La République des Copains et des Coquins

Macron-Benalla

Serait-ce le scandale d’Etat de l’année ? Celui qui ferait basculer jusqu’à sa dernière limite l’autorité et la compétence de notre actuel Président de la République… Celui à qui jusque là la chance souriait outrancièrement.

Baraka toute personnelle, grâce à la finance de la super classe mondiale et à la courte échelle du monde médiatique qui à présent semble préférer la recherche de la vérité. On ne sait jamais, le vent peut tourner, après tout.

Comment un simple vigile de supermarché, taillé en videur de boite de nuit, a-t-il pu accéder si facilement à la proximité inséparable du couple Macron ? Un garde du corps qui semblait jouer le rôle du numéro deux d’un Chef d’Etat. On connait les accusations : Elévation au grade de Lieutenant-Colonel de Réserve sans la moindre formation militaire, voiture de fonction, logement quai Branly, accès à la villa présidentielle du Touquet, salaire de 6000 € Net mensuel.

On peut toujours penser que tout cela est inventé dans le but de nuire à la personne de Macron. En politique on ne fait pas de cadeaux. Seulement voilà, maintenant que le terrier du lièvre est découvert et que Benalla ne bénéficie plus de la protection de Jupiter, les langues se délient. Des témoins parlent, des policiers s’expriment et font le portrait de ce personnage qui régnait en despote sur le personnel du GSPR et se permettait de donner des ordres à des gradés de la gendarmerie, en court court-circuitant les services de la République tout en bénéficiant de passe droits illégitimes exorbitants.

Un Lahcene Benahlia, devenu Alexandre Benalla, mais je me garderai bien de lui reprocher d’avoir francisé son nom de famille. Ce n’est pas courant chez les musulmans… à moins que ce soit dans un but plus intéressé que l’amour de la France. On sait aussi qu’il avait auparavant été congédié en tant que chauffeur d’une personnalité haut placée pour tentative de fuite après un accident. Ce qui ne l’avait pas empêché de se rapprocher du Pouvoir, au point de devenir le principal homme de confiance.

Et tout allait comme sur des roulettes jusqu’à ce grain de sable qui grippe une machine bien huilée. Des coups portés à 1 ou 2 gauchistes qui comme c’est traditionnel chez eux insultaient allégrement les CRS et leur résistaient âprement. Après tout, on peut dire que c’est bien fait pour ces deux individus d’avoir pris quelques torgnoles, sans conséquence d’ailleurs. Pour une fois qu’un gauchard se fait bousculer on ne va pas en pleurer. Seulement des photos sont prises et dans le pays ou les médias défendent surtout les « droits » de ceux qui manifestent bruyamment, le scandale éclate jusqu’au sommet de l’Etat. Le Ministre de l’Intérieur est aux abonnés absents. Il n’a rien entendu. Mais sert-il à quelque chose au fait ? Ces deux victimes auraient-elles soulevé autant d’indignation si elles avaient été des « identitaires » qualifiés « d’extrême droite » ? J’en suis moins sûr ! On a vu dernièrement des policiers mis en examen pour avoir répondu à un voyou provocateur pour une simple gifle.

Macron jusque là silencieux en espérant que l’affaire se tasse, que le public se lasse et que tout ce bruit fasse pschitt (dixit Chirac) passe maintenant du silence radio, puis de la défensive à l’offensive verbale sans concessions. Pour lui tout est faux. Il n’y a jamais eu de salaire mirobolant, de grade de Lieutenant-Colonel, de voiture et logement de fonction, d’usurpation de fonction, de port illégal d’insignes et de prérogatives disproportionnées etc. etc. … Circulez il n’y a rien à voir !! Réponse à MG : Il n’a jamais été mon garde du corps, il n’était pas mon amant (quelqu’un aurait-il des doutes ?) à ce sujet ? Certaines mauvaises langues sur le NET pensent à Brigitte mais ce ne sont que des fakes news. Nous nous sommes fréquentés pendant deux ans. Il était très sensible à la cause musulmane et à la ligue de Défense Judiciaire des musulmans (de l’avocat Karim Achoui). En tout cas pour le Préfet, mis en devoir de s’expliquer, c’est une affaire de copinage malsain.

