Le Passe ne passe pas

Serions nous revenus aux « heures sombres de l’histoire » ? Pas de liberté  pour ceux qui réclament  la liberté. De plus, on est priés de s’habituer à ce système coercitif qui exige la servitude volontaire.

Ainsi, à peine 20% de gens imposent leur volonté à 80% de la population. Et ils l’imposent par une peur, savamment entretenue et confortée par l’exigence d’un bout de papier baptisé « passe sanitaire ».

L’employeur devra contrôler ses employés, les soignants non vaccinés ne seront pas payés, et avec le souhait que les non-vaccinés ne puissent plus bénéficier des remboursements médicaux. Plus d’accès libre dans les cafés, les restaurants, les cinémas etc… etc…

Un certain conseiller ministériel du nom de Benjamin Attal résume ces mesures en quelques mots « Nous réserverons une vie de merde aux non-vaccinés ». Avec ce genre d’individu payé grassement pour un emploi inutile, les ministres sont tellement bien conseillés que notre pays plonge vers le désastre.

Et Castex, que notre président a sorti de son anonymat campagnard pour en faire un premier ministre,  nous promet une vaccination obligatoire, courant septembre, si le quorum vaccinal n’est pas atteint.

On aurait pourtant pu compter sur l’Assemblée Nationale pour faire échouer ce plan totalement liberticide. Mais comment attendre  des députés un soutien populaire de la part d’un  Parlement godillot ?

La 3/4 des députés étaient absents malgré leur très républicaine rémunération. Rester bien payé sans rien offrir en retour, voilà un job idéal par ces temps de chômage !

Selon l’avocat Régis de Castelnau, Véran a demandé une deuxième lecture avec seulement 20 participants  pour faire passer la loi en force. Ce qui ressemble quelque peu à une certaine loi refusée par le peuple et  votée ensuite par un Parlement tout dévoué à Sarkosy.

Quant au Sénat, il ne fallait pas en attendre davantage. Ce qui prouve que ces Institutions sont dans la main de l’Exécutif.

Et le Conseil Constitutionnel avec un Fabius et un Juppé pour décider de la suite à donner à ce passe-sanitaire pourtant anti-constitutionnel. C’est mal parti ; peut-on seulement compter sur eux pour l’annuler ou le réformer ? Sinon les derniers recours seront le CEDH ou la révolte populaire.

Un régime totalitaire c’est quand  un clan décide de la loi, en donnant l’illusion de la démocratie, tout en passant par les instances réputées, comme garantes des valeurs dites « républicaines ».

Un exécutif, pourtant en désaccord avec l’OMS et le Conseil de l’Europe, qui se sont prononcés contre toute mesure coercitive pour imposer les vaccins. En d’autres temps, cette forfaiture aurait eu pour nom : Tyrannie.

Et les résistants à ces vaccinations imposées  sont nombreux. Des milliers et des milliers, à Paris et dans toutes les villes. Mais réduites systématiquement de moitié par les médias du Système.

Des gens qui refusent qu’on leur inocule dans le sang des substances qui n’ont rien de rassurant, (thérapie génique, ARNm) contrairement aux vaccins classiques comme le Sinovac (Russie) à virus inactivés, qui ont déjà fait leurs preuves. Tout en attendant le vaccin, qui serait plus sécurisant de Sanofi.

La personne qui se soucie quelque peu de sa santé n’achètera pas un produit de consommation, sans regarder la liste des ingrédients : OGM, conservateurs chimiques, colorants, avec moins   de sucre, ni de sel, etc…

Or dans les vaccins c’est le flou complet. Faites vous piquer, un point c’est tout ! Des spécialistes savent mieux que vous ce qu’il vous faut. En plus, les virologues ne sont pas d’accord entre eux. Ce qui n’encourage pas les hésitants à accepter la piqure. Et les médecins qui contestent ces vaccins ne sont jamais invités sur les plateaux TV. Mais la gravité du virus justifie t-il la contrainte d’un passe sanitaire ? Alors que sa mortalité ne dépasse pas les 0,5%.

