquisitions. Il se lève pour son réquisitoire, on l’avait oublié jusque là. Puis il se rassied et on l’oublie à nouveau. Sauf s’il se montre agressif et abusif… ce qui est difficilement pardonnable.

Dans cette affaire, le prévenu se disant « provocateur par nature » a mis en avant sa « défense de l’identité aveyronnaise. » Le procureur a répliqué : « il n’y en a pas, c’est une culture ». Voilà un procureur bien bavard. Il aurait ajouté : « la richesse est dans l’échange, pas dans le repli sur soi. » En général un procureur est quelqu’un de discret, qui fait du droit, et qui ne s’épanche pas. C’est mauvais signe lorsqu’il parle trop… cela veut dire qu’il néglige ses véritables attributions.

https://www.ladepeche.fr/article/2017/12/14/2703983-alexandre-dumas-rabelais-et-choderlos-de-laclos-a-la-barre.html#MXOhAZByJeg0OtcK.99

L’identité étant définie par Larousse comme étant les caractères permanents et fondamentaux d’un individu ou d’un groupe, je me demande comment on peut nier l’identité de l’Aveyron et des Aveyronnais.

Dire qu’il n’y a pas d’identité aveyronnaise, là, M. le procureur, vous n’exagérez pas un peu ?… Je n’ai pas une goutte de sang aveyronnais dans mes veines, mais je suis obligée de dire que lorsque je traverse l’Aveyron, je n’ai pas l’impression que les Aveyronnais ne sachent pas qui ils sont ! Ce sont des gens qui ont du caractère et qui le démontrent tous les jours. Un caractère forgé dans ce pays aux hivers durs auxquels il faut résister.

Lorsqu’on lit le sénateur UDI de l’Aveyron Jean-Claude Luche, on n’a pas l’impression qu’il soit à la recherche de l’identité de sa circonscription :

http://www.aveyron-expansion.fr/fr/qui-sommes-nous/presentation-aveyron-expansion.php

L’Aveyron affirme jusqu’à une identité paysagère : http://paysageaveyron.fr/introduction-une-identite-paysagere-de-laveyron/

L’Aveyron a une identité historique : ancien pays des Ruthènes conquis par les Romains, il est devenu le Rouergue. Je vous conseille M. le procureur si vous ne connaissez pas sa riche histoire, dont les habitants d’aujourd’hui proclament qu’elle les a forgés tels qu’ils sont, de vous informer de toute urgence.

http://hotel-lion-or.com/aveyron/histoire-departement/

Pourquoi à votre avis, M. le procureur, les Aveyronnais ont-il besoin de se regrouper lorsqu’ils sont en dehors de leur département si ce n’est parce qu’ils partagent une identité ? Une identité qui les pousse contrairement à ce que vous dites, à s’ouvrir aux autres en même temps. Ce qui prouve bien qu’ils ne se replient pas sur eux. Ce n’est pas du communautarisme.

http://www.20minutes.fr/paris/805728-20111014-il-plus-aveyronnais-paris-aveyron

Avez-vous entendu parler des Rabalaires ? Ce sont les jeunes Aveyronnais à Paris. En quelque sorte l’ambassade de l’Aveyron. Vous avez quelque chose contre les ambassades, M. Coulomb ?… Loin de donner dans le repli, ils mettent de l’ambiance partout où ils opèrent. Avec leur identité aveyronnaise.

https://www.aveyronnais.fr/la-communaute/les-rabalaires

Mais pourquoi M. le procureur vous donner tant d’informations sur l’identité aveyronnaise : à la vérité, vous n’y tenez pas. Car en réalité tout cela est purement idéologique. Vous transportez votre idéologie du vivre ensemble et du remplacisme avec vous jusque dans les couloirs et les prétoires du tribunal correctionnel de Rodez. Elle vous pousse à prendre la parole envers et contre tout. L’idéologie est mauvaise conseillère. En tout cas, si vous pensez qu’il n’y a pas d’identité aveyronnaise, ne venez surtout pas à la Nuit du Rouergue, le 7 avril 2018 à Paris.

Mais le fond du problème, c’est que vous et vos semblables souhaitez voir disparaître non seulement l’identité aveyronnaise mais tout simplement l’identité française. Pour mieux dire que la France, cela n’existe pas. Pour mieux nous empêcher de montrer notre indignation devant le grand remplacement. Pour mieux nous asservir à une idéologie totalitaire, à des mœurs, à une histoire qui nous sont étrangères. Pour mieux nous empêcher de nous défendre. Car ne sommes-nous pas en guerre ?…

Dans cette optique, la présidente du tribunal a déclaré que se plaindre de l’immigration pourrait « donner des idées d’attentats à nos migrants », suffisamment déséquilibrés d’avoir quitté leurs pays en guerre sans avoir en plus à souffrir d’un accueil qui ne serait pas franchement enthousiaste…

Certains migrants, a-t-elle souligné, pourraient être tentés de passer à l’acte en cette période d’attentats. N’est-ce pas là reconnaître plus ou moins franchement le danger que nous font courir ces gens-là ?… N’est-ce pas montrer et avouer la dangerosité des migrants dont on nous impose la présence ?… Dangerosité dont nous n’avons par ailleurs pas le droit de nous plaindre. Et vous participez, vous les magistrats du siège ou du parquet, à cette entreprise par vos réquisitoires ou vos jugements destinés à faire taire les patriotes.

Vous voyez, M. le procureur, le danger qu’il y a de trop parler dans l’exercice de vos fonctions, qui requièrent la neutralité. Vous et la présidente du tribunal correctionnel avez trop parlé et vous voilà démasqués. Vous êtes coincés. Vous n’avez pas le beau rôle. C’est le moins que l’on puisse dire. Vous êtes des fossoyeurs.