Bref, Macron rejette en bloc tout ce qui est dit sur lui et recherche des fusibles. Mais il apparait de plus en plus comme un Président inexpérimenté, arrogant et méprisant, ayant employé un collaborateur tout aussi inexpérimenté et certainement tout aussi prétentieux et égocentrique que lui « qu’ils viennent me chercher » dit-il par bravade. Comme à l’école primaire devant des gamins qui lui cherchent des noises. Sachant surtout que personne n’ira le chercher.

Il déclare aussi qu’il est seul coupable. Mais alors comment prétendre que tout est faux dans ces accusations ? Ou est la cohérence dans son propos ? Comment peut-on être innocent et coupable en même temps ? Attendons-nous à de prochains contre-feux, l’homme Macron a plus d’un tour dans son sac et entame la reconquête… Mais les masques tombent et la République irréprochable et transparente apparait pour ce qu’elle est : UNE TROMPERIE

Onyx

Le collectif Solidarité migrants Wilson jette l’éponge

Wilson

Dénonçant une situation « explosive » Porte de la Chapelle, le collectif Solidarité migrants Wilson, actif depuis 20 mois auprès des exilés, ferme son local et interrompt ses activités.

Une situation intenable. Une violence devenue insoutenable. Présente depuis plus de vingt mois, porte de La chapelle (XVIIIe), pour venir en aide aux exilés, le collectif Solidarité migrants Wilson qui a distribué au total quelque 250 000 repas, jette l’éponge à la fin de ce mois. Et annonce qu’elle ferme son local du boulevard Ney.

Avant de se retrouver, au mois de septembre pour décider de la suite à donner éventuellement à l’action.

« La Chapelle est devenue un endroit extrêmement dangereux, où les exilés, hommes, femmes, enfants, vivent dans des conditions sanitaires épouvantables : ils sont au moins 700 personnes, en permanence, avec seulement deux points d’eau, qui ont été rétablis par la Ville après des dizaines de mails de notre part. Une bataille épuisante, détaille Clarisse, bénévole du Collectif. L’un est à côté de la déchetterie… Tout un symbole. Et, pour la deuxième année consécutive la, les bains-douches des environs sont fermés pour l’été. Les conditions d’hygiène sont très préoccupantes. Nous voulons alerter les pouvoirs publics sur le caractère totalement explosif de la situation et les appeler, une fois encore à prendre leurs responsabilités ».

Un migrant est-il décédé la semaine dernière ?

Evacué au mois de juin, le camp de la Porte de la Chapelle s’était immédiatement reconstitué, tout comme le squat de la Colline du crack, qui abrite une centaine de toxicomanes. « Les réfugiés, qui sont déjà dans un état de santé physique et psychologique très précaire, sont à la merci des trafiquants et crackers de toutes sortes, soulignent les bénévoles. La cohabitation entre ces diverses populations se passe mal. Les personnes toxicomanes sont en souffrance mais elles sont aussi agressives, y compris avec nous. La tension sur les petits-déjeuners est palpable et va en s’aggravant. Nous redoutons chaque jour le drame qui ne manquera pas d’arriver, et nous avons toutes les raisons de penser qu’en août, avec l’arrivée attendue de réfugiés en plus grand nombre encore, la situation va être pire. »

Le 25 juillet, le collectif a annoncé sa décision de fermer le local, sans savoir, encore, qu’un migrant soudanais était décédé sur le campement la veille au soir. Une information qui n’a pas été confirmée par la préfecture de police.

« Selon les exilés, cet homme serait mort à quelques pas de notre local, et les secours auraient emmené son corps. Si cela était confirmé, précise Clarisse, il s’agirait du second décès. » Karim Ibrahim, un réfugié soudanais de 30 ans, a été retrouvé mort devant l’ancien centre de premier accueil, la Bulle, le 8 mars dernier.