Il faut savoir que ce passe, est un excellent moyen pour le Gouvernement de tenir le peuple, et il risque fort d’être prolongé dans le temps, pour le moindre prétexte, sanitaire ou autre. Aussi est-il nécessaire de le REFUSER.

Le principal danger, n’est pas ce virus, mais les attaques et agressions de nos compatriotes, tous les jours, avec des milliers de victimes dans l’année par des islamistes et de la racaille. Le virus sert surtout d’écran de fumée.

Mais au fait, le passe sanitaire est-il obligatoire dans les quartiers « sensibles » ? Y-aurait-il de la gélatine de porc dans ces vaccins ?

Onyx

Que s’est-il passé ces 20 dernières années surtout en France pour que la valorisation de sa patrie, de son drapeau (sauf matchs de football), de son héritage historique et culturel, ne soit plus de bon ton politiquement parlant ?

La réponse est l’objet d’un livre de 550 pages d’Eric Zemmour, « le Suicide Français ». Ce n’est pas vingt ans en arrière qu’il faut remonter selon lui mais quarante ou cinquante. Il convient de lire Zemmour avec un oeil critique, mais il détaille point par point les différentes étapes de la déconstruction de la nation, montrant au passage une connaissance très approfondie de l’histoire française, et mettant en évidence toute une série de rapprochements que le lecteur n’aurait pas soupçonné. C’est long, mais captivant, et cela se lit plus facilement que du Michel Onfray.

A vrai dire, le phénomène est loin de ne concerner que la France. Mais en Europe, nous nous intéressons bien peu les uns aux autres, quand bien même nous avons les mêmes problèmes. Au Royaume Uni, Douglas Murray a écrit « l’Etrange Suicide de l’Europe » et en Allemagne Thilo Sarrazin a signé « l’Allemagne disparaît ». C’est Murray qui explique le mieux à quel point cette auto-destruction d’une civilisation de son plein gré constitue un phénomène historique frappant. C’est en effet tout l’Occident qui est concerné, cible explicitement désignée par la vague woke venue récemment des Etats Unis.

De sensibilité très gaulliste (voire bonapartiste), Zemmour situe en bonne logique le début de la fin en mai 68. Je choisirai plutôt pour ma part mai 45. L’Occident hégémonique et imbu de son avance vient de déclencher deux guerres mondiales d’une ampleur sans précédent, d’accoucher de régimes apocalyptique et d’inventer une arme capable de détruire la planète.

Tout commence donc avec les meilleures intentions et le « plus jamais ça ». On crée les Nations Unies, l’Unesco, le Marché commun, l’Eurovision. Dans l’euphorie de la reconstruction, on voue aux gémonies le nationalisme et on liquide les empires coloniaux. Pour empêcher la révolution honnie du prolétariat, on transforme les ouvriers en consommateurs sans lésiner sur les avantages sociaux, car on a alors besoin d’eux.

La révolution de la contraception casse les ressorts séculaires du patriarcat. Il devient interdit d’interdire, et tout pouvoir devient suspect et contesté, surtout celui des vieilles nations blanches, coupables de fascisme, de colonialisme et d’impérialisme. Les hippies vont à Kathmandou se laver des péchés de leurs parents. Ironiquement, il est de bon ton pour les étudiants contestataires de brandir des portraits d’un Mao Ze Dong qui les aurait envoyé en camp de rééducation.

Ce qui n’a pas disparu, c’est le capitalisme qui récupère la révolte. Celle-ci n’aura qu’un temps. Le rock subversif fait vite le bonheur des multinationales du disque. Mais, avec les chocs pétroliers de 1973–74, le prolétariat autochtone est devenu trop cher et trop exigeant. Malgré les protestations initiales du parti communiste, on lui substitue en quelques années une main d’oeuvre venue des anciennes colonies, où l’esprit patriarcal est resté intact. Sans réfléchir aux conséquences futures, le regroupement familial est décidé en 1976.

Le patronat y trouve son compte, st quant aux ex-leaders de la jeunesse contestataire, ils deviennent le nouveau clergé d’un Occident en peine de religion. Les pauvres pécheurs, ce sont le vilain prolétariat blanc devenu inutile, les beaufs, les bidochons, les deschiens, les rougeauds nauséabonds qui votent pour vous savez qui. Et dans le même temps, on passe d’un système économique keynésien régulé et prudent à un néo-libéralisme décomplexé.