Pendant ce temps, à Alès, un homme prévenu d’avoir porté un T-shirt sur lequel était inscrit « un bon flic est un flic mort », a été relaxé. On a inventé pour le relaxer un vice de procédure.

Mais ne nous y trompons pas, à l’époque où des policiers se suicident tous les jours tant ils sont sous pression et sans aucun soutien de l’Etat, à l’heure où les attentats leur font courir des risques vitaux, à l’heure où des Français sont tous les jours condamnés pour incitation à la haine alors qu’ils n’agressent personne et ne font que se défendre et défendre leur pays, on peut sans problème inciter à tuer du flic. Notre prévenu de Rodez, lui, n’avait incité à tuer personne, il avait juste donné son opinion et marqué un ras-le-bol bien compréhensible, que tout le monde partage.

C’est que nos juges haïssent tout simplement les patriotes qui dénoncent l’invasion migratoire. En dignes héritiers gaucho de mai 1968, ils haïssent aussi les flics puisqu’ils applaudissent quand il est question de les tuer.

La justice « aux ordres » de ce pays travaille avec nos ennemis dans le but de supprimer nos identités pour mieux nous asservir. Elle travaille contre la France et les Français.

La justice de ce pays est une justice politique, rendue par des commissaires politiques, au nom de leurs opinions politiques. Ils devront un jour s’en expliquer et faire face à des condamnations qui, on l’espère, seront sans faiblesse. On attend ce jour avec impatience.

Sophie Durand pour Riposte laïque

D’une justice idéologique à l’injustice

Your-Honor

La profession de magistrat est la seule qui n’ait de comptes à rendre à personne. Elle est intouchable et sûre de son impunité. Est-il normal que les juges soient nommés par le Pouvoir ? Qu’ils puissent appartenir à un syndicat très politisé, comme le fameux Syndicat de la Magistrature, célèbre pour son « mur des cons » ?

Il serait juste, par contre, qu’ils soient tenus à rendre des comptes à l’occasion de jugements partiaux, ou d’erreurs Judiciaires. Il existe dans la police, une Police des polices chargée de faire la lumière sur les comportements policiers déviants ; pourquoi la Magistrature ne serait-elle pas soumise à pareille exigence ?

Il suffit seulement d’être perçu, par cette Justice, comme ne répondant pas aux critères exigés par la bien pensance pour être mis au même niveau de dangerosité que des fichés S ; et même pire encore. Beaucoup de juges actuels sont formatés par un gauchisme intellectuel, avant même d’entrer à l’Ecole de la Magistrature. Non seulement, leurs jugements sont en conformité avec leur logiciel mental, mais ils sont appuyés et couverts par le Pouvoir en place ; lui-même dépendant de la même idéologie.

Partant de ce constat, on peut dire que la démocratie est maintenant derrière nous. Car comment parler de démocratie, dans une période où la simple liberté de s’exprimer et surtout d’écrire est supprimée ? Aujourd’hui, imagine-t-on Coluche, Desbroges ou Michel Leeb parler comme dans les années 80 ?

Alors que Éric Zemmour, Christine Tassin ou Pierre Cassen de Riposte Laïque, sont traqués, pour leurs opinions et prennent des procès à la chaine, pour simplement quelques vérités. Et comme l’écrivait Georges Orwell « Dans une époque de supercherie universelle, dire la vérité, est un acte révolutionnaire ».

Quant à la République, elle n’est pas forcément un modèle de vertu. C’est devenu un système politique qui ne garantit pas toujours, la liberté, la démocratie ou le pluralisme. S’en revendiquer, n’est qu’un bouclier, pour faire taire ceux qui dérangent, car n’entrant pas dans le moule du « politiquement correct ».

 En réalité, le peu qui reste de véritable démocratie, en France, s’inscrit dans un seul sens. Vous pouvez vous exprimer, certes, mais à la seule condition de rester dans les limites tolérées par les maîtres à penser, qui ont défini une fois pour toutes, ce qui peut se dire et ce qu’il est interdit de dire.

Certains sujets, certaines paroles, certains mots, sont tabous, et il y aura toujours quelqu’un, ou un collectif quelconque, qui vous menaceront de procès au nom de leur morale politique bien-pensante, après avoir lu un article de journal, qui ne leur plait pas, en se portant partie civile, comme c’est arrivé en 2015 à des sympathisants du FN qui écrivaient dans le Journal de Millau, au sujet des clandestins. Ce qui, avouons-le, n’est pas très digne, ni courageux, car on peut très bien échanger des idées et des arguments, sans se servir des lois liberticides, dites de Pléven et Gayssot. La menace chez eux, remplace l’échange verbal ou épistolaire. Mais quand on croit appartenir au camp du Bien, celui de la gauche moralisatrice, qui est aussi celui du progrès, de la vertu et de l’humanisme, on peut se permettre en toute sécurité, de la faire fermer à ces odieux de mal pensants, surtout quand on est protégé par la loi, toute puissante.

Cela en toute démocratie républicaine et droit-de-l’hommisme socialiste. Ces gens ne se rendent même pas compte, que par leurs interdits et demandes de sanctions, ils se transforment en petits Commissaires politiques qui auraient fait merveille en ex-URSS.

Nous ne demandons, finalement, pas grand-chose ; seulement pouvoir nous exprimer dans un journal local, sans devoir nous auto-censurer continuellement. Sinon c’est bien la confirmation que nous ne sommes pas en démocratie mais dans un totalitarisme mou, mais un totalitarisme quand même, qui ne dit pas son nom.

Onyx