« Mais, reprend la bénévole, nous sommes persuadés que les décès sont bien plus nombreux que cela : certaines personnes que l’on voyait aux distributions ont brusquement disparu du jour au lendemain. De très nombreux réfugiés sont malades, blessés de guerre, il leur est très compliqué de se faire soigner. Des gens meurent de manque de soin ou se suicident. Sans parler des personnes qui sombrent dans la folie, à force de tourner en rond, pour certains parfois depuis des années. »

ELLE OUBLIE DE DIRE QU’ILS SE TUENT ENTRE EUX !

Source : Le Parisien

Techniques de survie

Aujourd’hui tout va bien, mais … si tout bascule subitement, comment allons-nous réagir ? Une inondation, un virus qui se propage, une explosion; ces hommes sont prêts.

Suivez ces 4 anciens marines qui vous apprendront à suivre à n’importe quel scénario de fin du monde.

Macron pris la main dans le S.A.C.

barbouzes-affiche

L’affaire Benalla ne fait que nous remettre en mémoire une époque  où les polices parallèles faisaient ouvertement un travail de « nettoyage » au profit des gouvernements en place. Il est notoire que durant la présidence du  général de Gaulle, ces faits étaient devenus d’une banalité affligeante. Le général, lui-même  avait sa propre milice dénommée le S.A.C (Service d’Action Civique!!!) dirigée entre autres patrons, par Pasqua. Les « barbouzes » du SAC s’activaient alors, sans trop de scrupules et de façon quasi permanente, en parallèle des services officiels, au profit de l’Elysée. Cette garde prétorienne  fut très souvent mise en cause  pour de nombreuses affaires de meurtres ou d’escroqueries. Ainsi des criminels, tel Jo Attia, furent membres de cette association… n’en déplaisent aux gaullistes inconditionnels. Aurais-je sali une légende ?

Le protégé de notre Président actuel à qui l’on reproche, aujourd’hui, de posséder un badge officiel n’a fait que suivre l’exemple de ces sbires qui étaient, eux aussi, possesseurs d’une carte-badge tricolore au format semblable à celui d’une carte d’identité nationale … Rien de bien nouveau.

Contrairement à ce que nous laissent croire nos députés de la France en Marche, les changements promis se font toujours attendre et les moyens employés n’ont rien de très différents.

La mise en place par le pouvoir de structures secrètes travaillant parallèlement  aux services officiels, au profit d’intérêts particuliers est surement le détournement le plus grave. Ces polices finissent par éclabousser, tôt ou tard, les hommes qui les ont tolérées.

Ainsi François Mitterrand, pourtant le premier à critiquer les méthodes gaullistes, ne put s’empêcher de créer sa « cellule élyséenne » dirigée par Christian Prouteau. A sa demande personnelle, pour éviter les révélations concernant sa fille naturelle et son passé à Vichy pendant la Guerre, il fit appel, lui aussi, à des conseillers de l’ombre. S’ajoutant à l’affaire des « écoutes téléphoniques »  ces faits, qui rappellent ceux du Prince, ont terni durablement sa mémoire.

En réalité, chaque Président a travaillé avec des conseillers en cachette des institutions, mais aucun n’a eu le culot de jouer les oies blanches couvertes de vertus  et de l’annoncer publiquement. C’est là qu’il y a problème.

Dans l’Histoire on peut vérifier qu’aucun ministre, ni homme d’Etat n’a pu se passer de ces hommes qui ont la mission d’éteindre les affaires judiciaires susceptibles de les menacer. On ne s’étonnera donc pas qu’il existe nécessairement une grande porosité entre ces hommes et les fonctionnaires de l’Etat, (préfets et commissaires de police, magistrats compris ).

Le pouvoir de l’Assemblée se trouve d’autant plus affaibli que celle-ci n’est souvent informée qu’à travers les filtres des média. Ce qui vient de se produire dans le cas présent est une mise devant le fait accompli qui sidère les français.