Les nouveaux damnés de la terre sont le lumpen-prolétariat immigré, les opprimés, les incompris, à qui on ne met plus aucune limite. Tout le show-business communie dans les années 80 et 90 dans un antiracisme passionnel. Le patriotisme n’est plus admis que dans les compétitions sportives, équivalent moderne du cirque des Romains. Avec la coupe du monde en 1998, les français apprennent qu’ils sont devenus black-blanc-beur.

Avec la chute du communisme qui le gênait aux entournures, le néo-libéralisme a enfin les mains libres. On veut un village planétaire multiculturel où circulent librement la main d’oeuvre et les capitaux. L’Union Européenne, érigée en symbole de la paix et des droits de l’homme, sera le cheval de Troie du mondialisme.

On enlève aux peuples leur monnaie, et on vote à leur place des traités qu’ils n’ont pas lu. Ils ne font plus d’enfants? Pas de souci, d’autres s’en chargent. Ils affluent au péril de leur vie, prêts à travailler pour toujours moins cher. L’identité et les cultures nationales? Peter Sutherland, président honoraire de Goldman Sachs déclare en 2012 devant la Chambre des Lords que « l’Union Européenne devait faire de son mieux pour saper l’homogénéité nationale de ses états membres ». S’opposer à cette mutation est non seulement contraire au sens de l’histoire, mais aux droits de l’homme qui doivent pouvoir vivre ou bon leur semble.

A qui profite le crime? A des multinationales devenues plus puissantes que des états et rêvant de se substituer à eux. Et derrière, il y a la Chine devenue fer de lance du capitalisme mondial sans pour autant tomber dans une démocratie qu’elle méprise. C’est avec une joie mauvaise qu’elle regarde l’Europe s’autodétruire de son plein gré dans un progressisme devenu fanatique.

Cette évolution n’a pas été propre à la France, mais s’observe chez tous es voisins. Valoriser la patrie et le drapeau en dehors des matchs de foot a fini par devenir contraire aux bonnes moeurs. Peut-on encore restaurer cette maison à la valeur inestimable dont nous avions hérité et que nous avons laisser se délabrer? A moins que nous ne préférions la mettre à la casse une fois pour toutes, cela va être un gros chantier.

Michael Rolnikas pour Quora

Lettre ouverte de Véronique Lévy à Emmanuel Macron au sujet de la tyrannie qu’il instaure

Véronique Lévy, la sœur de BHL, convertie au catholicisme en 2012, a publié une Lettre ouverte à Emmanuel Macron à la suite de la dictature sanitaire qu’il met en place.

Monsieur Macron, toute mon enfance j’ai entendu parler de la dictature nazie ou stalinienne… Mon frère-que vous avez reçu dans vos salons élyzéens – voyait des collabos à chaque coin de rue… j’ai vécu dans cette terreur fantôme et aujourd’hui, vous vous comportez comme un tyran de mascarade SS… et je le dis devant le peuple béni de France … Oui je le dis devant ce peuple que vous méprisez, déchirez… Ce pauvre peuple si patient que vous avez confiné, humilié et qu’aujourd’hui, vous montez en factions vaccinés / non vaccinés… ce peuple si patient est un peuple de la liberté et vous ne piétinerez plus sa fierté, sa dignité.

Réfractaires, nous le serons et c’est nous qui renverserons la bête ! “La bête de l’évènement”, disiez-vous avec cynisme et vous avez testé les Français depuis un an… Et aujourd’hui, vous provoquez la Mère des petits, des pauvres, des humiliés dans son sanctuaire… Ces Pauvres de Marie qui ne seront jamais parqués par les transhumanistes eugénistes appliquant les programmes de messieurs Attali et Alexandre… la “solution finale” modifiant le génome humain avec un vaccin faisant l’inventaire tous les trois mois des populations terrorisées par un hypothétique variant, pour les rendre serviles, soumises, labellisées conformes à vos phantasmes d’un monde arraché à sa liberté dont l’Autre Nom est l’Éternel. Et l’Éternel des Armées ne vous permettra pas de profaner le génome humain qui est Sa Signature, Son écriture, Son poème !