Macron, ne l’oublions pas, est un brillant diplômé de l’ENA,  école réputée pour son enseignement de la Rhétorique, cet art de faire de beaux discours et de former de futurs grands débatteurs qui auront réponse à toutes les  objections. Donc ne nous attendons pas à autre chose qu’à une pirouette oratoire lorsqu’il prendra un jour, peut-être, la parole sur ce grave sujet.

Méfions nous de cet homme qui nous a souvent  prouvé sa parfaite maîtrise  de la com’, à laquelle il doit toute sa notoriété, en dépit de la vacuité de ses propos.

Aujourd’hui, cette affaire Benalla a au moins le mérite de nous révéler la faiblesse de la stature jupiterrienne de Macron. L’homme qui se disait d’une  probité quasi divine, et qui le faisait savoir à la France entière, pensait sans doute, pouvoir rivaliser avec de Gaulle, en appliquant ses méthodes … mais patatras … Il s’avère finalement que le présomptueux n’a pas la carrure pour revêtir l’uniforme. Ce que l’on peut éventuellement admettre pour l’un en raison de son passé est devenu insupportable pour celui qui n’a rien su prouver à ce jour.

Jean-Pierre AUREGAN

Enfin, un Imam pacifiste … oui on en a trouvé un !

Tawhidi

Entretien. Le prêcheur chiite australien, autoproclamé “imam de la paix” sur Twitter (@imamofpeace), est à la pointe du combat contre les extrémistes islamistes et leurs complices gauchistes, qui veulent détruire l’Occident. Il a répondu aux questions de Valeurs actuelles, qui lui consacre aussi un portrait dans son numéro du jeudi 19 juillet.

Quel a été votre parcours personnel, familial et religieux avant d’arriver en Australie ?

Je représente la troisième génération d’imams musulmans. De ce fait, j’ai été élevé au sein d’une famille et d’une communauté très conservatrices et religieuses. J’ai fait mes études dans des écoles musulmanes privées, des universités musulmanes chiites et sunnites en Australie, et en 2006, je me suis rendu en Iran pour poursuivre à un niveau supérieur mes études islamiques. J’ai été ordonné publiquement imam en 2010 et suis resté actif depuis. J’apprécie de construire des ponts entre différentes communautés et groupes religieux, et répandre la paix partout où je voyage.

Vous avez qualifié la Palestine de “nation de menteurs et de terroristes” et vous défendez Israël. D’où tenez-vous ces opinions anticonformistes ?

Cela n’a rien à voir avec Israël. C’est lié aux droits du peuple juif, et il y a une différence significative entre Israël en tant que pays et le peuple juif en tant que nation religieuse. Je suis une figure religieuse, donc j’étudie les situations avec les lunettes de ma religion et l’histoire des religions abrahamiques. La nation juive (les Israélites) a existé dans la région palestinienne et à Jérusalem avant les musulmans. Je ne peux pas nier le fait que nos califes musulmans ont envahi la région et conquis leur terre. Je crois que le peuple juif a le droit d’exister et d’avoir un pays. De nombreux juifs, dont j’ai défendu les droits, sont opposés à Israël. Cela n’a rien à voir avec Israël et la Palestine mais avec le droit fondamental d’exister.

Des musulmans vous ont surnommé le “faux cheikh” d’Australie. D’autres vous accusent d’avoir des “opinions anti-musulmanes” et même de mener un double jeu. Quelle est votre réaction à ces attaques ? Comment expliquez-vous ces critiques ?

Aucun leader de la communauté musulmane ne m’a accusé d’être un imposteur. Ceux qui m’accusent appartiennent au régime iranien ou aux Frères musulmans, qui sont tous les deux considérés comme terroristes par de nombreuses agences gouvernementales. Donc cela ne me gêne pas. J’apprécie les solides relations que j’entretiens avec des centaines d’officiels gouvernementaux à travers le monde, et je suis régulièrement impliqué dans des activités gouvernementales ou parlementaires aux Etats-Unis, au Canada, en Australie, etc.

Une université, gouvernée par le régime iranien, a publié un communiqué affirmant que je m’étais retiré en 2012. C’est vrai. C’est parce qu’ils voulaient faire de moi un combattant du Hezbollah.  J’étais alors déjà ordonné érudit en 2010 avant d’entrer à l’université pour poursuivre mes études. Aussi, lors de mon séjour en Iran, j’ai développé une relation solide avec de hauts officiels gouvernementaux comme Hassan Khomeini. Je ne suis pas responsable de ce dont m’accusent les gens, c’est à eux d’en apporter les preuves. Une enquête a été menée par l’Institut royal australien pour vérifier mes références, et elle a démontré que toutes les rumeurs sur moi sont fausses, même si les médias les ont rapportées. Elles ne reposent sur rien du tout. Toutes les preuves sont sur mon site.

Par ailleurs, je n’ai pas d’opinions antimusulmanes mais anti-extrémistes. Je défends des frontières plus sûres et moins de mosquées extrémistes. Je pense que c’est rationnel plutôt qu’antimusulman. Je soutiens aussi les communautés musulmanes pacifiques et visite de nombreuses communautés musulmanes dans le monde.

Craignez-vous pour votre sécurité ? Quelles mesures de protection avez-vous prises ?

Avant, j’avais peur. Maintenant, j’ai accepté le fait d’être tué à tout moment. Au cours des années précédentes, j’ai récolté des dons pour renforcer la sécurité autour de ma maison. Cependant, j’ai aujourd’hui une puissante équipe qui assure ma sécurité. Des centaines de personnes font toujours des dons pour financer ma sécurité parce qu’ils croient dans la valeur de mon activisme. Je leur suis très reconnaissant.

Vous avez écrit sur Twitter : “Avant que le terroriste adopte un gilet explosif, il adopte une idéologie explosive.” Pensez-vous que l’islam soit une religion violente ?

L’islam est une religion. Toutes les religions peuvent être utilisées de façon violente. Toutefois, le problème avec l’islam est que la majorité de ses fidèles suivent des enseignements violents. Selon moi, des livres sacrés comme le Sahih d’al-Bukhari et les nombreux autres publiés par le Hezbollah et le régime iranien contiennent des enseignements dangereux. Ils sont disponibles dans toutes les mosquées et suivis par la majorité des musulmans. Cela doit changer.

En France, nombreux sont ceux qui demeurent attachés à leurs racines chrétiennes et redoutent l’influence grandissante de l’islam et de ses signes les plus visibles (hidjab, burkini, halal, prières de rues…). Comprenez-vous cette peur existentielle ?

Ces signes visibles sont des symboles de pouvoir. Prier dans la rue est inacceptable. Selon la jurisprudence islamique, les musulmans ne peuvent pas prier sur une terre qui n’est pas la leur ou sur laquelle ils ont la permission de prier. Je comprends la peur de la majorité de Français, et je pense que vous avez besoin d’un gouvernement qui comprenne les inquiétudes du peuple. Je travaille à chasser les extrémistes de la communauté musulmane, mais je ne peux pas les chasser du pays. C’est au gouvernement de le faire.

Vous êtes l’une des principales voix qui militent pour réformer votre religion. Quelle est votre vision d’un islam moderne et comment y parvenir ?

Je promeus ce qui suit : vivre et laissez vivre, respecter la vie humaine, croire dans vos croyances et permettre aux autres de croire dans leurs croyances, maintenir la paix et l’entente entre tous, et affirmer le concept de coexistence.

Que pensez-vous du concept d’islamophobie ?

L’islamophobie n’existe pas. S’il y avait de l’islamophobie, alors nous les musulmans serions islamophobes. Nous avons tué la famille du prophète Mahomet et nous avons fui les pays musulmans pour venir et vivre en Occident. Cela ne ressemble-t-il pas à de l’islamophobie ?