Homme à l’image irréductible, car c’est le Visage de Dieu Qui y rayonne. Et pour l’éternité.

Moi, fille du Verus Israël qu’est l’Église du Christ, fille de France et de la liberté, je vous le dis : le peuple ne se couchera pas ! Aux terrasses, dans les gares, ou ailleurs, Il ne présentera pas sa pièce d’identité ou de “santé conforme” pour satisfaire vos délires de pureté sanitaire ! On ne laissera pas mourir les non vaccinés aux portes des hôpitaux ; interdits aux non testés, comme jadis “interdit aux juifs”, aux homosexuels, aux lépreux, aux intouchables, aux pestiférés… aux prêtres réfractaires. Vous ne séparerez plus les familles ; vous ne ferez pas injecter les enfants ! Vous ne censurerez plus la vérité ! C’est la bête qui se couchera ! Vous êtes allé trop loin, monsieur Macron.

Moi,
Véronique
Jeanne
Lévy
je vous l’affirme, la dictature ne passera pas. Et ce sont ceux que vous traitez de fascistes, qui justement, ne le sont pas.

Je voulais dire à tous les “messeigneurs journalistes” carpettes et collabo, de ne plus servir la propagande de l’internationale libérale… de ne plus se laver les mains du sang des cellules souches des innocents , car Dieu vomit la tiédeur et les compromissions.

ENTENDEZ-VOUS CELUI QUI VIENT ?

Véronique Lévy

17 juillet 2021

Déclaration de Guerre

La volonté d’imposer la vaccination était dans l’air. La surprise réside dans la brutalité du geste. Cette fois, c’est le pistolet sur la tempe, après avoir promis solennellement de ne jamais rendre cette mesure, (digne de la Corée du Nord), obligatoire.

Aujourd’hui, Macron, ce psychopathe  illuminé, veut faire porter toutes ces restrictions sur les non-vaccinés. Mais quand l’Etat ne répond aux citoyens que par la répression, il est alors devenu un régime totalitaire !

Ces dernières mesures sont une véritable gifle à la démocratie. Seuls, deux ou trois pays dans le monde, comme le Pakistan, le Tadjikistan et l’Arabie Saoudite, connus pour leur totale fermeture à toute liberté, emploient ces mêmes procédés.

Mais ces vaccinateurs hystériques, oublient sciemment que dans un passé proche, des accidents vaccinaux, n’ont pas attendu 2021 pour faire des dégâts.

Comme le H1-N1, retiré de la circulation, après une cinquantaine de décès, et  le vaccin contre la grippe aviaire en 1976. Mais aussi le vaccin contre le col de l’utérus qui a fait mourir des milliers de jeunes femmes, de par le monde Aujourd’hui, la situation se présente d’une façon différente, mais, pas plus rassurante.

On n’a aucun recul quant à leurs effets secondaires. Le résultat des essais ne sera connu qu’en 2023 nous dit-on.

Mais si ces produits étaient si efficaces, pourquoi parlerait-on d’une 3ème dose ? Avec la possibilité d’une 4ème renouvelable chaque année.

Madame Nicole Delépine, médecin cancérologue écrit : « On dénombre, 16432 décès possibles signalés par l’EME, liés aux vaccins anti-covid. Le 3 Avril 2021  avec 6000 morts, le 24 Avril, 8700, le 15 Mai 11500 et le 26 Juin 16432. Soit 17503 décès post-vaccins signalés par Eudra Vigilance. Pfizer serait le plus à risques, suivi de Moderna, Astra Zénéca  et Jansen.

On compterait 30065 complications graves. Et les sites de Pharmaco-vigilance débordés ne prennent en compte que les cas les plus sérieux.

Au 1er Mars 2021 l’ANSM, recensait déjà 169 morts post-vaccins Pfizer et plus de 5000 cas d’effets secondaires. La protéine Skype étant en cause pour les possibles accidents vasculaires et cérébraux ».