Quelles relations entretenez-vous avec les chrétiens ?

J’ai une très forte relation avec de nombreuses communautés chrétiennes. Je vis à côté d’une église et je laisse les fidèles utiliser mon allée pour garer leurs voitures le dimanche. L’archevêque m’embrasse quand il me voit, il m’appelle “mon Fils” et je l’appelle “mon Père”.

Vous défendez le décret anti-immigration et le courage de Donald Trump, et critiquez le progressisme et la naïveté de Justin Trudeau. Vous considérez-vous comme un conservateur ?

Oui, je suis un conservateur. La vie m’a fait conservateur. Les membres de ma famille ont été exécutés, brûlés vivants et bannis par les gouvernements islamistes et Daech. Je suis né réfugié de guerre sans aucun papier. J’espère que cela clarifie pourquoi j’ai des convictions fermes sur l’immigration et l’extrémisme islamiste.

Trump a fait des erreurs et il n’est pas un saint, mais il a raison sur les frontières et l’extrémisme islamique. D’un autre côté, je ne crois pas que Trudeau soit qualifié pour être Premier ministre, mais pour être assistant d’un député ou sénateur. Il a ramené au Canada des combattants de l’Etat islamique et a accordé des droits à des terroristes islamiques condamnés. Même l’Arabie saoudite ne fait pas cela. Trudeau est très confus et ses priorités sont désordonnées. Il se soucie plus d’être “gentil” que d’être “juste”.

Pensez-vous que le politiquement correct soit un mal pour la liberté d’expression ?

Le politiquement correct ne fait taire que le faible. Il ne peut pas nous faire taire tous et il ne peut pas durer éternellement. L’Occident est constitué de personnes hautement éduquées et conscientes qui admettent les faits. Le politiquement correct peut avoir tué la liberté d’expression dans certaines parties de l’Occident, mais la question est : l’Occident est-il devenu faible, ou les extrémistes islamiques sont-ils devenus plus forts ?

Vous êtes populaire, franc et même drôle sur Twitter. Votre style est d’ailleurs très inhabituel pour un imam. Etes-vous un provocateur ?

Je ne suis pas un provocateur. J’utilise le sarcasme et l’humour de temps en temps, parce que j’ai un public en ligne d’environ 300 000 personnes. Tous viennent d’origines, de cultures, de religions et de pays différents. J’ai donc besoin de faire passer mon message à tous. L’humour est une arme pacifique mais létale pour faire honte aux djihadistes. Nous devons les dépouiller de leurs boucliers sacrés et les exposer pour ce qu’ils sont vraiment. La meilleure façon de détruire une communauté corrompue, qui agit au nom de Dieu, est de la ridiculiser. Je suis musulman et je sais comment ma tribu pense.

Etes-vous déjà venu en France ?

Lors de l’attentat de Nice, j’ai rencontré l’ambassadeur français en Australie et fait parvenir mes condoléances à la nation française. J’ai également signé une déclaration de paix à remettre au maire de Nice par l’intermédiaire du consulat honoraire français d’Australie du Sud. J’ai même été en France en février dernier. J’aime la France !

Source : Valeurs actuelles

Et voici donc la deuxième étoile

Etoiles

Ce n’est pas la seconde consécration culinaire du guide Michelin ! Ce ne sont pas non plus les deux étoiles tant enviées par nos officiers supérieurs, dont un à titre temporaire en 1940 devenu le général micro en juin 1940. Car beaucoup d’autres sont allés rejoindre le poulailler des officiers généraux.

Un des seuls Officiers Généraux à ma connaissance s’évada deux fois d’abord comme Capitaine en 1915 et Général d’Armée cinq étoiles en1942, il est vrai qu’il fut l’un des rares récidivistes, car de Gaulle restera tranquille de Mars 1916 à Novembre 1918.

Je veux parler du fameux Général Giraud qui devint pour son grand malheur adversaire du Général de Gaulle en Afrique du Nord en 1943.