Voilà à peu près ce que dit une partie du corps médical. Tous les médecins ne sont pas d’accord entre eux, au sujet de cette vaccination, mais je pense que les chiffres indiqués ci-dessus ne sont pas inventés.

Heureusement, beaucoup de gens vaccinés n’auront, (on le souhaite), aucun effet secondaire.

Ces mesures violentes sont un véritable coup de pied au cul aux valeurs qui ont fondé la démocratie. On aurait pu penser qu’après cette violation de nos droits les plus fondamentaux, des foules en colère allaient descendre dans la rue et protester. Que nenni !

Des milliers de moutons de Panurge terrorisés se précipitaient dans des vaccinodromes.

Mais l’ANSM a certainement intérêt à dissimuler toute information qui pousse à l’inquiétude. Les grands médias sont là pour mentir et dissimuler et ils ne s’en privent pas ! Et la propagande d’Etat bat son plein tous les jours pour la vaccination.

Il ne s’agit pas de nier le bien fondé de la vaccination, mais pas avec n’importe quel vaccin. D’autre part, des alternatives à ces injections douteuses existent, pourquoi ne jamais parler de ce qui fonctionne ? Pourquoi  ne pas laisser les médecins prescrire des médicaments efficaces ?

Macron est passé en force, d’une façon arbitraire et anti-constitutionnelle. La Résolution du Conseil de l’Europe du 27 Janvier 2021 précise pourtant que : « Les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, si elle ne le souhaite pas personnellement ». Par contre, policiers et gendarmes en sont dispensés . Pour quelle raison ? Poser la question est déjà y répondre !

On entend dire quelquefois que Macron aurait eu du courage. Mais quel courage ? Le vrai courage, la véritable autorité consisteraient plutôt à combattre l’ensauvagement de la France et à s’attaquer à l’insécurité galopante et l’aspect sanitaire des nouveaux venus. « ,Aucun dirigeant politique, n’a demandé à ce que ces MNA ne soient mis en quarantaine et traités lorsqu’ils sont porteurs de maladies, comme la gale, la tuberculose ou la lèpre, avant d’entrer en contact avec les travailleurs sociaux, ou la population » Lance  justement un de ces travailleurs.

Comme chaque fois, c’est la population contribuable à merci qui fait les frais de ces mesures coercitives qui nous sont annoncées pour « notre bien ». Ta-ka y croire !

Quand l’Etat emprunte une liberté, il ne la rend jamais …

Alors oui à la liberté de choisir, non au passe sanitaire !

Onyx

 

 

 

Hors du Vaccin, point de Salut

Parler sans cesse du vaccin est un excellent moyen pour éviter des sujets plus importants. Mais  pendant ce temps, des entrées invasives d’individus porteurs du Covid traversent nos frontières. Mais pour ceux-là, il n’est pas question de tests, ni de passeports sanitaires. Ils peuvent porter la gale, la tuberculose ou le Covid, c’est sans importance. D’autre part, si  nos dirigeants étaient responsables d’éventuelles conséquences dommageables de certains de ces vaccins, ils pousseraient moins les gens à se faire piquer. Et les labos pharmaceutiques s’ils étaient certains de l’innocuité de leurs vaccins prendraient leur responsabilité. Ce qui n’est pas le cas !

La peur qu’ils provoquent dans la population, entraine quelquefois, certaines personnes à des réactions irrationnelles et stupides. « Les non-vaccinés sont des dangers publics, je ferai tout pour en faire des parias de la société. Vous mettez la vie des autres en danger. Il y a un moment où la connerie ça suffit. On vous vaccinera de force. Je les ferai emmener par deux policiers au Centre de vaccination et avec les menottes s’il le faut ».

Ce bouffi, qui sévit sur BFM TV, avait peut être ce jour là, un verre dans le nez, ou alors il possède lui même, une bonne couche de connerie, comme celle qu’il reproche, sans le moindre argument aux non-vaccinés.

En fait, il exprime tout haut ce que ces médecins de plateau TV pensent tout bas.

La France est déjà divisée politiquement, elle l’est maintenant sur le plan sanitaire. La totale ! Mais dire, que les non-vaccinés sont des dangers publics, il fallait oser.

On entend pourtant, régulièrement dire, par des promoteurs de la vaccination que les vaccinés peuvent transmettre le virus. Il faut donc en déduire, que les vaccinés sont aussi contaminants que les autres.

Où est donc, l’intérêt général tant vanté ?

Pourquoi persévère t-on à ne pas parler des traitements qui ont fait leurs preuves ? Dans ces conditions, ils nous trouveront des variants jusqu’à la fin des temps.

Lequel de ces ayatollah de la picouze parle de développer les défenses immunitaires ?

Ainsi, Castex annonce une prochaine troisième piqure, comme s’il était anodin d’inoculer dans le sang des substances dont on ignore totalement, si elles auront ou non des effets secondaires.

D’après la généticienne Alexandra Henrion Caude, l’injection anti-génique n’est pas un vaccin, mais des substances anti-géniques expérimentales. Pourquoi le vaccin russe, qui est un vaccin classique, n’a-t-il pas été utilisé ?

Ce stress permanent entretenu au quotidien, empêche les gens de réfléchir et permet de les manipuler plus facilement. Même des intellectuels à l’esprit critique, comme Michel Onfray, subissent la formidable pression médiatique et vont dans le sens de l’obligation vaccinale.

Il n’y a pas si longtemps, nos dirigeants parlaient de plusieurs années nécessaires pour mettre au point un vaccin efficace et sans danger. Aujourd’hui, cela n’a plus d’importance. Bizarre…

En fait, si l’on remonte au début de 2020, c’est bel et bien, le refus de soigner les malades qui a fait exploser l’expansion du virus. Et les mêmes « spécialistes » qui refusaient de soigner en 2020 sont les premiers à vouloir piquer tout le monde.  Maintenant, on en paye le prix et on nous parle du vaccin comme étant la solution miracle.

Il n’est pas question de s’opposer aux vaccinations, s’ils sont efficaces, mais que l’on respecte la liberté de chacun. Les menaces ne font que braquer les récalcitrants.

Pour l’avocat Di Vizio, la vaccination obligatoire n’est ni opportune ni Légale, en l’état de la jurisprudence.

Le code de la Santé publique dit : « Le médecin doit respecter un refus  après avoir informé le malade de ses conséquences ».

Quant au passeport sanitaire, que combat courageusement Florian Philippot, il est tout à fait l’expression d’une volonté de société totalitaire à la chinoise, dont rêvent les acteurs du Forum de Davos.

« La première raison de la servitude volontaire, selon La Boétie, c’est l’habitude… »

Onyx

 

 

 

Le scandale DSK vu par Pierre Jovanovic

A deux mois de l’élection présidentielle, le candidat favori, Dominique Stauss-Kahn, est arrêté pour le viol d’une domestique du Sofitel. Ce scandale provoque la chute de celui que l’on appelle le « Tsar de la finance ». Est-ce un piège tendu par Nicolas Sarkozy ? L’affaire a-t-elle un lien avec le crash financier lié à la banque d’affaires Lehman Brothers ? Pierre Jovanovic analyse la série documentaire de Netflix « Chambre 2806, l’affaire DSK ».

Sortir du piège à Macron avec Jean Messiha et Nicolas Vidal

Les dernières élections ont été l’occasion de délégitimer l’intégralité de l’échiquier politique. Par une abstention historique, les Français ont clairement signifié qu’une large partie d’entre eux ne voulaient plus participer à ce qu’ils considèrent être une mascarade. Si le parti présidentiel d’Emmanuel Macron est sans doute la formation qui a payé le plus lourd revers du scrutin, le Rassemblement National, 1er mouvement d’opposition, n’a pas brillé.

De quoi bouleverser les projections pour 2022 ?

Avec un président sortant soutenu par les élites mondialisées et les médias et une opposition dispersée, sommes-nous condamnés à cinq années supplémentaires ? Jean Messiha, le président de l’Institut Apollon, et Nicolas Vidal, le fondateur de Putsch Média, débattent ensemble de la situation politique française et des violences qui montent. Ils décryptent les carences des partis politiques et les flottements mal compris du Rassemblement National de Marine Le Pen. Un numéro sans pitié.