Non rien de cela ! Simplement il s’agit de la deuxième étoile sur le nouveau maillot de l’équipe, dite de France, réclamée depuis le 15 Juillet 2018 par des milliers d’abrutis … Mais que voulez-vous dans cette France envahie par le foot et le mercantilisme Européen.

Notre hyper président actuel E. Macron, plus fort que notre ancien bonimenteurs Sarkozy, finit par des ordonnances, la destruction des acquis sociaux durement gagnés depuis 1945 par le Conseil National de la Résistance mis en route par Jean Moulin. Cet homme-là voit, comme Jacques Chirac en 1998, sa cote de popularité descendre de jour en jour et croit comme le crût l’homme des quinze minutes douches comprises, avec la victoire des bleus, se refaire comme au poker avec arrogance. Mais ce petit coquelet de l’Elysée va bientôt se faire rattraper par les réalités d’un peuple en colère, qui va descendre dans la rue cet hiver quand il aura faim et froid ; il suffira alors d’un remake de la fusillade du 26 Mars 1962  pour que ce petit freluquet prenne un avion Falcon du GLAM (avion ministériel) pour les USA, comme ses compères prirent le Massalia à Bordeaux pour l’Afrique du Nord, quand tout brulait en Juin 1940.

L’histoire est un éternel recommencement tout comme la deuxième étoile à titre temporaire qui migra à Londres de 1940 à 1943 puis à Alger de 1943 à 1944. Triste souvenir, mais l’histoire se répète parfois… Pour le foot c’est l’opium du peuple, jadis c’était la religion chrétienne vue par Marx, maintenant c’est le foot vu par Macron.

Isidore

Le Conseil Constitutionnel au service d’une Oligarchie

conseilconstitut

De faux sages, au nom d’un prétendu devoir de fraternité, viennent d’abolir le délit de solidarité. Cela sans tenir compte de l’avis d’une grande majorité de citoyens qui trouvent que le maintien du délit de solidarité est nécessaire. Il suffirait pourtant de faire un référendum sur ce sujet pour démentir cette initiative.

Mais finalement, si l’on va au fond des choses en supprimant le délit d’aide à des clandestins qui se permettent d’entrer sur le territoire national sans un visa dûment tamponné et même sans le moindre papier d’identité, c’est instaurer le devoir d’aide à des gens qui ne respectent pas nos lois et un encouragement à frauder de toutes les façons. Après tout, au nom de ce principe plus anarchiste que républicain, on ouvre la porte à des gens quelquefois estimables certes, mais aussi à n’importe qui. Peut-être des islamistes prêts à passer à l’acte, mais aussi à des voleurs, des violeurs ou simplement des resquilleurs qui cherchent à se faire passer pour réfugiés venant de pays en guerre.

Non le Conseil Constitutionnel n’a pas tous les droits. Sa fonction c’est d’être à l’écoute du peuple. D’être au service de la population qui par ses impôts le paye grassement et non le contraire. Comme toujours c’est une oligarchie se prétendant plus républicaine, plus fraternelle que les autres qui pèse de tout son poids sur les lois en vigueur qui ne lui conviennent pas et veut les changer dans le sens de son idéologie mondialiste. Le tout avec des grands mots qui impressionnent toujours le lecteur influençable, dont le principal d’entre eux serait le devoir de fraternité.

Bien sûr, la fraternité est une belle vertu écrite au fronton de nos mairies. Seulement hélas elle n’a jamais trop existé entre citoyens. Il n’y a qu’à voir la détestation féroce qui existe entre partis politiques. Alors que maintenant où il deviendrait nécessaire de durcir les mesures devant les problèmes migratoires qui se posent, de doux rêveurs veulent instaurer un devoir de solidarité. Mais pas entre citoyens, se serait trop mesquin pour eux mais pour tous ceux qui entrent illégalement dans notre pays. Si cette abrogation saluée comme une victoire a l’odeur de la générosité, elle ne reste qu’une forfaiture de plus dans un Etat qui se décompose.

Onyx